Critiques pour l'événement Le Clan
Savoureuse comédie écrite et mise en scène par Fraticelli entre les « Pieds Niclés » et les « Dalton ».
Une autodérision humoristique et décapante des mafiosi Corse. Les comédiens s’en donnent à cœur joie multipliant les bavures, du contrat raté à l’enlèvement foiré. Il n’y en a pas un pour racheter l’autre. La belette Eric Fraticelli va de gaffes en bévues. Philippe Corti est parfait en gangster quinquagénaire raté. Jean-Jacques Perrone campe avec justesse en abruti cruel qui à arrêté ses étude au portail de l’école. Tant qu’à Denis Braccini, l’intellectuel du gang, pense comme il suit !
Enfin la ravissante Aurélia Decker se rebiffe mais finira par attraper le syndrome de Stockholm. Pour passer une agréable soirée sans prise de tête cette plaisante pièce comique vaut le détour …
Une autodérision humoristique et décapante des mafiosi Corse. Les comédiens s’en donnent à cœur joie multipliant les bavures, du contrat raté à l’enlèvement foiré. Il n’y en a pas un pour racheter l’autre. La belette Eric Fraticelli va de gaffes en bévues. Philippe Corti est parfait en gangster quinquagénaire raté. Jean-Jacques Perrone campe avec justesse en abruti cruel qui à arrêté ses étude au portail de l’école. Tant qu’à Denis Braccini, l’intellectuel du gang, pense comme il suit !
Enfin la ravissante Aurélia Decker se rebiffe mais finira par attraper le syndrome de Stockholm. Pour passer une agréable soirée sans prise de tête cette plaisante pièce comique vaut le détour …
Savoureuse comédie écrite et mise en scène par Fraticelli entre les « Pieds Niclés » et les « Dalton ».
Une autodérision humoristique et décapante des mafiosi Corse. Les comédiens s’en donnent à cœur joie multipliant les bavures, du contrat raté à l’enlèvement foiré. Il n’y en a pas un pour racheter l’autre. La belette Eric Fraticelli va de gaffes en bévues. Philippe Corti est parfait en gangster quinquagénaire raté. Jean-Jacques Perrone campe avec justesse en abruti cruel qui à arrêté ses étude au portail de l’école. Tant qu’à Denis Braccini, l’intellectuel du gang, pense comme il suit !
Enfin la ravissante Aurélia Decker se rebiffe mais finira par attraper le syndrome de Stockholm. Pour passer une agréable soirée sans prise de tête cette plaisante pièce comique vaut le détour …
Une autodérision humoristique et décapante des mafiosi Corse. Les comédiens s’en donnent à cœur joie multipliant les bavures, du contrat raté à l’enlèvement foiré. Il n’y en a pas un pour racheter l’autre. La belette Eric Fraticelli va de gaffes en bévues. Philippe Corti est parfait en gangster quinquagénaire raté. Jean-Jacques Perrone campe avec justesse en abruti cruel qui à arrêté ses étude au portail de l’école. Tant qu’à Denis Braccini, l’intellectuel du gang, pense comme il suit !
Enfin la ravissante Aurélia Decker se rebiffe mais finira par attraper le syndrome de Stockholm. Pour passer une agréable soirée sans prise de tête cette plaisante pièce comique vaut le détour …
Enfin du rire, avec des acteurs tous différents mais avec le même talent !!
J'ai retrouvé l'humour de mon enfance, du de Funès dans Fraticelli, du Pierre Mondy dans Denis Bracing et que dire de Philippe Corti toujours aussi attachant.
J'ai donc passé un très bon moment et pour l'anecdote le monsieur derrière moi qui est venu pour faire plaisir à son épouse et par dessus tout pour dormir (ses paroles !) a ri aux éclats toute la pièce.
J'ai retrouvé l'humour de mon enfance, du de Funès dans Fraticelli, du Pierre Mondy dans Denis Bracing et que dire de Philippe Corti toujours aussi attachant.
J'ai donc passé un très bon moment et pour l'anecdote le monsieur derrière moi qui est venu pour faire plaisir à son épouse et par dessus tout pour dormir (ses paroles !) a ri aux éclats toute la pièce.
Quatre truands Corses, un impulsif, un cruel, un cerveau et un idiot. Vient s'ajouter une otage !
Cette pièce est drôle par les bons mots de ces 4 personnages et par les boulettes de l'idiot du lot !
Ce qui pêche à mon sens c'est la présence de l'otage qui n'apporte pas grand chose par sa personnalité.
Le rythme est irrégulier, mais c'est néanmoins un spectacle original par son propos qui accorde un bon moment de théâtre.
Cette pièce est drôle par les bons mots de ces 4 personnages et par les boulettes de l'idiot du lot !
Ce qui pêche à mon sens c'est la présence de l'otage qui n'apporte pas grand chose par sa personnalité.
Le rythme est irrégulier, mais c'est néanmoins un spectacle original par son propos qui accorde un bon moment de théâtre.
C'est donc une bande de tocards corses, petits malfrats ratés qui cherchent le coup à faire pour se remplumer. Coup qui ne se passe pas bien sûr comme ils l'avaient prévu.
Cette histoire est drôle et on s'attache aux personnages. Même si quelques incohérences peuvent prêter à sourire on y croit et on se laisse embarquer.
Malheureusement au bout d'un moment on sent un essoufflement. Le contenu est occupé par des mini-sketch sur la mentalité "primaire" qui peut être celle des corses avec le foot, les femmes, le plastiquage.... C'est souvent drôle mais on a un peu l'impression qu'il fallait en passer par là.
Il manque un peu d'écriture du coeur de la pièce (et de rodage des acteurs aussi sûrement) pour qu'elle soit plus dynamique, plus forte, qu'il y ait plus de rythme.
Les noirs entre chaque scène sont un peu trop présents et rapprochés. Au bout d'un moment ça casse un peu le tempo.
Ce qui manque à la mise en scène c'est donner plus de rythme à l'ensemble. Les comédiens ont besoin d'être plus en interaction, plus naturels plus fluides.
Mais pour le reste l'aménagement des décors donne un réalisme aux va-et-vient des comédiens. On est vraiment au fond d'une cave.
Le décor est de belle facture, assez méticuleux.
On a d'office un regard bienveillant sur ces "gueules" à fort accent. Parce qu'ils ont vraiment de sacrées gueules. Ce qui est assez bien d'échapper aux jeunes premiers qui jouent aux durs. Leur physique apporte beaucoup à leurs personnages et leur crédibilité. Leur accent qui n'est manifestement pas feint apporte la petite note ensoleillée et décalée à ce quatuor.
Parmi ces 4 bandits malheureusement celui qui semble en dehors du texte, du groupe, de la pièce presque, est celui qui au contraire devrait apporter le liant, qui devrait porter les autres : le boss, le grand costaud. Il ne semble avoir de costaud que son physique, pour le reste il n'y est pas. Il ne joue pas bien tout simplement. Dommage car les autres, et en particulier la comédienne, sont bien.
Au final on se dit qu'on a rit... un peu.
Cette histoire est drôle et on s'attache aux personnages. Même si quelques incohérences peuvent prêter à sourire on y croit et on se laisse embarquer.
Malheureusement au bout d'un moment on sent un essoufflement. Le contenu est occupé par des mini-sketch sur la mentalité "primaire" qui peut être celle des corses avec le foot, les femmes, le plastiquage.... C'est souvent drôle mais on a un peu l'impression qu'il fallait en passer par là.
Il manque un peu d'écriture du coeur de la pièce (et de rodage des acteurs aussi sûrement) pour qu'elle soit plus dynamique, plus forte, qu'il y ait plus de rythme.
Les noirs entre chaque scène sont un peu trop présents et rapprochés. Au bout d'un moment ça casse un peu le tempo.
Ce qui manque à la mise en scène c'est donner plus de rythme à l'ensemble. Les comédiens ont besoin d'être plus en interaction, plus naturels plus fluides.
Mais pour le reste l'aménagement des décors donne un réalisme aux va-et-vient des comédiens. On est vraiment au fond d'une cave.
Le décor est de belle facture, assez méticuleux.
On a d'office un regard bienveillant sur ces "gueules" à fort accent. Parce qu'ils ont vraiment de sacrées gueules. Ce qui est assez bien d'échapper aux jeunes premiers qui jouent aux durs. Leur physique apporte beaucoup à leurs personnages et leur crédibilité. Leur accent qui n'est manifestement pas feint apporte la petite note ensoleillée et décalée à ce quatuor.
Parmi ces 4 bandits malheureusement celui qui semble en dehors du texte, du groupe, de la pièce presque, est celui qui au contraire devrait apporter le liant, qui devrait porter les autres : le boss, le grand costaud. Il ne semble avoir de costaud que son physique, pour le reste il n'y est pas. Il ne joue pas bien tout simplement. Dommage car les autres, et en particulier la comédienne, sont bien.
Au final on se dit qu'on a rit... un peu.