Critiques pour l'événement Par delà les Marronniers, revue
J'ai vu ce spectacle au Quartz à Brest (1/12/2016)
Il faut être J.M. Ribes pour avoir l'aplomb de présenter au public un spectacle d'un ennui aussi mortel : les spectateurs s'ennuient, les comédiens s'ennuient malgré l'effort de certains pour donner vie à ce texte indigent dans cette mise en scène inexistante.
Si les trois personnages historiques qui ont "inspiré" ce texte à J.M.R. ont un intérêt quelconque dans l'histoire de l'art et le dadaïsme en particulier, ce n'est pas ce spectacle qui nous en apportera la révélation. Et quel culot de faire référence au victimes de l'attentat contre Charlie Hebdo pour attirer le chaland.
Rien à sauver dans ce monument de vanité. C'était long, long, long...
Par respect pour le travail des comédiens, le public - moi y compris - a applaudi à la fin, mais c'était sans plus. La stupéfaction fut à son comble -ou était-ce de la gêne- quand M. Ribes se présenta sur scène à la demande de ses interprètes pour recueillir quelques maigres applaudissements.
La déception est d'autant plus grande que j'avais un a priori plutôt favorable sur ce spectacle compte tenu de la verve passée de J.M. Ribes, mais hélas Topor n'est plus là...
A fuir.
Il faut être J.M. Ribes pour avoir l'aplomb de présenter au public un spectacle d'un ennui aussi mortel : les spectateurs s'ennuient, les comédiens s'ennuient malgré l'effort de certains pour donner vie à ce texte indigent dans cette mise en scène inexistante.
Si les trois personnages historiques qui ont "inspiré" ce texte à J.M.R. ont un intérêt quelconque dans l'histoire de l'art et le dadaïsme en particulier, ce n'est pas ce spectacle qui nous en apportera la révélation. Et quel culot de faire référence au victimes de l'attentat contre Charlie Hebdo pour attirer le chaland.
Rien à sauver dans ce monument de vanité. C'était long, long, long...
Par respect pour le travail des comédiens, le public - moi y compris - a applaudi à la fin, mais c'était sans plus. La stupéfaction fut à son comble -ou était-ce de la gêne- quand M. Ribes se présenta sur scène à la demande de ses interprètes pour recueillir quelques maigres applaudissements.
La déception est d'autant plus grande que j'avais un a priori plutôt favorable sur ce spectacle compte tenu de la verve passée de J.M. Ribes, mais hélas Topor n'est plus là...
A fuir.
Ce spectacle ne m'a pas plu, il est un peu trop intellectuel pour moi.
Je n'ai pas aimé le concept, c'est du théâtre contemporain assez difficile d’accès. Je me suis un peu ennuyée, j'ai néanmoins apprécié les interventions de type "revue" des 3 filles.
Ce type de pièce n'est pas fait pour moi.
Je n'ai pas aimé le concept, c'est du théâtre contemporain assez difficile d’accès. Je me suis un peu ennuyée, j'ai néanmoins apprécié les interventions de type "revue" des 3 filles.
Ce type de pièce n'est pas fait pour moi.
Quand on a un théâtre, on peut y faire jouer ses pièces. Jean-Michel Ribes présente au théâtre du Rond-Point "Par-delà les marronniers" pour rendre hommage à la fureur de vivre dont faisaient preuve des artistes pendant la guerre de 14-18. C'est dans une ambiance de revue avec des paillettes et des chansons, que l'on part à la découverte d'un univers.
En 1972, Jean-Michel Ribes découvre Arthur Cravan, Jacques Vaché et Jacques Rigaut. Trois artistes rebelles à qui il décide de rendre hommage dans un spectacle. D'ailleurs, le spectacle commence avec la présentation de ces trois dandys tout de satin blanc vêtus qui prennent la parole l'un après l'autre. Puis la lumière éclaire la scène aux décors mobiles et on découvre trois femmes qui chantent. Elles vont chanter pendant tout le spectacle en incarnant différents personnages et en changeant de tenues. Puis un dernier homme qui incarne différents personnages selon les besoins des histoires.
Ces trois hommes "héros" (?) vont prendre tour à tour la parole et nous parler de leur vie, de leurs pensées d'artistes dada. Mais ils parlent et il ne se passe rien. Je me demande quand quelque chose va arriver et provoquer en moi même juste un sourire. Le temps avance doucement et les spectateurs quittent la salle. Le spectacle dure 1h30, temps qui parut très long. J'ai beaucoup de mal à résister au sommeil et le ronflement de mon voisin du dessus ne m'aide pas. Il y a quelques phrases comme le gars qui est l'inventeur de l'humour sans h cependant cela ne rebondit sur rien. Puis l'ennui vient de plus en plus vite pour ne plus jamais me quitter. Heureusement que les chanteuses ont de très jolies voix qui sauvent le spectacle.
Des invitations pour le théâtre du Rond-Point c'est assez rare et cela aurait du me mettre la puce à l'oreille. Pourquoi un tel théâtre a du mal à remplir et en plus la grande salle? J'ai trouvé : parce que le spectacle est ennuyant et que les spectateurs partent pendant la représentation. Donc passez votre chemin pour vous diriger vers d'autres théâtres parisiens.
En 1972, Jean-Michel Ribes découvre Arthur Cravan, Jacques Vaché et Jacques Rigaut. Trois artistes rebelles à qui il décide de rendre hommage dans un spectacle. D'ailleurs, le spectacle commence avec la présentation de ces trois dandys tout de satin blanc vêtus qui prennent la parole l'un après l'autre. Puis la lumière éclaire la scène aux décors mobiles et on découvre trois femmes qui chantent. Elles vont chanter pendant tout le spectacle en incarnant différents personnages et en changeant de tenues. Puis un dernier homme qui incarne différents personnages selon les besoins des histoires.
Ces trois hommes "héros" (?) vont prendre tour à tour la parole et nous parler de leur vie, de leurs pensées d'artistes dada. Mais ils parlent et il ne se passe rien. Je me demande quand quelque chose va arriver et provoquer en moi même juste un sourire. Le temps avance doucement et les spectateurs quittent la salle. Le spectacle dure 1h30, temps qui parut très long. J'ai beaucoup de mal à résister au sommeil et le ronflement de mon voisin du dessus ne m'aide pas. Il y a quelques phrases comme le gars qui est l'inventeur de l'humour sans h cependant cela ne rebondit sur rien. Puis l'ennui vient de plus en plus vite pour ne plus jamais me quitter. Heureusement que les chanteuses ont de très jolies voix qui sauvent le spectacle.
Des invitations pour le théâtre du Rond-Point c'est assez rare et cela aurait du me mettre la puce à l'oreille. Pourquoi un tel théâtre a du mal à remplir et en plus la grande salle? J'ai trouvé : parce que le spectacle est ennuyant et que les spectateurs partent pendant la représentation. Donc passez votre chemin pour vous diriger vers d'autres théâtres parisiens.
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