Critiques pour l'événement Ils s'aiment depuis 20 ans
Je souhaitais assister au nouveau casting 100% féminin pour voir Muriel Robin sur scène.
Et pour tout dire, je ne fus pas déçu car je trouve que cela donne une réelle fraîcheur à ces sketchs déjà vus et revus.
Le duo comique fonctionne aussi bien que celui de Palmade et Laroque à l'époque.
Je fus heureux de retrouver les meilleurs sketchs du 1er spectacle. Et d'ailleurs j'aurais même préféré qu'on revoit seulement "Ils s'aiment", car il faut dire que la qualité des spectacles a décliné avec les années.
Le spectacle étant un condensé des 3 spectacles, on en perd d'autant plus dans la dynamique globale de la pièce qui s'essouffle au fur et à mesure que les sketchs avancent.
Et pour tout dire, je ne fus pas déçu car je trouve que cela donne une réelle fraîcheur à ces sketchs déjà vus et revus.
Le duo comique fonctionne aussi bien que celui de Palmade et Laroque à l'époque.
Je fus heureux de retrouver les meilleurs sketchs du 1er spectacle. Et d'ailleurs j'aurais même préféré qu'on revoit seulement "Ils s'aiment", car il faut dire que la qualité des spectacles a décliné avec les années.
Le spectacle étant un condensé des 3 spectacles, on en perd d'autant plus dans la dynamique globale de la pièce qui s'essouffle au fur et à mesure que les sketchs avancent.
Trois soirées au Zénith de Paris juste avant Noël, un duo différent chaque soir.
Pour moi, ce fut l'excellent duo Michèle Laroque et Muriel Robin.
Nous avons assisté à une série de sketchs sur la vie d'un couple de femmes et on a plutot ri car c'est bien écrit, c'est bien envoyé par ces deux dames mais comme Stéphanie le disait, il y a quelque chose qui ne prend pas complètement et je pense comme elle, que c'est la salle du Zénith en elle-même. Il n'y a pas d'âme ici et c'est immense, comment être dans la pièce quand les comédiens ressemblent à deux souris sur scène ?
Dommage, car oui, j'ai vu des gens se lever pour aller chercher une boisson entre deux sketchs, des gens qui parlaient entre eux comme s'ils étaient dans leur salon et des gens qui sont partis...
Pour moi, ce fut l'excellent duo Michèle Laroque et Muriel Robin.
Nous avons assisté à une série de sketchs sur la vie d'un couple de femmes et on a plutot ri car c'est bien écrit, c'est bien envoyé par ces deux dames mais comme Stéphanie le disait, il y a quelque chose qui ne prend pas complètement et je pense comme elle, que c'est la salle du Zénith en elle-même. Il n'y a pas d'âme ici et c'est immense, comment être dans la pièce quand les comédiens ressemblent à deux souris sur scène ?
Dommage, car oui, j'ai vu des gens se lever pour aller chercher une boisson entre deux sketchs, des gens qui parlaient entre eux comme s'ils étaient dans leur salon et des gens qui sont partis...
C'est quand même curieux, l'alchimie d'un spectacle !
Dans celui-ci, Michèle Laroque se montre une fois de plus une excellente comédienne. Elle déploie une grande énergie tout en trouvant toujours le ton juste. Pierre Palmade, lui, est un peu à la traîne. Les textes sont très bons, bien construits, bien écrits. Mais dans l'ensemble, même si l'on rit souvent, même si on entre dans le jeu, on reste déçu.
Pourquoi ? Peut-être cette grande salle sans âme, le Zénith, qui n'installe pas de lien avec les acteurs ? Peut-être trop souvent une impression de déjà vu dans les sketches ? En tout cas, l'ambiance n'est pas là. Et un spectacle sans ambiance n'a pas besoin d'être un spectacle. Un DVD suffit.
Un indice caractéristique : quelques groupes de spectateurs quittent la salle entre deux sketches...
Et une question : pourquoi nous infliger une si longue attente avant le début du spectacle avec une première partie inadaptée elle aussi.
Dans celui-ci, Michèle Laroque se montre une fois de plus une excellente comédienne. Elle déploie une grande énergie tout en trouvant toujours le ton juste. Pierre Palmade, lui, est un peu à la traîne. Les textes sont très bons, bien construits, bien écrits. Mais dans l'ensemble, même si l'on rit souvent, même si on entre dans le jeu, on reste déçu.
Pourquoi ? Peut-être cette grande salle sans âme, le Zénith, qui n'installe pas de lien avec les acteurs ? Peut-être trop souvent une impression de déjà vu dans les sketches ? En tout cas, l'ambiance n'est pas là. Et un spectacle sans ambiance n'a pas besoin d'être un spectacle. Un DVD suffit.
Un indice caractéristique : quelques groupes de spectateurs quittent la salle entre deux sketches...
Et une question : pourquoi nous infliger une si longue attente avant le début du spectacle avec une première partie inadaptée elle aussi.