Critiques pour l'événement Antoine Dulery fait son cinéma
« Ces voix, ce ne sont pas des imitations, c'est de l'amour ! »
Voici le cri du cœur que lance à la salle de la Gaîté-Montparnasse Antoine Duléry au milieu de son spectacle.
De l'amour.
Le comédien, durant pratiquement une heure trente, va rendre en les imitant souvent à la perfection un vrai hommage à tous ses camarades comédiens, vivants ou disparus qu'il aime, voire qu'il vénère. (Le verbe n'est pas trop fort, en l'écoutant imiter Louis Jouvet, Jean Marais ou encore Jean-Louis Barrault, trois de ses héros avec qui il a joué.)
M. Duléry est drôle. Très drôle.
Avec une particularité de plus en plus rare dans le monde du one-man-show : il est drôle sans être méchant.
Bien entendu, il égratigne quand même quelques-unes de ses « cibles », n'est-ce pas Francis Huster...
Mais je me répète, rien de méchant.
Ce spectacle de sketches a deux liants.
Une soirée de laquelle le comédien n'arrive pas à s'extirper, tellement ses potes lui demandent de les divertir de ses anecdotes et de ses imitations.
Et puis, une séance de psychanalyse, dans un fauteuil. Son Henri Chapier est épatant...
Mis en scène par pascal Serieis, (qui est également co-auteur des textes), Antoine Duléry incarne de façon magistrale Fabrice Luchini (qui est en quelque sorte le M. Loyal de la soirée. « C'est énorme ! »)
Sont également formidablement interprétés Daniel Prévost (« Tous des ringards ! »), Patrick Chesnais, Pierre Arditi (« Voilà, voilà... »), Claude Lelouch, (« Mince, j'ai oublié la pellicule ») Michel Galabru (" La pomponnette ! La voilà, la salooooooope ") et bien d'autres encore !
Il connaît bien les originaux, les anecdotes qu'il leur consacre sont on ne peu plus véridiques.
Loi du genre oblige, il va fortement interagir avec le public.
Un public totalement conquis et totalement réceptif.
Hier nous étions à peu près les cinq sixièmes de la salle à nous transformer en... arbres ! Si si....
Certains spectateurs en prennent pour leur grade.
N'est-ce pas, Léon ? N'est-ce pas les pauvres et les radins des premier et deuxième balcons ?
Mais toujours sans méchanceté aucune, et dans une vraie bonhommie.
Un moment du spectacle m'a particulièrement bluffé : celui où le comédien incarne de façon phénoménale Marlon Brando. C'en est même troublant.
Quant à Robert de Niro jouant la scène de la biscotte dans la Cage aux Folles, c'est purement et simplement grandiose !
Et puis, soudain, dans un éclat de rire général, un sumotori entre à la fois en scène et en action !
Je n'en dirai pas plus...
De temps en temps, on atteint des sommets. Quand il se lâche vraiment, on assiste à une espèce de folie parfois totalement surréaliste.
Là encore, je vous laisse découvrir par vous-mêmes.
On ressort de ce spectacle le cœur léger, de très bonne humeur, en ayant passé un TRES bon moment, et d'avoir côtoyé toutes les célébrités évoquées.
Antoine Duléry aime vraiment ceux qu'il imite.
C'est évident. De l'amour, vous disais-je !
Voici le cri du cœur que lance à la salle de la Gaîté-Montparnasse Antoine Duléry au milieu de son spectacle.
De l'amour.
Le comédien, durant pratiquement une heure trente, va rendre en les imitant souvent à la perfection un vrai hommage à tous ses camarades comédiens, vivants ou disparus qu'il aime, voire qu'il vénère. (Le verbe n'est pas trop fort, en l'écoutant imiter Louis Jouvet, Jean Marais ou encore Jean-Louis Barrault, trois de ses héros avec qui il a joué.)
M. Duléry est drôle. Très drôle.
Avec une particularité de plus en plus rare dans le monde du one-man-show : il est drôle sans être méchant.
Bien entendu, il égratigne quand même quelques-unes de ses « cibles », n'est-ce pas Francis Huster...
Mais je me répète, rien de méchant.
Ce spectacle de sketches a deux liants.
Une soirée de laquelle le comédien n'arrive pas à s'extirper, tellement ses potes lui demandent de les divertir de ses anecdotes et de ses imitations.
Et puis, une séance de psychanalyse, dans un fauteuil. Son Henri Chapier est épatant...
Mis en scène par pascal Serieis, (qui est également co-auteur des textes), Antoine Duléry incarne de façon magistrale Fabrice Luchini (qui est en quelque sorte le M. Loyal de la soirée. « C'est énorme ! »)
Sont également formidablement interprétés Daniel Prévost (« Tous des ringards ! »), Patrick Chesnais, Pierre Arditi (« Voilà, voilà... »), Claude Lelouch, (« Mince, j'ai oublié la pellicule ») Michel Galabru (" La pomponnette ! La voilà, la salooooooope ") et bien d'autres encore !
Il connaît bien les originaux, les anecdotes qu'il leur consacre sont on ne peu plus véridiques.
Loi du genre oblige, il va fortement interagir avec le public.
Un public totalement conquis et totalement réceptif.
Hier nous étions à peu près les cinq sixièmes de la salle à nous transformer en... arbres ! Si si....
Certains spectateurs en prennent pour leur grade.
N'est-ce pas, Léon ? N'est-ce pas les pauvres et les radins des premier et deuxième balcons ?
Mais toujours sans méchanceté aucune, et dans une vraie bonhommie.
Un moment du spectacle m'a particulièrement bluffé : celui où le comédien incarne de façon phénoménale Marlon Brando. C'en est même troublant.
Quant à Robert de Niro jouant la scène de la biscotte dans la Cage aux Folles, c'est purement et simplement grandiose !
Et puis, soudain, dans un éclat de rire général, un sumotori entre à la fois en scène et en action !
Je n'en dirai pas plus...
De temps en temps, on atteint des sommets. Quand il se lâche vraiment, on assiste à une espèce de folie parfois totalement surréaliste.
Là encore, je vous laisse découvrir par vous-mêmes.
On ressort de ce spectacle le cœur léger, de très bonne humeur, en ayant passé un TRES bon moment, et d'avoir côtoyé toutes les célébrités évoquées.
Antoine Duléry aime vraiment ceux qu'il imite.
C'est évident. De l'amour, vous disais-je !
Encore un comédien qui veut faire un one man show... Et bien non, grosse surprise en allant voir hier soir Antoine Dulery au Grand Point Virgule.
Bon, ce n'est pas un imitateur, loin de là, mais il arrive à prendre les gestes ou les mimiques des acteurs à qui il veut rendre hommage comme Belmondo, Galabru, Louis Jouvet ou encore Fabrice Luchini. On passe un très bon moment même si la scène du sumo n'était pas désirable.
Et je trouve qu'entre chaque "tableaux" ça manque de liant.
Bon, ce n'est pas un imitateur, loin de là, mais il arrive à prendre les gestes ou les mimiques des acteurs à qui il veut rendre hommage comme Belmondo, Galabru, Louis Jouvet ou encore Fabrice Luchini. On passe un très bon moment même si la scène du sumo n'était pas désirable.
Et je trouve qu'entre chaque "tableaux" ça manque de liant.
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