Critiques pour l'événement Un Monde Merveilleux
J'ai un sentiment mitigé sur cette pièce :
- d'un côté, des acteurs et une mise en scène dynamiques
- de l'autre, des textes manquant parfois de finesse, des longueurs, des changements de décors sans fin.
Pour résumer, le tout y aurait gagner en étant plus court, un pan quasi-complet d'au moins 5 minutes (vers la fin) serait même à supprimer !
- d'un côté, des acteurs et une mise en scène dynamiques
- de l'autre, des textes manquant parfois de finesse, des longueurs, des changements de décors sans fin.
Pour résumer, le tout y aurait gagner en étant plus court, un pan quasi-complet d'au moins 5 minutes (vers la fin) serait même à supprimer !
Une pochade potache pour le plaisir de rire. Dans la pure tradition du café-théâtre mythique du Splendid, Didier Caron et Éric Laborie nous concoctent une pièce sans chichi ni paillette avec la frondeuse envie d’amuser le public.
Et ça fonctionne ! Le public pouffe de rires et suit, sourires en coin, les aventures improbables mais cocasses de jeunes animateurs déguisés d’un parc d’attraction où les jeux de comédie font aussi partie de la parade.
Les personnages pris dans le ridicule des situations pastichent les comédiens aux tics toqués, aux jeux borderline et aux furieuses intentions de faire ou refaire carrière grâce à ces rôles minus aux effets minables.
Une série d’imbroglios, de quiproquos et de sous-entendus parfois salaces et souvent drôles servent de prétextes à cette amusante comédie qui ne casse pas quatre pattes à un canard mais qui sait surfer sur les blagues et les gags certes conventionnels mais qui nous piègent aisément.
La mise en scène d’Éric Laugérias est précise. Il le fallait pour cette aventure aux contours flous de réalité. Les effets, même attendus, sont bien amenés. La complicité avec le public est servie sur un plateau par le jeu enthousiaste des comédiens qui semblent s’amuser eux aussi de l’autodérision du texte.
Du café-théâtre pour lâcher-prise et où le public peut se laisser prendre, sans message à rechercher, juste pour le plaisir d’un sympathique moment de détente.
Et ça fonctionne ! Le public pouffe de rires et suit, sourires en coin, les aventures improbables mais cocasses de jeunes animateurs déguisés d’un parc d’attraction où les jeux de comédie font aussi partie de la parade.
Les personnages pris dans le ridicule des situations pastichent les comédiens aux tics toqués, aux jeux borderline et aux furieuses intentions de faire ou refaire carrière grâce à ces rôles minus aux effets minables.
Une série d’imbroglios, de quiproquos et de sous-entendus parfois salaces et souvent drôles servent de prétextes à cette amusante comédie qui ne casse pas quatre pattes à un canard mais qui sait surfer sur les blagues et les gags certes conventionnels mais qui nous piègent aisément.
La mise en scène d’Éric Laugérias est précise. Il le fallait pour cette aventure aux contours flous de réalité. Les effets, même attendus, sont bien amenés. La complicité avec le public est servie sur un plateau par le jeu enthousiaste des comédiens qui semblent s’amuser eux aussi de l’autodérision du texte.
Du café-théâtre pour lâcher-prise et où le public peut se laisser prendre, sans message à rechercher, juste pour le plaisir d’un sympathique moment de détente.
Enfin une comédie où on rit facilement !
Même si la pièce a quelques défauts, ça fait plaisir de ne pas s'ennuyer pendant une comédie alors que de grands théâtres proposent des comédies soporifiques au même moment.
L'histoire m'a plu car le management à l'américaine d'une équipe de 'castmembers' dans un parc d'attraction sonne plutôt juste, il y a bien de ça dans ce type de management même si je pense que les auteurs auraient pu être encore plus mordants, voir même un peu cyniques. Les rêgles qui régissent ce petit monde magique sont strictes mais les nouveaux employés sont un peu tête en l'air et le réglement va voler en éclats.
Les comédiens sont drôles mais la palme revient au Capitaine Crochet, incarné par un Christophe Guybet qui a une maitrise totale sur la prononciation de son texte alambiqué suivi de près par l'interprétation de la fée Clochette qui m'a bien fait rire dès sa première apparition voletante.
Deux petits points qui pourraient améliorer encore la pièce : Malgré une mise en scène dynamique, les changements de décors sont longs et le public a tendance a se mettre à parler, c'est dommage. Et à la toute fin, il se passe trop de choses d'un coup, on a du mal à être en phase avec la dernière phrase.
Don't forget : everything is MAGIC !!!
Même si la pièce a quelques défauts, ça fait plaisir de ne pas s'ennuyer pendant une comédie alors que de grands théâtres proposent des comédies soporifiques au même moment.
L'histoire m'a plu car le management à l'américaine d'une équipe de 'castmembers' dans un parc d'attraction sonne plutôt juste, il y a bien de ça dans ce type de management même si je pense que les auteurs auraient pu être encore plus mordants, voir même un peu cyniques. Les rêgles qui régissent ce petit monde magique sont strictes mais les nouveaux employés sont un peu tête en l'air et le réglement va voler en éclats.
Les comédiens sont drôles mais la palme revient au Capitaine Crochet, incarné par un Christophe Guybet qui a une maitrise totale sur la prononciation de son texte alambiqué suivi de près par l'interprétation de la fée Clochette qui m'a bien fait rire dès sa première apparition voletante.
Deux petits points qui pourraient améliorer encore la pièce : Malgré une mise en scène dynamique, les changements de décors sont longs et le public a tendance a se mettre à parler, c'est dommage. Et à la toute fin, il se passe trop de choses d'un coup, on a du mal à être en phase avec la dernière phrase.
Don't forget : everything is MAGIC !!!
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