- Exposition
- Musée Maillol
- Paris 7ème
Expo Hyperréalisme, ceci n'est pas un corps
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Plongez dans l’univers troublant de l’hyperréalisme.
Après Bilbao, Canberra, Rotterdam, Liège et Bruxelles où elle a connu un immense succès, l’exposition itinérante « Hyperréalisme. Ceci n’est pas un corps » s’arrêtera prochainement au Musée Maillol dans une version enrichie et en partie inédite.
L’hyperréalisme est un courant artistique apparu dans les années 1960 aux Etats-Unis et dont les techniques sont explorées depuis lors par de nombreux artistes contemporains.
1 critique
Bon, on ne va pas se mentir ! Mes approches sur ce mouvement artistique « l’Hyperréalisme » étaient succintes. Il y a quelques années, certes, le travail de George Segal m’avait surprise. Mais, plus récemment, à la Bourse du Commerce/collection Pinault à Paris, Charles Ray et Maurizio Cattelan ne m’avaient pas franchement emballée.
Cependant l’affiche de l’exposition représentant la nageuse de Carole A. Feuerman m’avait séduite. Et ma curiosité fut récompensée. Ce courant artistique né aux Etats-Unis dans les années 60 s’exprime dans des sculptures ou compositions sculpturales nous imergeant dans l’illusion optique. « Ceci n’est pas un corps » nous dit l’intitulé de l’exposition (en référence à Magritte) et pourtant « ceci est un corps », avons-nous envie de répondre. D’ailleurs je me suis bien fourvoyée à attendre avec impatience que « Caroline » qui était en train de regarder quelque chose à travers un mur, me laisse sa place. Daniel Firman m’a tout de suite fait comprendre que ce n’était qu’une « copie » d’un corps, et c’était pourtant « la » copie d’un corps !
Art, Réel, Copie : les limites s’estompent. De belles étrangetés sensorielles vous attendent. Une quarantaine de sculptures qui vous font entrer dans la chair d’un cow-boy, de travailleurs (Duane Hanson – Tom Kuebler), de baigneuses (Jacques Verduyn). Fabien Mérelle nous questionne avec son homme tronçonné ou son autoportrait onirique. Beaucoup d’émotions avec le poignant clochard de Peter Land ou la grand-mère de Sam Jinks portant dans ses bras un bébé. Enfin, le « clou du spectacle » : l’incroyable sculpture cinématographique de Glaser/Kunz.
Après Bilbao, Canberra, Rotterdam, Liège et Bruxelles, l’exposition « Hyperréalisme – ceci est un corps » est à la Sucrière à Lyon jusqu’au 6 juin 2022 avant d’arriver au Musée Maillol à Paris. A ne pas manquer.
Cependant l’affiche de l’exposition représentant la nageuse de Carole A. Feuerman m’avait séduite. Et ma curiosité fut récompensée. Ce courant artistique né aux Etats-Unis dans les années 60 s’exprime dans des sculptures ou compositions sculpturales nous imergeant dans l’illusion optique. « Ceci n’est pas un corps » nous dit l’intitulé de l’exposition (en référence à Magritte) et pourtant « ceci est un corps », avons-nous envie de répondre. D’ailleurs je me suis bien fourvoyée à attendre avec impatience que « Caroline » qui était en train de regarder quelque chose à travers un mur, me laisse sa place. Daniel Firman m’a tout de suite fait comprendre que ce n’était qu’une « copie » d’un corps, et c’était pourtant « la » copie d’un corps !
Art, Réel, Copie : les limites s’estompent. De belles étrangetés sensorielles vous attendent. Une quarantaine de sculptures qui vous font entrer dans la chair d’un cow-boy, de travailleurs (Duane Hanson – Tom Kuebler), de baigneuses (Jacques Verduyn). Fabien Mérelle nous questionne avec son homme tronçonné ou son autoportrait onirique. Beaucoup d’émotions avec le poignant clochard de Peter Land ou la grand-mère de Sam Jinks portant dans ses bras un bébé. Enfin, le « clou du spectacle » : l’incroyable sculpture cinématographique de Glaser/Kunz.
Après Bilbao, Canberra, Rotterdam, Liège et Bruxelles, l’exposition « Hyperréalisme – ceci est un corps » est à la Sucrière à Lyon jusqu’au 6 juin 2022 avant d’arriver au Musée Maillol à Paris. A ne pas manquer.
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