Critiques pour l'événement L'envers du Décor
Alors,
Comment dire,
Sans conteste ce que j'ai vu de plus mauvais cette saison, et même depuis plusieurs saisons.
A commencer par le texte : machiste et fait de mauvais mots. Un quinquat dont le couple n'est pas au mieux flashe sur une bombe platine. Evidemment elle est blonde. Evidemment elle voudrait faire du cinéma mais n'est pas assez douée et donc elle fait de la photo de charme. Et évidemment elle est cruche. Pire, elle est intelligente mais sait que sa seule chance d'attirer l'attention est de faire la cruche. Qu'elle inventivité ! Et évidemment le quinquat se transforme en loup d'un dessin animé de Tex Avey et est incapable de se tenir dès qu'il voit sa proie, quand bien même elle est déjà à un autre. Surtout qu'au final sa maîtresse n'a qu'à siffler son petit chien chien pour qu'il rentre tranquillement à la niche, avec le sentiment d'avoir gouté à la liberté, quand il n'a fait qu'être manipulé par sa femme.

Florent Zeller, dont j'avais beaucoup aimé LE PERE, sombre ici dans la facilité. Aucun message dans ces situations de boulevard. Aucune morale, aucun enseignement, aucune réflexion. Le vide.

Daniel Auteuil est d'habitude un comédien plutôt convainquant. Il se met en scène dans cet envers du décor. Ah oui, envers parce que les pensées des protagonistes nous sont livrées à haute voix entre deux échanges entre les comédiens. Mais ce qui marche à la télé dans House of Card ne fonctionne pas du tout dans cette mise en scène convenue. Sans compter que Daniel Auteuil surjoue et n'est pas crédible dans le rôle du loup de Tex Avery.

Heureusement il y a Isabelle GELINAS, toujours digne, François-Eric GENDRON, digne copain, et Pauline LEFEVRE, ex-Miss Météo qui s'en tire bien dans le rôle de cruche qui lui est assigné.

Un spectacle qui ravi les amateurs de tête d'affiche, mais qui pêche par un flagrant manque d'ambition. Dommage.
31 déc. 2016
4/10
819
Grosse déception pour voir une pièce où les places sont si chères avec des acteurs que j'aime pourtant beaucoup -dont Valérie Bonneton et Daniel Auteuil- mais le texte est tellement au ras du sol et les ficelles tellement grossières qu'on a du mal à rire et à rester assis aussi longtemps!

Comme d'autres je touve qu'Auteuil en fait trop et Bonneton hurle tout au long de la pièce, il parait que la version avec Gelinas est meilleure...
Bon le texte lui ne change pas donc je ne retournerai surement pas la voir. On attendait mieux du Théâtre de Paris, sic.
21 nov. 2016
8/10
811
Je ne comprends pas les critiques méchantes sur l'auteur et le texte. Cette pièce est distrayante, originale, jouissive, bien écrite et jouée à la perfection...

L'intérêt intellectuel, on s'en fout ! C'est du boulevard et on sait ce qu'on va voir !!!
19 nov. 2016
2/10
833
Nous étions également en fond de salle, obligés de se contorsionner pour ne voir qu'une partie de la scène.

Pièce inintéressante, sans rebondissements, laborieuse : on s'y ennuie ferme, la personne proche de moi a passé son temps sur internet/portable : nous voulions partir à l'entracte, mais il n'y en avait pas.

Bref une mauvaise soirée bien chère. Seuls le décor et les beaux sièges utilisés sur scène étaient intéressants.
16 nov. 2016
8/10
850
J'avais squizzé la version précédente car les avis de mes amis n'étaient pas bons.
Par contre au vu des retours sur d'autres sites, je suis allée voir cette version avec Isabelle Gélinas et je ne l'ai pas regretté car j'ai beaucoup ri.

Certes Daniel Auteuil en fait un peu trop mais la mise en scène originale participe beaucoup au déclenchement du rire.
A voir.
5 nov. 2016
4,5/10
153
Bof !

C'est vraiment dommage car le casting est plutôt bon, mais ça ne prend pas.
Ennuyeux.
21 oct. 2016
7/10
176
Un concept original et trop peu souvent traité.
Ici, les personnages dévoilent au public leurs pensées. C'est très jouissif de voir Auteuil jouer naturellement, puis être emprisonné dans le sur-jeu de sa conscience.
Les décors sont impressionnants. Mais l'histoire l'est moins.
Bien que très bien écrite, et assez drôle, elle ne parait être au final qu'une anecdote bien racontée.
Les enjeux n’étaient pas assez présents.
16 oct. 2016
2/10
184
Quelques scènes sympathiques - dans le professionnalisme de Daniel Auteuil.

Aucun intérêt en particulier quand l'on se trouve à 58€ au fond de la salle derrière des 1,80m et voyant qu'une partie de la scène.

Beau théâtre au 19e siècle mais pas pour 2016. Que Vente Privé investisse dans son théâtre.
5 oct. 2016
6/10
236
Je m'attendais à pire, vue les critiques de la saison passée sur cette pièce mais au final on a passé un bon moment.

A priori, le texte semble avoir été revu un peu puisque on nous indique que c'est une version 2 que nous avons vu mais je n'ai obtenu aucune confirmation de cette rumeur.

L'idée d'entendre les pensées des protagonistes est très sympa et quelques attitudes /pensées m'ont bien fait rire mais pas en permanence, c'est sur que déballer les pensées de chacun, ça ralentit l'action.
Au final, ça ne vole pas très haut mais c'est du boulevard donc je suis plutôt bienveillante.

Daniel Auteuil fait le job plutôt bien et nous fait sourire/rire en alliant mimiques et pensées, sa femme Isabelle Gélinas (qui a remplacé Valérie Bonneton) est très bien aussi. Par contre, le couple d'amis sert juste de faire valoir au couple principal et c'est dommage.

Les intermèdes musicaux sont assez bruyants et peu agréables, heureusement il n'y en a peu et de courte durée.
1 oct. 2016
1/10
223
Après un petit quart d'heure, mon épouse et moi nous sommes regardés, consternés par la pauvreté de cette pièce qui au final ne nous a pas fait même sourire une seule fois.

Les acteurs surjouent, le tout est très convenu, a été vu et revu plus de cent fois, voire mille fois. Cette pièce permet simplement à Daniel Auteuil de faire son numéro lors d'une long monologue sans intérêt, comme le reste de la pièce. En bref, une bien mauvaise caricature du théâtre de boulevard.
16 mars 2016
3/10
335
Décevant !!!

Je rejoins totalement la critique de la rédaction, un texte creux, long et ennuyeux !

Dommage je me faisais une joie d'aller voir sur scène Daniel Auteuil et Valérie Bonneton.
26 févr. 2016
6/10
360
Un petit moment assez savoureux. On rit beaucoup parce que c'est bien joué et parce que c'est une petite plongée dans les faiblesses de chacun. Finalement c'est plutôt une pièce sur la manière dont notre cerveau ne nous laisse jamais en paix. Troupe savoureuse.
21 févr. 2016
9/10
380
Juste avant d'y aller, nous regardons les critiques - grave erreur - nous sommes consternés d'aller voir une mauvaise pièce. Et là, c'est la surprise : l'idée d'entendre tout haut les réflexions de chacun est plutôt géniale et provoque des situations cocasses.

Daniel Auteuil ne surjoue pas, il est parfait, il se donne à fond, c'est un grrrrand acteur. Et Valérie Bonneton n'est pas en reste.
Une excellente soirée dans un magnifique théâtre.
21 févr. 2016
0,5/10
334
Un texte d'un vide abyssal, un humour de caserne (et encore), le tout assaisonné d'une sauce "Clavier by Auteuil".

C'est criard, le texte occuperait bien une ou deux heures de plus si le rythme était correct. Mais il n'y a qu'une heure et demie alors on a le droit à des mitraillettes verbales.
C'est saoulant et creux.

Résultat un ennui total, des longueurs à endormir un pompier insomniaque.
En résumé c'est plutôt l'enfer du décor.
Gardez votre argent.
13 févr. 2016
7,5/10
OK, nous ne sommes pas chez Molière, OK nous ne sommes pas chez Ibsen. C'est du boulevard et du bon boulevard.

Certes, ce n'est pas d'une finesse absolue mais cela l'est rarement dans du Boulevard. Et dans la salle, le public rit tellement que, parfois, on a du mal à entendre les répliques. La salle est bondée, tous les strapontins sont occupés et bien qu'également amatrice de Molière, d'Ibsen et autres auteurs dits classiques, je n'ai pas boudé mon plaisir.
7 févr. 2016
8/10
346
Je ne comprends pas les mauvaises critiques qui m'ont mis sur le doute avant d'aller voir cette pièce.
Certes si parfois il y a quelques longueurs, la pièce n'en n'est pas moins excellente.
Auteuil et Bonnetton ont vraiment un jeu de scène et de mimiques excellents qui m'ont fait beaucoup rire.
Un bon moment.
6 févr. 2016
1/10
309
Qui pourrait se permettre de dire à Daniel Auteuil qu’il n’est pas doué pour la mise en scène. Il a sûrement beaucoup de qualités, mais la mise en scène, ce n’est pas son truc.

Il me semble que la pièce de Zeller pourrait être acceptable (j’ai dit ‘acceptable’, je n’ai pas dit ‘bonne’) avec quelques coupes et une mise en scène intelligente. La mise en scène d’Auteuil est bête et vulgaire.

Il lui a manqué un regard critique qui lui aurait permis de réaliser que son interprétation, qui se situe entre Louis de Funès et Michel Galabru, plombe la pièce. Au lieu de l’élever, il la rabaisse en permanence. Pendant toute la soirée, j’ai imaginé ce qu’un comédien et metteur en scène subtil comme José Paul aurait pu faire avec le même texte.

Comme souvent, le Théâtre de Paris programme une pièce décevante dans sa grande salle (prix des places délirant) et une bonne pièce dans sa petite salle (Salle Réjane, prix des places plus raisonnable). Fuyez ‘L’envers du décor’ et allez voir ‘Maris et femmes’.

Dans la grande salle, le directeur est obligé de programmer des pièces populaires pour attirer un grand nombre de spectateurs et les comités d’entreprises. Le problème, c’est qu’il considère, avec mépris, que le public populaire ne peut apprécier que des pièces médiocres. Quand on programme une pièce dans laquelle il est question de la couleur de la chatte de l’une des comédiennes et de la manière dont elle se rase (excusez moi pour cette vulgarité Zellerienne), parce qu’on pense que ça va faire rire le ‘grand public’, je considère qu’on ne le respecte pas.
30 janv. 2016
7,5/10
287
Boulevard ou pas Boulevard ?

Avant d'y aller, j'avais lu la critique de la rédaction et le "jeu de massacre" de M. ou Mme Théatrotèque de poche, j'avais failli annuler la soirée (les places étaient achetées, mais comme c'est plein, ça se revend facilement !) ou changer de crèmerie. Et puis, je suis tombé sur la critique positive d'un autre journal, alors banco, nous voilà partis.

OK, c'est pas Molière, ni non plus Goldoni. On est plutôt chez Barillet/Grédy ou équivalent, ça ne vole pas très haut (le texte est un peu faible, j'y reviendrai !), mais excusez-moi on rigole : je ne suis pas très bruyant quand je ris et j'étais un peu embêté par tous ces gens qui riaient un peu trop violemment ;-)

Quand vous écrivez : "À chacun de voir s'il est prêt à payer 50 € pour sourire 3 fois et admirer un joli décor." je suis vraiment (très) étonné. Pas pour le décor, OK, il est TOP !
Auteuil en pantomime - façon De Funès parfois - est vraiment drôle !
Bonneton (qui en fait parfois un peu trop) lui donne une réplique très amusante et pas si creuse...
Le "Jeune Couple" prétexte de l'histoire, s'en sort plutôt bien et ne joue pas faux en dépit d'un texte peu propice à leur démonstration.

Reste que la technique de l'aparté est poussée ici à son paroxysme par F. Zeller et (de mon point de vue) avec excès dans certaines scènes, où il finit par y avoir MOINS de dialogues que d'apartés, cet équilibre là aurait dû être maintenu.

Alors, même si l'intérêt intellectuel n'est pas bien grand, je trouve que ça fait du bien de rire par les temps qui courent !
25 janv. 2016
1/10
292
Une déception totale et réelle.

J'avoue, j'attendais sans doute trop de retrouver Daniel Auteuil après "Nos Femmes" où j'avais été très agréablement surprise par son jeu. De plus, j'aime particulièrement Valérie Bonneton en tant qu'actrice.

Forte de ces attentes et vu que "Momo" dans ce même théâtre m'avait ravie, j'ai été catastrophée par l'ampleur de la médiocrité tant du jeu ( rarement vu un couple aussi peu au diapason que Auteuil et Bonneton ) / de la mise en scène ( l'idée de départ d'entendre les pensées des personnages était tellement bonne et est si mal exploitée- je savais Daniel Auteuil un réalisateur de films très classique là on peut carrément parler d'absence de mise en scène ) / de l'écriture ( que dire du sous entendu profondément sexiste qui est présent dans toute la pièce - déjà "Le Mensonge" est juste selon moi - avec cette pièce on peut dire que Florian Zeller se doit de faire un break il est clairement en surchauffe ... )- à éviter donc ... En sortant un jeune homme disait, clément, à son amie "dans 3 semaines ce sera mieux pour le jeu".
Oui... Peut être. Quoique j'en doute car Auteuil est plus que mauvais mais le texte restera le même : indigne.
24 janv. 2016
0,5/10
264
En sortant du Théâtre de Paris, une supplication nous brûle les lèvres : « Monsieur Zeller, par pitié, arrêtez d’écrire des comédies indigestes pour le bienfait de l’humanité ! »

Dans son dernier opus, L’Envers du décor, le stakhanoviste du théâtre privé pompe allègrement Kvetch de Steven Berkoff (sans son talent acide, évidemment) en bricolant une daube vulgaire, interminable et truffée de clichés sexistes. L’art ancestral de la double énonciation (en l’occurrence, ici, le décalage entre l’hypocrisie du discours et les mesquineries de la pensée) tombe à plat, s’étire et consterne. Non Monsieur Zeller, les têtes d’affiche aussi brillantes soient-elles (le duo Valérie Bonneton et Daniel Auteuil est délirant) ne suffisent pas à masquer la vacuité de votre écriture. Vous remplissez les salles, tant mieux pour vous, mais vous ne trompez personne sur la médiocrité de votre « travail ». Passage en revue.

Trente minutes. C’est le temps qu’il faudra à Daniel pour annoncer à sa femme Isabelle son désir d’inviter à dîner Patrick et sa nouvelle compagne Emma. Mais Laurence, l’ex de Patrick, est la meilleure amie d’Isabelle. Comment faire ? Trente minutes, oui, vous avez bien lu. Daniel tente de se dépatouiller comme il peut dans un dilemme intérieur à n’en plus finir. Nos nerfs sont d’emblée mis à rude épreuve. Après moult tergiversations, Isabelle accepte et le quatuor se retrouve attablé à un dîner de cons aux enjeux existentiels aussi profonds que le nouveau Marc Lévy.

Vide intersidéral.
Manifestement, Zeller ne se préoccupe pas vraiment de fournir une intrigue un minimum travaillée. Quelques stars sur le plateau et hop, ni vu ni connu. Malheureusement, L’Envers du décor est monstrueusement bavarde et enfile les perles. Tenant absolument à faire frétiller la bourgeoise dans son fauteuil, Zeller se fait fripon et multiplie les allusions explicitement cochonnes et d’une vulgarité non justifiée. Petit florilège : Daniel se demande de quelle couleur peut bien être la chatte d’Emma et oups, lapsus, hurle à la suite « ticket de métro » et « blond vénitien ». Embarras gêné mais le public s’esclaffe. Bon. Autre exemple : Daniel veut complimenter Emma en affirmant qu’elle adore la vie et évidemment, dans sa bouche, elle adore la bite… Vous voyez le genre.

Monsieur Zeller n’y va pas de main de morte dans la caricature non plus. Vous comprenez, une comédie doit forcément comporter des caricatures, sinon ce n’est pas drôle. Deuxième florilège : si tu es jeune et sexy, tu es forcément une pute ; si tu as dépassé la quarantaine, tu es forcément une vieille épouse aigrie et jalouse ; si tu es un intello (Daniel est éditeur, attention), tu es forcément un queutard frustré et si tu es âgé et riche, tu es forcément un pervers attiré par la chair fraîche. Aucune nuance donc dans cette succession affligeante de clichés machos d’hétérosexuel satisfait. Ce n’est pas fini, la morale est sauve tout de même ! Hors de question de terminer sur une orgie à quatre. Ce petit dîner aura certes réveillé les ardeurs de notre Daniel en rut mais au final, les charmes d’Emma auront renforcé l’amour de l’éditeur pour Isabelle… Momone aura bien chapeauté son petit plan machiavélique pour reconquérir son homme !

Bien sûr, Auteuil (mais pourquoi a-t-il voulu se lancer dans cette aventure en signant la mise en scène…) crève la scène dans son jeu borderline, à mi-chemin entre Clavier et de Funès et on se régale de le voir baver de désir et de doute devant Pauline Lefèvre (qui possède le charisme d’une huître mais qui est immense : comme Auteuil est petit, l’effet comique est d’une finesse inégalable). Face à lui, Valérie Bonneton fait du Bonneton et se révèle divine en mégère exaspérée. Le couple est très bien assorti, sans conteste : la seule raison valable sans doute (et encore) de débourser 70 € pour assister à cette horreur.

L’Envers du décor dévoile ainsi brillamment l’envers de l’enfumage orchestré par Monsieur Zeller, adoubé dans les plus gros théâtres parisiens. On s’interroge toujours sur l’engouement du phénomène : soit le public a bu un coup de trop avant d’entrer en salle, soit il est tout simplement aveugle pour ne pas se rendre compte de la supercherie. Au lieu d’écrire trois pièces par an, remettez-vous à l’écriture de vos romans (d’une qualité autrement supérieure) ou naviguez plutôt du côté de La Mère. Mais, s’il-vous-plaît, abandonnez la comédie. Ce serait un immense soulagement. Merci.
22 janv. 2016
0,5/10
304
Un grand moment de solitude et d'ennui !

La pauvreté des dialogues et du rythme rend cette pièce absolument interminable ! Daniel Auteuil, pourtant excellent comédien, en fait trop, sans parler de Valérie Bonneton. Quant à Pauline Lefebvre, au demeurant charmante, son jeu manque cruellement de vérité.

L'histoire n'a aucun intérêt, les rares blagues, toutes sous la ceinture, ne semblent être là que pour choquer le bourgeois.

Bref, c'est mauvais et bâclé !
22 janv. 2016
1/10
991
Horriiiiiiiible ! Tout a fait d'accord avec la critique de la rédaction mais je serai encore plus sévère.

Tout est caricatural et transpire le racisme social. Les prestations sont gênantes tant elles sont grotesques. L'écriture est d'une médiocrité rare, les blagues sont ras-les-pâquerettes.

Ennuyeux et affligeant.
18 janv. 2016
4/10
283
Déçue par cette pièce.

Les acteurs sont justes mais il manque quelque chose dans le texte pour en faire une pièce comique.
15 janv. 2016
2/10
291
Texte faible à peine sauvé par un Daniel Auteuil poussif.