- Théâtre Montparnasse
- Paris 14ème
ART

8,3/10
- Théâtre Montparnasse
- 31, rue de la Gaîté
- 75014 Paris
- Edgard Quinet (l.6), Gaité (l.13)
Itinéraire
À l'affiche du :
27 août 2025 au 20 décembre 2025
Jours et horaires
Ajoutez la pièce à votre agenda en sélectionnant une date. Attention, vos espions pourraient l'apprendre !
l | m | m | j | v | s | d |
---|
Achat de Tickets
Trois vieux amis sont devant le tableau blanc que l’un d’eux vient d’acheter car il est amateur d’art.
Le deuxième s’offusque.
Et le troisième, comme toujours, ménage la chèvre et le chou.
Jubilatoire !
Complices à l’écran, sur scène et dans la vie,
François Morel, Olivier Broche et Olivier Saladin
reprennent la pièce à succès de Yasmina Reza, devenue un classique.
Et François Morel signe la mise en scène, avec une question en tête :
les amis d’hier peuvent-ils toujours être les amis d’aujourd’hui ?
À voir… entre amis !
L'AVIS DE LA REDACTION : 9/10
White is white !
On se rappelle Arditi et Lucchini qui avaient joué la pièce à sa création en 1994.
On se rappelle du fameux monologue dans lequel Darroussin, dans le rôle d'Yvan, nous avait époustouflé et avait eu un Molière.
Cette pièce emblématique du théâtre français contemporain, on la connaît par cœur ...
Alors forcément on se demande : Qu'est ce que ces trois-là vont apporter de plus, de mieux, en réinventant Marc, Serge et Yvan ?
A entendre les rires dans la salle - archi comble - et les applaudissements, on peut le dire, c'est gagné !
Le texte est respecté, la mauvaise foi est toujours là, mais il y a ce je ne sais quoi des Deschiens, ce mélange de tendresse et d'humour, cette façon de ne pas y toucher, cette sensibilité qui fait que l'on est surpris, et disons le conquis.
Le casting est parfait, les trois amis sur la scène sont trois amis dans la vie, et leur éclatante complicité crève l'écran.
François Morel a décidément bien fait d'adapter ce désormais classique, et a réussi haut la main le pari de le renouveler.
On se rappelle Arditi et Lucchini qui avaient joué la pièce à sa création en 1994.
On se rappelle du fameux monologue dans lequel Darroussin, dans le rôle d'Yvan, nous avait époustouflé et avait eu un Molière.
Cette pièce emblématique du théâtre français contemporain, on la connaît par cœur ...
Alors forcément on se demande : Qu'est ce que ces trois-là vont apporter de plus, de mieux, en réinventant Marc, Serge et Yvan ?
A entendre les rires dans la salle - archi comble - et les applaudissements, on peut le dire, c'est gagné !
Le texte est respecté, la mauvaise foi est toujours là, mais il y a ce je ne sais quoi des Deschiens, ce mélange de tendresse et d'humour, cette façon de ne pas y toucher, cette sensibilité qui fait que l'on est surpris, et disons le conquis.
Le casting est parfait, les trois amis sur la scène sont trois amis dans la vie, et leur éclatante complicité crève l'écran.
François Morel a décidément bien fait d'adapter ce désormais classique, et a réussi haut la main le pari de le renouveler.
Par petites touches diablement efficaces, comme un impressionniste qui déciderait de retoucher un tableau.
Ses complices de toujours, Olivier Broche et Olivier Saladin sont une évidence.
Le premier, Serge, ne tenant pas en place, piquant et savoureux.
Le second, Yvan - Ah Yvan ! - se régale d'être le loser du trio.
Quant à François Morel .....c'est du grand Morel !
A quoi ça tient l'amitié en fait ?
Le second, Yvan - Ah Yvan ! - se régale d'être le loser du trio.
Quant à François Morel .....c'est du grand Morel !
A quoi ça tient l'amitié en fait ?
Sylvie Tuffier
Toutes les critiques
White is white !
On se rappelle Arditi et Lucchini qui avaient joué la pièce à sa création en 1994.
On se rappelle du fameux monologue dans lequel Darroussin, dans le rôle d'Yvan, nous avait époustouflé et avait eu un Molière.
Cette pièce emblématique du théâtre français contemporain, on la connaît par cœur ...
Alors forcément on se demande : Qu'est ce que ces trois-là vont apporter de plus, de mieux, en réinventant Marc, Serge et Yvan ?
A entendre les rires dans la salle - archi comble - et les applaudissements, on peut le dire, c'est gagné !
Le texte est respecté, la mauvaise foi est toujours là, mais il y a ce je ne sais quoi des Deschiens, ce mélange de tendresse et d'humour, cette façon de ne pas y toucher, cette sensibilité qui fait que l'on est surpris, et disons le conquis.
Le casting est parfait, les trois amis sur la scène sont trois amis dans la vie, et leur éclatante complicité crève l'écran.
François Morel a décidément bien fait d'adapter ce désormais classique, et a réussi haut la main le pari de le renouveler.
Par petites touches diablement efficaces, comme un impressionniste qui déciderait de retoucher un tableau.
Ses complices de toujours, Olivier Broche et Olivier Saladin sont une évidence.
Le premier, Serge, ne tenant pas en place, piquant et savoureux.
Le second, Yvan - Ah Yvan ! - se régale d'être le loser du trio.
Quant à François Morel .....c'est du grand Morel !
A quoi ça tient l'amitié en fait ?
On se rappelle Arditi et Lucchini qui avaient joué la pièce à sa création en 1994.
On se rappelle du fameux monologue dans lequel Darroussin, dans le rôle d'Yvan, nous avait époustouflé et avait eu un Molière.
Cette pièce emblématique du théâtre français contemporain, on la connaît par cœur ...
Alors forcément on se demande : Qu'est ce que ces trois-là vont apporter de plus, de mieux, en réinventant Marc, Serge et Yvan ?
A entendre les rires dans la salle - archi comble - et les applaudissements, on peut le dire, c'est gagné !
Le texte est respecté, la mauvaise foi est toujours là, mais il y a ce je ne sais quoi des Deschiens, ce mélange de tendresse et d'humour, cette façon de ne pas y toucher, cette sensibilité qui fait que l'on est surpris, et disons le conquis.
Le casting est parfait, les trois amis sur la scène sont trois amis dans la vie, et leur éclatante complicité crève l'écran.
François Morel a décidément bien fait d'adapter ce désormais classique, et a réussi haut la main le pari de le renouveler.
Par petites touches diablement efficaces, comme un impressionniste qui déciderait de retoucher un tableau.
Ses complices de toujours, Olivier Broche et Olivier Saladin sont une évidence.
Le premier, Serge, ne tenant pas en place, piquant et savoureux.
Le second, Yvan - Ah Yvan ! - se régale d'être le loser du trio.
Quant à François Morel .....c'est du grand Morel !
A quoi ça tient l'amitié en fait ?
Une interprétation personnelle d'Art par François Morel qui reprend son rythme et univers particulier (pour lequel il se fait accompagner de ses deux acolytes des Deschiens).
Tout en douceur et poésie.
Pour les tatillons, peut-être manquera-t-il l'acidité et l"ampleur des versions précédentes.
Mais en allant voir une mise en scène de Morel on sait qu'on y verra une version personnelle.
De l'art de recréer un texte devenu classique.
Tout en douceur et poésie.
Pour les tatillons, peut-être manquera-t-il l'acidité et l"ampleur des versions précédentes.
Mais en allant voir une mise en scène de Morel on sait qu'on y verra une version personnelle.
De l'art de recréer un texte devenu classique.
Les avis de la rédaction