- En tournée
- En tournée dans toute la France
Florence Foresti, Madame Foresti

Avec Florence Foresti
- Florence Foresti
7,8/10
- En tournée dans toute la France
Itinéraire
Billets de 35,00 à 69,00 €
Evénement plus programmé pour le moment
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« Dès que je m’absente 5 minutes, c’est le bordel dans ce pays. Je me vois donc dans l’obligation de remonter sur scène au plus vite afin de remettre un peu d’ordre dans ce merdier. Première parisienne : 16 septembre 2014. D’ici là, tâchez de tenir bon. »
Florence Foresti est une humoriste française de 40 ans, aussi actrice à ses heures perdues. Elle s'est fait connaître dans l'émission "On a tout essayé" de Laurent Ruquier en jouant des personnages excentriques très drôles.
Son Premier One Woman Show à succès est Florence Foresti fait des Sketches, dont le DVD s'est vendu à 700 000 exemplaires (2006).
Toutes les critiques
Première fois que je voyais la diva de l'humour francophone sur scène.
Surprise, la scène est très dépouillée, même totalement vide en fait, et ça n'est pas le discret éclairage qui contrastera avec cette impression de sobriété. Là où la plupart des humoristes tournant dans des salles de type Zénith choisissent de faire un gros show, Foresti opte pour la simplicité. Tout au long du spectacle, aucun décor, aucun artifice, aucun costume, juste elle, occupant l'espace, parlant pendant une heure et quart environ, sans la moindre interruption ne serait-ce que pour boire un peu d'eau !
Le texte, sous forme de long stand-up, est très bon et dynamique, passant de scènes de la vie quotidienne (dont un moment hilarant sur la façon des parents d'amener leurs enfants à l'école ou un amusant passage sur les boutiques Nespresso) à ses interrogations sur la quarantaine et sur son futur, sans oublier des scènes plus absurdes tel ce beau délire sur la création du métro raconté par un homme à monocle.
La conclusion en mode féministe est assez surprenante, non pas par le thème abordé cher à Florence Foresti mais bien par la façon - la voir imiter Arletty a de quoi étonner. Seul petit reproche à faire à ce one woman show, la durée ; après l'imitation que je viens de mentionner, un rappel aurait été bienvenue, histoire de dépasser la barre symbolique de l'heure et demie. Sinon, rien à dire, c'est du tout bon.
Surprise, la scène est très dépouillée, même totalement vide en fait, et ça n'est pas le discret éclairage qui contrastera avec cette impression de sobriété. Là où la plupart des humoristes tournant dans des salles de type Zénith choisissent de faire un gros show, Foresti opte pour la simplicité. Tout au long du spectacle, aucun décor, aucun artifice, aucun costume, juste elle, occupant l'espace, parlant pendant une heure et quart environ, sans la moindre interruption ne serait-ce que pour boire un peu d'eau !
Le texte, sous forme de long stand-up, est très bon et dynamique, passant de scènes de la vie quotidienne (dont un moment hilarant sur la façon des parents d'amener leurs enfants à l'école ou un amusant passage sur les boutiques Nespresso) à ses interrogations sur la quarantaine et sur son futur, sans oublier des scènes plus absurdes tel ce beau délire sur la création du métro raconté par un homme à monocle.
La conclusion en mode féministe est assez surprenante, non pas par le thème abordé cher à Florence Foresti mais bien par la façon - la voir imiter Arletty a de quoi étonner. Seul petit reproche à faire à ce one woman show, la durée ; après l'imitation que je viens de mentionner, un rappel aurait été bienvenue, histoire de dépasser la barre symbolique de l'heure et demie. Sinon, rien à dire, c'est du tout bon.
Queen Foresti is back !
Après un décevant Florence Party Bercy (trop bling-bling et calqué sur l’entertainment américain), la reine de l’humour français renoue avec la veine intimiste de Motherfucker et se confronte à la crise de la quarantaine. L’occasion de dresser un bilan plutôt blasé sur une vie surmenée par l’éducation, le règne des stars trash et des réseaux sociaux.
S’installant pour plus d’un mois et demi au Châtelet, l’humoriste signe un retour remarqué, percutant et féministe.
Who run the world ? Girls !
Après un décevant Florence Party Bercy (trop bling-bling et calqué sur l’entertainment américain), la reine de l’humour français renoue avec la veine intimiste de Motherfucker et se confronte à la crise de la quarantaine. L’occasion de dresser un bilan plutôt blasé sur une vie surmenée par l’éducation, le règne des stars trash et des réseaux sociaux.
S’installant pour plus d’un mois et demi au Châtelet, l’humoriste signe un retour remarqué, percutant et féministe.
Who run the world ? Girls !
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