Critiques pour l'événement Tout le monde peut se tromper
Dans la famille comédie estivale, tout le monde peut se tromper s'en sort bien : c'est agréable, sans prétention mais on y passe un bon moment.
Il est facile de faire rire sur le thème de la pièce : la jalousie. Encore faut il que ce soit bien amené et c'est la cas présentement grace à un texte ciselé de Carole Greep et Guillaume Labbé et une mise en scène fluide de Rodolphe Sand.
Les comédiens ne comptent pas leur énergie pour rendre la pièce trépidante et c'est tant mieux pour nos zygomatiques surtout quand Henry Chocapic (Sébastien Pierre) se présente (Oui, il voudrait réussir sa vie, être aimé). Il y a une belle ambiance café théâtre réussie grâce à un bon travail d'équipe.
Voilà une jolie pochade pour l'été.
Il est facile de faire rire sur le thème de la pièce : la jalousie. Encore faut il que ce soit bien amené et c'est la cas présentement grace à un texte ciselé de Carole Greep et Guillaume Labbé et une mise en scène fluide de Rodolphe Sand.
Les comédiens ne comptent pas leur énergie pour rendre la pièce trépidante et c'est tant mieux pour nos zygomatiques surtout quand Henry Chocapic (Sébastien Pierre) se présente (Oui, il voudrait réussir sa vie, être aimé). Il y a une belle ambiance café théâtre réussie grâce à un bon travail d'équipe.
Voilà une jolie pochade pour l'été.
Une comédie d’été façon pochade, drôle et bien jouée.
La pièce de Carole Greep et Guillaume Labbé repose sur la verve et la truculence d’un texte ciselé, aux réparties adroites et efficaces. L’argument sur le thème de la jalousie n’est que le prétexte de rires.
La mise en scène de Rodolphe Sand et de Morgane Bontemps, fluide et sans effets inutiles, centre l’attention à bon escient sur les répliques plus que sur les situations, laissant aux comédiens le soin de mitrailler ces traits hilarants qui font mouche aisément.
Dans la pure veine du café-théâtre, les approches clownesques de Karine Dubernet et de Sébastien Pierre fonctionnent à merveille.
Quant à Lætitia Vercken et Clément Parmentier (ce soir-là), ils donnent dans les amoureux de Peynet au cœur tendre et brisé avec la justesse et la dérision qui conviennent.
Tous les quatre, ils jouent et servent le texte avec un humour enthousiaste et un évident plaisir. Du bon boulot plaisant et fougueux.
À voir pour le plaisir de rire. Une tranche de bonne rigolade comme dirait Tatie !
La pièce de Carole Greep et Guillaume Labbé repose sur la verve et la truculence d’un texte ciselé, aux réparties adroites et efficaces. L’argument sur le thème de la jalousie n’est que le prétexte de rires.
La mise en scène de Rodolphe Sand et de Morgane Bontemps, fluide et sans effets inutiles, centre l’attention à bon escient sur les répliques plus que sur les situations, laissant aux comédiens le soin de mitrailler ces traits hilarants qui font mouche aisément.
Dans la pure veine du café-théâtre, les approches clownesques de Karine Dubernet et de Sébastien Pierre fonctionnent à merveille.
Quant à Lætitia Vercken et Clément Parmentier (ce soir-là), ils donnent dans les amoureux de Peynet au cœur tendre et brisé avec la justesse et la dérision qui conviennent.
Tous les quatre, ils jouent et servent le texte avec un humour enthousiaste et un évident plaisir. Du bon boulot plaisant et fougueux.
À voir pour le plaisir de rire. Une tranche de bonne rigolade comme dirait Tatie !
Pièce sans prétention (eu égard au sujet de la pièce) mais qui a le mérite de faire passer un bon moment.
On rit, ... avec les autres comédiens car le fou rire sur scène n'est pas loin surtout lorsque Henri Chocapic est en forme ! Ils débordent d'énergie !
Idéal pour passer une bonne soirée divertissante.
On rit, ... avec les autres comédiens car le fou rire sur scène n'est pas loin surtout lorsque Henri Chocapic est en forme ! Ils débordent d'énergie !
Idéal pour passer une bonne soirée divertissante.
Dans le même genre