Second degré au delà du zéro absolu nous plonge dans l'univers de l'élégamment impétueux Winston Thomas Lawrence Carter... Le choc des cultures pop américaine et littéraire française, portée par un gentleman sensible à l'humour subtil.

Entre lucidité cynique et digressions acides, offrez-vous le grand frisson d'un spectacle tout en finesse (un peu comme le grand écart de Jean Claude Van Damme), où des raisonnements habilement sinistres digne d'un Pierre Desproges, côtoient l'action et le suspense des meilleurs films de Sylvester Stallone.

Un mélange irrésistible, qui nous montre qu'on peut encore être drôle, tout en parlant un français impeccable, même quand on est américain. Une occasion unique de découvrir cet artiste hors-norme.

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Alphonse Cohen

8,5/¹⁰

Un bon moment dans l'univers de cet "acteur américain", je le recommande chaudement. Une première plutôt bien menée, curieux de voir la suite. Étonnant mélange entre les niveaux de cultures, des passages extrêmement lettrés et d'autres plus légers. Assez réussi. Difficile à décrire en fait, c'est un ovni...

p.s. Il faut effectivement, un peu de second degré, mais, on ne peut pas dire qu'on soit pas prévenus...

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Critique débutante

31 ans

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Sandra Legrand

7/¹⁰

Comme le titre l'indique il faut aimer le second degré. En tous cas le spectacle est réellement bien mené car il a réussi à nous transporter de l'humour noir à l'absurde en passant par le stand up tout en restant dans un humour au second degré.
Bravo pour l'écriture.

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