- En tournée
- En tournée dans toute la France
Flashdance

- Priscilla Betti
- En tournée dans toute la France
Célébrant son 30e anniversaire, le phénomène du film à succès « FLASHDANCE », est maintenant sur scène !
Une Comédie musicale avec une bande son qui comprend les plus grands hits dance des années 80. Le spectacle FLASHDANCE raconte l'histoire inoubliable d’Alex, ouvrière dans une aciérie de Pittsburgh le jour, et danseuse dans un bar la nuit, rêvant de devenir un jour une star de la danse.
Quand une romance avec son patron à l’usine, menace de compliquer ses ambitions, Alex apprend la signification de l'amour, et se sert de son talent afin de réaliser son rêve.
Retrouvez sur scène plus de 30 artistes qui vous feront danser sur les plus grands titres tels que "What a Feeling", "Maniac", "Gloria", "Manhunt", "I Love Rock & Roll ", “Cameleon Girls”…
La critique de la rédaction : Oumppfffw… Difficile de sortir la tête de l’oreiller. Ardu le réveil le lendemain de Flashdance. Hier j’ai assisté à trois heures de show comme chez les américains avec des danses énergiques, des grands tubes à fond la caisse, des confettis à gogo, des jeux de lumières plein les yeux, je ne sais plus très bien qui je suis, où je suis, dans quel état j’ère ? Courbaturé comme si j’avais moi aussi été sur scène, je me souviens mal si je suis allé faire la fête en boite de nuit ou voir une comédie musicale.
Car Flashdance, c’est chaque soir une fête. Tous les hits du Top 50 des années 80 y passent. Ils sont très bien interprétés, accompagnés de chorégraphies entrainantes et variées allant de la danse classique en tutu aux danses urbaines torse-nu (ouaich gros !).
J’ai particulièrement apprécié la chorégraphie aérienne de la copine dépravée d’Alex dans le club de strip-tease, la voix de la chanteuse noire qui réjouit les oreilles des spectateurs dès qu’elle pousse la chansonnette et surtout la mise en scène. Elle apporte de la magie et des surprises, notamment grâce aux jeux d’écrans qui permettent de changer de décor en un claquement de doigts.
C’est vrai qu’étant un homme j’ai parfois trouvé ce spectacle girly dans lequel les mecs n’ont que des rôles de potiches (hihi) un peu long et les chansons un peu mielleuses. J’aurais aimé qu’un ou deux des acteurs-chanteurs aient des grosses voix de basse pour jongler entre différentes tessitures et être sur de ne pas percer mes sensibles tympans.
Mais ce sera un vrai coup de cœur pour les adolescentes d’aujourd’hui, celles qui l’étaient hier et celles qui l’étaient avant-hier, à l’époque de la sortie du film (1983, elles ne sont plus ados depuis belle lurette !). Toutes s’identifieront à l’héroïne rebelle en quête de son avenir, qui tient coûte que coûte à se construire toute seule. D’ailleurs Priscilla Betti épate dans son rôle qui lui va comme un gant.
En conclusion, bravo au théâtre du Gymnase, car programmer une comédie musicale digne d’un spectacle de Broadway ça ne s’improvise pas. C’était audacieux, voire casse-gueule. Ils réussissent à tenir tête au théâtre du Chatelet et à Mogador avec des moyens -un petit peu- moins importants.
Total : on s’ennuie ferme. On a l’impression de passer complètement à côté du sujet. De vagues chansonnettes plutôt minables alimentent le spectacle. On attend en vain les tubes. Bref, c’est complètement raté.
Je déconseille, la frustration est trop grande.
Vraiment décevant pour moi qui avait été transportée par ce film (notamment la scène de l'audition) alors que j'étais une jeune danseuse ado.
Pourtant, nous sommes ce soir bien loin des clichés d’un show à l’américaine pour midinettes (bien qu’il nous faille admettre que le public féminin avait répondu présent en plus grande majorité que ces messieurs). Devenus adultes, d’autres thèmes essentiels à la construction d’une vie harmonieuse nous apparaissent et sautent aux yeux comme le dépassement de soi et l’accès à des ambitions élévatrices pour atteindre et réaliser ses rêves. Croire en soi, faire le grand saut, défier le sort, trouver la force de se dépasser et montrer à tous ce que l’on veut et ce que l’on est sont des ambitions et des valeurs fortes non négligeables pour toute une génération, à l’heure où les réseaux sociaux crées des identités virtuelles nous éloignant de nous-mêmes.
Alex Owens est ouvrière dans une aciérie le jour et danseuse dans un club la nuit. Ce qui l’anime, c’est la danse, la passion, la musique. Nous sommes alors en 1984, à Pittsburg comme le rappelle le tableau d’ouverture, un remake vidéo du film, dont l’esprit se retrouve tout au long du spectacle, où l’on découvre Alex, sur son vélo, se rendant à l’usine de sa ville d’acier qui emprisonne les rêves. Puis d’un coup, nous voici à l’intérieur, sur le plateau éclairé de rouge où les métallurgistes soudeurs en combinaison beige gagnent leur vie comme ils le peuvent en cette période de crise économique. Mais la romance entre la belle soudeuse et le patron, le ténébreux Nick Hurley, risque fortement de compromettre ses rêves d’intégrer l’académie de danse dont elle espère réussir le concours d’entrée, soutenue par la délicieuse Anna, ancienne professeur de ballet.
Si l’on excepte les tubes comme Maniac ou What the feeling d’Irène Cara (scène inoubliable de l’audition finale) interprétés en anglais, le livret signé Tom Hedley et Robert Cary, sur une musique de Robbie Roth, semble un peu faible dans les traductions françaises mais qu’importe, l’énergie fougueuse de la troupe mise en scène par Philippe Hersen parvient à dépasser ce léger défaut. Il faut dire que les chorégraphies de Marjorie Ascione, mêlant les genres, du break dance au ballet en passant par la danse moderne ou le hip-hop, sont d’un dynamisme époustouflant. Avec un impressionnant travail sur les lumières et les clairs-obscurs, la très belle et astucieuse scénographie, qui joue sur les ombres, les hauteurs et les perspectives, bénéficie d’un renfort pertinent de la vidéo qui agrandit considérablement l’espace scénique, nous faisant passer en un éclair de l’usine au lof d’Alex, de la rue à l’académie de danse ou à l’intérieur soigné d’Anna. Le besoin irrépressible de danser la vie émane de chaque membre de la troupe des trente danseurs, avec à sa tête le formidable et convaincant duo de protagonistes.
Priscilla Betti, repérée à l’âge de 11 ans sur le plateau de Drôles de petits champions et qui a sorti plusieurs albums avant de se tourner vers la comédie où elle obtient le premier rôle en 2008 de la série Chante !, a beaucoup changé. L’enfant-star a bien grandi. Gracieuse, de nature sauvage voire féline, elle envoûte par sa prestation autant physique qu’émotionnelle quand elle incarne avec une grande justesse Alex tandis que le ténor à la voix puissante, Gaétan Borg, fait des étincelles en donnant vie avec beaucoup d’aisance au beau Nick Hurley.
Cependant, le couple-phare ne supplante en rien le reste de la distribution de haut niveau, parfaitement homogène et irréprochable, dont nous nous devons de souligner la sublime performance de Gloria, dont nous ignorons le nom malgré de longues recherches, qui frise la perfection dans son solo où elle exprime pleinement toute sa fatigue de vivre.
Les rêves suffisent-ils pour croire au bonheur ? Il n’y a qu’un moyen de le savoir : essayer ! Alors sortez les body échancrés et vous aussi faites le plein d’énergie comme si le monde entier n’existait pas ou bien laissez-vous tout simplement porter par le show. Chanter, danser et célébrer la vie : voici le programme qui vous attend si vous croisez la route de la tournée de Flashdance.
Pour faire plaisir à mon épouse j'ai décidé de l'accompagner voir le spectacle tiré du mytique film Flashdance. Or, rien en rapport avec le film, des scènes de dialogues interminables, des chorégraphies trop rares alors que l'équipe de danseurs mérite d'être bien plus présente et des chansons traduites très platoniques.
Bref, un veritable ennui durant plus de 2 heures.
Nous serions partis à l'entracte sans scrupule si nous n'avions pas vu le film et la scène magique de l'audition accompagnée de la chanson phare du film.
Remplacer Jennifer Beals par Priscillia, morte de rire ! J'avais l'impression de regarder une de ces séries très enfantines. Les dialogues étaient longs et pas respectés selon le film original.
Dance hip-hop... non mais on va où !
C'est tout sauf le film Flashdance que j'ai connu.
Je suis très déçue et je le conseillerais à personne.