Critiques pour l'événement Black Legends le Musical
Cet automne à Paris c’est l’Amérique ! On va swinguer et se déhancher à Bobino.
Si on ne peut pas vraiment parler de comédie musicale car l’intrigue dramatique n’existe pas vraiment, on est entrainé par l’enchainement des tableaux dont certains sont vraiment excellents. On assiste donc plutôt à une fresque musicale dont le fil conducteur est la musique afro-américaine sur fond de combat pour l’égalité et de lutte contre la ségrégation.
C’est un superbe hommage, une ode à l’amour, presque un siècle de musique afro-américaine à travers plus de trente tableaux, de Cab Calloway à Beyonce, en passant par Ray Charles, Otis Redding, Tina Turner, Aretha Franklin et Whitney Houston.
Même si les intermèdes entre les chansons ne sont pas les meilleurs moments du spectacle, resituer les musiques dans leur époque et leur contexte est une excellente idée. On survole la situation des noirs au USA depuis l’esclavagisme jusqu’à l’arrivée à la Maison Blanche Barack Obama en passant par la ségrégation des années 60, la lutte de Martin Luther King, l’apogée du disco, la gloire du rap…
C’est un spectacle engagé, un hommage à la différence et au droit à l’égalité.
On regrette un peu l’absence de décor mais heureusement l’énorme travail sur les costumes de Sami Bedioui remplit et égaye la scène.
Sur le plateau l’énergie est incroyable : 20 chanteurs, danseurs et musiciens live se donnent à fond pour notre plus grand plaisir.
Quelle joie de réentendre tous ces succès devenus cultes.
Un spectacle d’une grande qualité qui fait du bien et dont on ressort plein d’énergie !
Si on ne peut pas vraiment parler de comédie musicale car l’intrigue dramatique n’existe pas vraiment, on est entrainé par l’enchainement des tableaux dont certains sont vraiment excellents. On assiste donc plutôt à une fresque musicale dont le fil conducteur est la musique afro-américaine sur fond de combat pour l’égalité et de lutte contre la ségrégation.
C’est un superbe hommage, une ode à l’amour, presque un siècle de musique afro-américaine à travers plus de trente tableaux, de Cab Calloway à Beyonce, en passant par Ray Charles, Otis Redding, Tina Turner, Aretha Franklin et Whitney Houston.
Même si les intermèdes entre les chansons ne sont pas les meilleurs moments du spectacle, resituer les musiques dans leur époque et leur contexte est une excellente idée. On survole la situation des noirs au USA depuis l’esclavagisme jusqu’à l’arrivée à la Maison Blanche Barack Obama en passant par la ségrégation des années 60, la lutte de Martin Luther King, l’apogée du disco, la gloire du rap…
C’est un spectacle engagé, un hommage à la différence et au droit à l’égalité.
On regrette un peu l’absence de décor mais heureusement l’énorme travail sur les costumes de Sami Bedioui remplit et égaye la scène.
Sur le plateau l’énergie est incroyable : 20 chanteurs, danseurs et musiciens live se donnent à fond pour notre plus grand plaisir.
Quelle joie de réentendre tous ces succès devenus cultes.
Un spectacle d’une grande qualité qui fait du bien et dont on ressort plein d’énergie !
Dancing in the street !
C'est l'emblématique "Minnie the Moocher" qui ouvre le bal de cette formidable fresque musicale qui vient de démarrer à Bobino.
Sur fond de lutte de la communauté afro américaine pour les droits civiques, du Cotton Club à l'élection de Barack Obama, 36 tableaux époustouflants nous offrent un revival des plus grands morceaux de la black music.
Pendant plus d'1h30, chanteurs, danseurs, acteurs et musiciens enchantent nos yeux et nos oreilles éblouis.
Les voix, les corps, les costumes, tout est d'une qualité !
Valery Rodriguez, le créateur et metteur en scène de ce spectacle peut être fier de lui.
A ses côtés, Thomas Bimaï a créé des tableaux d'une grande diversité, certains éclatants, d'autres d'une sobriété magnifique.
Nous pouvons saluer le talent musical de Christophe Jambois, qui a accompli la prouesse d'adapter ces monuments musicaux sans les dénaturer.
Ses musiciens, qui jouent dans un décor qui n'est pas sans rappeler le "Chicago" de Bob Fosse, sont d'un niveau exceptionnel.
La salle, qui a résisté tout le long, se lève et danse sur les derniers morceaux comme dans les meilleurs concerts de rock, avec cette ferveur que seule la musique est capable de produire.
Un spectacle inratable, sauf si vous n'aimez que la musique de chambre .....Et encore !
C'est l'emblématique "Minnie the Moocher" qui ouvre le bal de cette formidable fresque musicale qui vient de démarrer à Bobino.
Sur fond de lutte de la communauté afro américaine pour les droits civiques, du Cotton Club à l'élection de Barack Obama, 36 tableaux époustouflants nous offrent un revival des plus grands morceaux de la black music.
Pendant plus d'1h30, chanteurs, danseurs, acteurs et musiciens enchantent nos yeux et nos oreilles éblouis.
Les voix, les corps, les costumes, tout est d'une qualité !
Valery Rodriguez, le créateur et metteur en scène de ce spectacle peut être fier de lui.
A ses côtés, Thomas Bimaï a créé des tableaux d'une grande diversité, certains éclatants, d'autres d'une sobriété magnifique.
Nous pouvons saluer le talent musical de Christophe Jambois, qui a accompli la prouesse d'adapter ces monuments musicaux sans les dénaturer.
Ses musiciens, qui jouent dans un décor qui n'est pas sans rappeler le "Chicago" de Bob Fosse, sont d'un niveau exceptionnel.
La salle, qui a résisté tout le long, se lève et danse sur les derniers morceaux comme dans les meilleurs concerts de rock, avec cette ferveur que seule la musique est capable de produire.
Un spectacle inratable, sauf si vous n'aimez que la musique de chambre .....Et encore !
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