Critiques pour l'événement Le Syndrome de l'Ecossais
Pas de scénario.
Des bonnes répliques de Bernard Campan et Thierry Lhermitte.
Mais bon un peu déçu.
Des bonnes répliques de Bernard Campan et Thierry Lhermitte.
Mais bon un peu déçu.
Venons de voir le Syndrome de l'écossais. Le jeu des 2 acteurs nous a ravi et les nombreux rappels d'une salle conquise montraient que notre plaisir avait été largement partagé.
Si on se livre à une analyse thématique on est bien sûr plus critique sur le sujet abordé, le texte et les répliques proposées ou les rôles et le jeu des actrices.
Mais est-ce vraiment important ? Le plaisir du théâtre n'est-il pas de passer 1h30 à se laisser porter par l'émotion ou le rire, ou les 2.
Pari réussi grâce aux prestations des 2 acteurs.
Si on se livre à une analyse thématique on est bien sûr plus critique sur le sujet abordé, le texte et les répliques proposées ou les rôles et le jeu des actrices.
Mais est-ce vraiment important ? Le plaisir du théâtre n'est-il pas de passer 1h30 à se laisser porter par l'émotion ou le rire, ou les 2.
Pari réussi grâce aux prestations des 2 acteurs.
Imaginez une comédienne qui vous plante un fauteuil devant vous, vous empêchant tout spectacle !
Et bien oui, 60€ la place au premier rang carrément à gauche. C'est ce qui nous est arrivé ce soir !
Très déçue !
Et bien oui, 60€ la place au premier rang carrément à gauche. C'est ce qui nous est arrivé ce soir !
Très déçue !
Cette pièce est affligeante, les 2 actrices jouent mal, faux...heureusement pour la pièce que les 2 acteurs star sont formidables, sans eux je serais parti au millieu de la pièce.
À un moment, les 2 actrices sont seules en scène et j'ai vraiment eu envie de me pendre...histoire nulle, chute zero, j'ai perdu 70 euros !!
Mr Lhermitte, je suis venu pour vous et dans ce sens je n ai pas été déçu, mais vous méritez tellement mieux que ca...
À un moment, les 2 actrices sont seules en scène et j'ai vraiment eu envie de me pendre...histoire nulle, chute zero, j'ai perdu 70 euros !!
Mr Lhermitte, je suis venu pour vous et dans ce sens je n ai pas été déçu, mais vous méritez tellement mieux que ca...
Une bonne pièce, bien orchestrée, qui parle des sujets qui nous touchent tous.
Une très bonne ambiance dans la petite salle, les 4 acteurs nous emportent dans leur jeu ils sont pro ! J'ai pas vu passer l'heure et demi, il y a peu de temps mort ... un régal somme toute un peu cher mais je regrette pas ma soirée.
Une très bonne ambiance dans la petite salle, les 4 acteurs nous emportent dans leur jeu ils sont pro ! J'ai pas vu passer l'heure et demi, il y a peu de temps mort ... un régal somme toute un peu cher mais je regrette pas ma soirée.
Une pièce sympa surtout au début avec un Bernard Campan plutôt drôle.
Après 45 minutes j'ai un peu décroché car plus rien de très drôle dans le jeu. Quelques longueurs dans le texte.
Une fin explosive. Pas mal...
Après 45 minutes j'ai un peu décroché car plus rien de très drôle dans le jeu. Quelques longueurs dans le texte.
Une fin explosive. Pas mal...
Pièce prévue à 20h30. Le théâtre commence à faire rentrer le public à partir de 20h27. Le public qui est arrivé en avance fait la queue dans la rue et le froid. Le temps que tout le monde entre, la pièce commence avec 25 minutes de retard. Les places en carré or sont à 70 euros, les places en première catégorie sont à 60 euros. Pour ce prix là, on ne peut pas demander au théâtre des Nouveautés d’accueillir correctement le public ?
J’aime énormément le jeu de Thierry Lhermitte, très sobre. En retrait. Ça c’est très bien. Le problème, c’est qu’à force d’être en retrait, on pouvait se demander s’il était encore là ou s’il n’était pas en train de se demander ce qu’il était venu faire dans cette galère.
Le démarrage de la pièce est plutôt bien jusqu’à ce que Bernard Campan prenne des médicaments avec de l’alcool et se mette à déjanter. A partir de là, ils m’ont perdu. Ce qui est censé être un révélateur devient l’occasion de faire n’importe quoi. C’était une fausse bonne idée. On rit mais on n’y croit plus. On regarde tout cela en se demandant où cela va nous mener. La réponse est décevante : nulle-part…
Beau décor...
J’aime énormément le jeu de Thierry Lhermitte, très sobre. En retrait. Ça c’est très bien. Le problème, c’est qu’à force d’être en retrait, on pouvait se demander s’il était encore là ou s’il n’était pas en train de se demander ce qu’il était venu faire dans cette galère.
Le démarrage de la pièce est plutôt bien jusqu’à ce que Bernard Campan prenne des médicaments avec de l’alcool et se mette à déjanter. A partir de là, ils m’ont perdu. Ce qui est censé être un révélateur devient l’occasion de faire n’importe quoi. C’était une fausse bonne idée. On rit mais on n’y croit plus. On regarde tout cela en se demandant où cela va nous mener. La réponse est décevante : nulle-part…
Beau décor...
Le problème avec le théâtre de boulevard c'est qu'il porte en lui même une sorte de légèreté ontologique. On monte rarement dans les tours et l'impact intellectuel n'est jamais vraiment formidable.
Faut-il attendre autre chose que de passer un moment agréable devant un décor souvent réussi (la dimension 3d) animé par des acteurs vedettes qui génèrent par leur notoriété un intérêt pour un public ? Au boulevard on vient surtout voir l'acteur et accessoirement la pièce peut proposer quelque chose ou pas. Les ressorts sont toujours un peu quotidiens, glissés dans des salons souvent bien bourgeois, une sorte de caricature confortable qui invite le rire pour redonner la vie (à la pièce où aux personnages).
Finalement on ne peut attendre autre chose qu'une sorte de satisfaction un peu coupable, un plaisir plutôt gentiment voyeur. On se dit qu'on n'est plus ni dans le bien et le mal mais dans l'empathie d'une sorte de consensus. Cette pièce est tout à fait agréable, l'interprétation est bonne, les stars sont là. Le motif : un gentil quiproquo entre whisky et DSM3, petit problème d'alcool, de sexualité en berne chez les vieux couples, de l'interaction des egos et de l'hypocrisie familiale ordinaire. On voyage un poil dans un fantasme d'évasion spirituelle en yourte, thérapie existentielle futile pour occidentaux usés par les exigences du capitalisme.
Bref pas une mauvaise soirée, une soirée "boulevard" dans ce petit théâtre des grands boulevards.
Faut-il attendre autre chose que de passer un moment agréable devant un décor souvent réussi (la dimension 3d) animé par des acteurs vedettes qui génèrent par leur notoriété un intérêt pour un public ? Au boulevard on vient surtout voir l'acteur et accessoirement la pièce peut proposer quelque chose ou pas. Les ressorts sont toujours un peu quotidiens, glissés dans des salons souvent bien bourgeois, une sorte de caricature confortable qui invite le rire pour redonner la vie (à la pièce où aux personnages).
Finalement on ne peut attendre autre chose qu'une sorte de satisfaction un peu coupable, un plaisir plutôt gentiment voyeur. On se dit qu'on n'est plus ni dans le bien et le mal mais dans l'empathie d'une sorte de consensus. Cette pièce est tout à fait agréable, l'interprétation est bonne, les stars sont là. Le motif : un gentil quiproquo entre whisky et DSM3, petit problème d'alcool, de sexualité en berne chez les vieux couples, de l'interaction des egos et de l'hypocrisie familiale ordinaire. On voyage un poil dans un fantasme d'évasion spirituelle en yourte, thérapie existentielle futile pour occidentaux usés par les exigences du capitalisme.
Bref pas une mauvaise soirée, une soirée "boulevard" dans ce petit théâtre des grands boulevards.
On m'a offert des places (mais que quelqu'un a payé, c'est important pour la fin de ma critique) alors je suis allé voir cette pièce qui ne m'emballait pas. Et bien les mauvaises critiques sont méritées.
On assiste à une toute petite pièce sans grand intérêt. Il n'y a aucun rythme, les dialogues sont pauvres et seul Bernard Campan arrive à faire décrocher quelques sourires dans la salle. Trop de longueur, on finit par s'ennuyer.
Et permettez moi de pousser un énorme coup de gueule contre le Directeur du théâtre. Non monsieur on ne vend pas des places de catégorie 1 (60€ la place quand même) au rang 26 derrière des poteaux. A partir de la moitié de l'orchestre on commence a baisser les prix car on est tellement loin qu'on ne profite pas du spectacle de la même manière.
On assiste à une toute petite pièce sans grand intérêt. Il n'y a aucun rythme, les dialogues sont pauvres et seul Bernard Campan arrive à faire décrocher quelques sourires dans la salle. Trop de longueur, on finit par s'ennuyer.
Et permettez moi de pousser un énorme coup de gueule contre le Directeur du théâtre. Non monsieur on ne vend pas des places de catégorie 1 (60€ la place quand même) au rang 26 derrière des poteaux. A partir de la moitié de l'orchestre on commence a baisser les prix car on est tellement loin qu'on ne profite pas du spectacle de la même manière.
Nous l'attendions depuis longtemps au théâtre, Thierry Lhermitte. Et là, accompagné par Bernard Campan !
Ça aurait pu, ça aurait dû être génial, mais c'est sans intérêt. Nous étions 6 dont 5 du même avis.
Quel dommage...
Ça aurait pu, ça aurait dû être génial, mais c'est sans intérêt. Nous étions 6 dont 5 du même avis.
Quel dommage...
Un sujet banal, un Lhermitte banal, un Campan tout juste moyen, bref une déception.
Quelques rires ici et la. Je pensais naïvement qu'avec des cadors pareils le moment serait plus qu'agréable il n'en fut rien bien au contraire. Les épouses elles étaient ternes, et sans artifices.
Le théâtre de boulevard ne porte pas son nom pour cette pièce.
Quelques rires ici et la. Je pensais naïvement qu'avec des cadors pareils le moment serait plus qu'agréable il n'en fut rien bien au contraire. Les épouses elles étaient ternes, et sans artifices.
Le théâtre de boulevard ne porte pas son nom pour cette pièce.
Pièce sympa sans plus, plutôt une (petite!) série de gags pour Thierry Lhermitte qui est clairement plusieurs crans au-dessus des 3 autres acteurs.
Dans mon cas, la catastrophe est venue du très bas niveau de confort du théâtre des Nouveautés. Nous avons acheté des places dites de "première catégorie". Je n'ose imaginer celles de deuxième catégorie... s'il y en a ! Avec une taille de 183 cm, je pense être raisonnablement dans la norme. Malgré cela, j'ai passé 2 heures en position quasi-foetale avec mes genoux dans le dossier de la personne placée devant moi. L'impossibilité de faire le moindre mouvement et une température hors contrôle... super cocktail !
C'est à un point que j'ai des sérieux doutes en ce qui concerne la sécurité de ce théâtre.
Dans mon cas, la catastrophe est venue du très bas niveau de confort du théâtre des Nouveautés. Nous avons acheté des places dites de "première catégorie". Je n'ose imaginer celles de deuxième catégorie... s'il y en a ! Avec une taille de 183 cm, je pense être raisonnablement dans la norme. Malgré cela, j'ai passé 2 heures en position quasi-foetale avec mes genoux dans le dossier de la personne placée devant moi. L'impossibilité de faire le moindre mouvement et une température hors contrôle... super cocktail !
C'est à un point que j'ai des sérieux doutes en ce qui concerne la sécurité de ce théâtre.
C'est triste de voir des comédiens qu'on apprécie s'embourber dans une pièce pas drôle, sans rythme, où il ne se passe rien.
On s'ennuie, on sourit, allez... 3 ou 4 fois quand même. Mais ça ne prend pas. Même les acteurs ont l'air de s'ennuyer.
De plus, le Théâtre des Nouveautés ne brille pas par son confort. Si vous êtes grand ou costaud, cette salle n'est pas pour vous.... Une note positive pour le décor qui est sympa. Mais ça ne fait pas tout, loin de là....
On s'ennuie, on sourit, allez... 3 ou 4 fois quand même. Mais ça ne prend pas. Même les acteurs ont l'air de s'ennuyer.
De plus, le Théâtre des Nouveautés ne brille pas par son confort. Si vous êtes grand ou costaud, cette salle n'est pas pour vous.... Une note positive pour le décor qui est sympa. Mais ça ne fait pas tout, loin de là....
Qu'allaient ils faire dans cette galère?!
Le talent, réel, reconnu, des quatre interprètes ne parvient pas à sauver la pièce. Ils semblent si peu convaincus eux mêmes qu'une gêne s'installe sur scène et dans la salle. Isabelle le Nouvel a écrit un texte laborieux et entre quelques quiproquos vraiment faibles, on s'égare et on attend quelque chose qui ne vient pas.
Quel ennui ! N'est pas Jean Poiret ou Yasmina Reza qui veut.
Le talent, réel, reconnu, des quatre interprètes ne parvient pas à sauver la pièce. Ils semblent si peu convaincus eux mêmes qu'une gêne s'installe sur scène et dans la salle. Isabelle le Nouvel a écrit un texte laborieux et entre quelques quiproquos vraiment faibles, on s'égare et on attend quelque chose qui ne vient pas.
Quel ennui ! N'est pas Jean Poiret ou Yasmina Reza qui veut.
Le Syndrome de l’Écossais est une pièce divertissante mais qui manque un peu de cohérence.
Thierry Lhermitte et Bernard Campan jouent très bien et leur rôle leur vont à merveille. Le décor est joli et une bonne mise en scène réhausse le tout.
Ce qui rend la pièce moyenne est le texte. En effet, l'idée de base est sympathique mais il manque d'un fil rouge. A certains moments on se demande où la pièce va aller et quand elle va se finir. Ces interrogations sont entrecoupées de répliques réellement drôles.
Mais ce qui déçoit le plus c'est la fin qui arrive comme un cheveu sur la soupe. On ressort du théâtre frustré.
Une pièce que je ne conseillerais pas, ni ne déconseillerais. Allez-y si vous rêvez de voir Lhermitte et Campan.
Thierry Lhermitte et Bernard Campan jouent très bien et leur rôle leur vont à merveille. Le décor est joli et une bonne mise en scène réhausse le tout.
Ce qui rend la pièce moyenne est le texte. En effet, l'idée de base est sympathique mais il manque d'un fil rouge. A certains moments on se demande où la pièce va aller et quand elle va se finir. Ces interrogations sont entrecoupées de répliques réellement drôles.
Mais ce qui déçoit le plus c'est la fin qui arrive comme un cheveu sur la soupe. On ressort du théâtre frustré.
Une pièce que je ne conseillerais pas, ni ne déconseillerais. Allez-y si vous rêvez de voir Lhermitte et Campan.
Les avis de la rédaction