- One Man Show / Stand up
- Théâtre de Passy
- Paris 16ème
Popeck : fini de rire, on ferme !

Avec Popeck
- Popeck
8/10
- Théâtre de Passy
- 95 rue de Passy
- 75016 Paris
- Passy (l.6), La Muette (l.9, RER C)
Itinéraire
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Avec son accent yiddish inimitable, son chapeau melon, son caractère grognon et surtout son humour légendaire, Popeck offre ou plutôt vend (« on n’est pas des sauvages tout de même ! ») un dernier tour de piste car Fini de rire, on ferme !
C’est maintenant ou jamais ! Retrouvez l’artiste sur scène entouré de ses objets fétiches qui l’ont accompagné toute sa carrière, une guitare, une redingote, un caleçon molletonné, un glaive et une balance, une mégère (pas apprivoisée), un menu de chez Maxim’s, etc.
1 critique
Le rideau s’ouvre, sur l’écran au fond on projette un extrait de « Rabbi Jacob » et l’on découvre Popeck face à de Funès, et aussi un extrait de l’émission de Jacques Chancel, François Truffaut parlant de notre vedette et de l’humour juif.
Enfin, notre héros arrive, chapeau melon vissé sur la tête, pas pressé, boit un coup, naturellement nous engueule « après tout quand vous arrivez au bureau, vous ne commencez pas tout de suite » (ce qui est vrai en ce qui me concerne !)
Et puis, Popeck puise dans ses souvenirs, ses « chers disparus » son père, sa mère déportée, et aussi l’admiration pour Devos, Brassens, dont il détourne sans problèmes les textes ! Ah les blagues de Popeck, l’air de rien, avec son air sérieux, il en balance des vertes et des pas mûres...
Anciens sketchs ou nouveaux, son irrésistible accent. Ses caleçons molletonnés bien entendu, à côté des strings qui ne cachent pas grand-chose. Et puis c’est un sportif, voyez comme il pratique le golf en salle, attention aux têtes...
Enfin le temps passe bien vite et on n’a guère envie de le quitter notre Popeck !
Enfin, notre héros arrive, chapeau melon vissé sur la tête, pas pressé, boit un coup, naturellement nous engueule « après tout quand vous arrivez au bureau, vous ne commencez pas tout de suite » (ce qui est vrai en ce qui me concerne !)
Et puis, Popeck puise dans ses souvenirs, ses « chers disparus » son père, sa mère déportée, et aussi l’admiration pour Devos, Brassens, dont il détourne sans problèmes les textes ! Ah les blagues de Popeck, l’air de rien, avec son air sérieux, il en balance des vertes et des pas mûres...
Anciens sketchs ou nouveaux, son irrésistible accent. Ses caleçons molletonnés bien entendu, à côté des strings qui ne cachent pas grand-chose. Et puis c’est un sportif, voyez comme il pratique le golf en salle, attention aux têtes...
Enfin le temps passe bien vite et on n’a guère envie de le quitter notre Popeck !
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