Critiques pour l'événement ART
White is white !
On se rappelle Arditi et Lucchini qui avaient joué la pièce à sa création en 1994.
On se rappelle du fameux monologue dans lequel Darroussin, dans le rôle d'Yvan, nous avait époustouflé et avait eu un Molière.
Cette pièce emblématique du théâtre français contemporain, on la connaît par cœur ...
Alors forcément on se demande : Qu'est ce que ces trois-là vont apporter de plus, de mieux, en réinventant Marc, Serge et Yvan ?
A entendre les rires dans la salle - archi comble - et les applaudissements, on peut le dire, c'est gagné !
Le texte est respecté, la mauvaise foi est toujours là, mais il y a ce je ne sais quoi des Deschiens, ce mélange de tendresse et d'humour, cette façon de ne pas y toucher, cette sensibilité qui fait que l'on est surpris, et disons le conquis.
Le casting est parfait, les trois amis sur la scène sont trois amis dans la vie, et leur éclatante complicité crève l'écran.
François Morel a décidément bien fait d'adapter ce désormais classique, et a réussi haut la main le pari de le renouveler.
Par petites touches diablement efficaces, comme un impressionniste qui déciderait de retoucher un tableau.
Ses complices de toujours, Olivier Broche et Olivier Saladin sont une évidence.
Le premier, Serge, ne tenant pas en place, piquant et savoureux.
Le second, Yvan - Ah Yvan ! - se régale d'être le loser du trio.
Quant à François Morel .....c'est du grand Morel !
A quoi ça tient l'amitié en fait ?
On se rappelle Arditi et Lucchini qui avaient joué la pièce à sa création en 1994.
On se rappelle du fameux monologue dans lequel Darroussin, dans le rôle d'Yvan, nous avait époustouflé et avait eu un Molière.
Cette pièce emblématique du théâtre français contemporain, on la connaît par cœur ...
Alors forcément on se demande : Qu'est ce que ces trois-là vont apporter de plus, de mieux, en réinventant Marc, Serge et Yvan ?
A entendre les rires dans la salle - archi comble - et les applaudissements, on peut le dire, c'est gagné !
Le texte est respecté, la mauvaise foi est toujours là, mais il y a ce je ne sais quoi des Deschiens, ce mélange de tendresse et d'humour, cette façon de ne pas y toucher, cette sensibilité qui fait que l'on est surpris, et disons le conquis.
Le casting est parfait, les trois amis sur la scène sont trois amis dans la vie, et leur éclatante complicité crève l'écran.
François Morel a décidément bien fait d'adapter ce désormais classique, et a réussi haut la main le pari de le renouveler.
Par petites touches diablement efficaces, comme un impressionniste qui déciderait de retoucher un tableau.
Ses complices de toujours, Olivier Broche et Olivier Saladin sont une évidence.
Le premier, Serge, ne tenant pas en place, piquant et savoureux.
Le second, Yvan - Ah Yvan ! - se régale d'être le loser du trio.
Quant à François Morel .....c'est du grand Morel !
A quoi ça tient l'amitié en fait ?
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