Critiques pour l'événement Orphans
Par moment, la pièce est un peu lente : dans le huis-clos de cette maison de Philadelphie, certaines scènes se répètent. Mais les comédiens arrivent à émouvoir leur public.
Les trois personnages ont des personnalités très fortes, saisissantes. Bastien Ughetto réalise une performance impressionnante dans le rôle de Philip, qu’il incarne à merveille. Etienne Ménard et Vincent Simon sont également excellents et parviennent à captiver le public étonné par ce trio improbable. On rigole beaucoup des réactions de Phillip, toujours naïf, qu’on aimerait prendre dans nos bras.
C’est une pièce captivante et pleine d’émotions.
Les trois personnages ont des personnalités très fortes, saisissantes. Bastien Ughetto réalise une performance impressionnante dans le rôle de Philip, qu’il incarne à merveille. Etienne Ménard et Vincent Simon sont également excellents et parviennent à captiver le public étonné par ce trio improbable. On rigole beaucoup des réactions de Phillip, toujours naïf, qu’on aimerait prendre dans nos bras.
C’est une pièce captivante et pleine d’émotions.
J'avoue que le synopsis n'était pour moi pas plus engageant que ça, mais j'ai eu de très bons échos de cette pièce donc j'ai décidé d'y aller.
Cette petite salle accueille donc 3 malfrats tous du nom de la pièce, orphelins. Un petit voyou séquestre un plus gros poisson et croit pouvoir en tirer quelques dollars, mais il s'avère que le gros poisson n'est pas un simple banquier. C'est un mafioso et il veut l'embaucher.
Là démarre la pièce, l’inversement de rôles et d'histoire. Le grand poisson devient père et l'orphelin malfrat. C'est cette relation qui est mise en avant. Celle d'un protecteur qui va pousser ces enfants à devenir meilleur.
Le simplet allergique à tout est un personnage auquel on s'attache vite et qui est bien joué : c'est tellement difficile de jouer ce rôle ! Mais rien ne transcende le tout.
L'histoire elle-même s'achève sur une fin déroutante. On se pose encore mille questions et on aimerait que ça finisse autrement.
Je suis donc sortie un petit peu frustrée...
Cette petite salle accueille donc 3 malfrats tous du nom de la pièce, orphelins. Un petit voyou séquestre un plus gros poisson et croit pouvoir en tirer quelques dollars, mais il s'avère que le gros poisson n'est pas un simple banquier. C'est un mafioso et il veut l'embaucher.
Là démarre la pièce, l’inversement de rôles et d'histoire. Le grand poisson devient père et l'orphelin malfrat. C'est cette relation qui est mise en avant. Celle d'un protecteur qui va pousser ces enfants à devenir meilleur.
Le simplet allergique à tout est un personnage auquel on s'attache vite et qui est bien joué : c'est tellement difficile de jouer ce rôle ! Mais rien ne transcende le tout.
L'histoire elle-même s'achève sur une fin déroutante. On se pose encore mille questions et on aimerait que ça finisse autrement.
Je suis donc sortie un petit peu frustrée...
Les avis de la rédaction