Critiques pour l'événement LIKE
Une pièce aussi intelligente que distrayante bien ancrée dans notre époque.
Les dialogues sont percutants, amusants et bien construits portés par des acteurs crédibles.
On rit on s’amuse on réfléchit bref on passe un excellent moment.
Bravo et merci !
Les dialogues sont percutants, amusants et bien construits portés par des acteurs crédibles.
On rit on s’amuse on réfléchit bref on passe un excellent moment.
Bravo et merci !
La quête de la confiance en soi passe parfois par l’approbation des autres.
À l’ère des réseaux sociaux, nous sommes de plus en plus habitués à rechercher dans chacun de nos actes, même les plus banals, un moyen de reconnaissance, voire d’admiration de la part de spectateurs invisibles et inconnus.
À l’aide d’un téléphone, nous pouvons tous prendre la lumière et tenter de s’affirmer, de s’explorer, d’exister, sur la grande scène virtuelle que nous offrent Instagram et consorts. Pour le meilleur, comme pour le pire…
C’est cette étrange évolution de la société qu’Ivan Calberac nous propose d’explorer dans sa dernière création, Like. Nous rencontrons Lou, professeur de yoga indifférente au monde des réseaux sociaux, qui va devoir s’y intéresser pour pouvoir conserver son activité professionnelle.
D’abord dubitative, elle va rapidement se laisser entraîner à poster des selfies, des photos et des vidéos de sa vie privée puis à apporter des changements à cette dernière pour plaire au plus grand monde. Son objectif de départ disparaît au profit d’une collecte effrénée de « likes », ces précieuses marques d’attention virtuelles. Les scénarios rocambolesques qu’elle va vivre sur les réseaux viendront chambouler sa vie et celles de ses proches pour notre plus grand plaisir de spectateurs.
Car nous sommes devant une comédie où l’on rit sincèrement de toutes ces dérives du monde qui nous entoure.
La mise en scène utilise avec ingéniosité un écran en fond de plateau pour afficher les irruptions du virtuel dans le réel à coups de photos hilarantes et de commentaires fictifs plus vrais que nature.
Le traitement de la lumière et de la musique est simple, mais efficace : nous nous y retrouvons bien entre les différentes scènes.
Mais c’est dans le jeu des acteurs qu’apparaît ce qui fait le sel de cette histoire.
Lison Pennec campe une Lou attachante et capable d’aller jusqu’au bout de ce que va entreprendre son personnage dans sa recherche débridée de likes.
Arthur Gomez est très drôle dans le rôle du compagnon d’abord sceptique puis de plus en plus dépassé par les évènements.
Benoit Tachoires multiplie les personnages, tour à tour chirurgien, ami, vigile, etc... Sa bonhomie sert à merveille ses différentes interprétations.
Un spectacle en crescendo avec des artistes qui s’amusent.
À liker sans modération !
À l’ère des réseaux sociaux, nous sommes de plus en plus habitués à rechercher dans chacun de nos actes, même les plus banals, un moyen de reconnaissance, voire d’admiration de la part de spectateurs invisibles et inconnus.
À l’aide d’un téléphone, nous pouvons tous prendre la lumière et tenter de s’affirmer, de s’explorer, d’exister, sur la grande scène virtuelle que nous offrent Instagram et consorts. Pour le meilleur, comme pour le pire…
C’est cette étrange évolution de la société qu’Ivan Calberac nous propose d’explorer dans sa dernière création, Like. Nous rencontrons Lou, professeur de yoga indifférente au monde des réseaux sociaux, qui va devoir s’y intéresser pour pouvoir conserver son activité professionnelle.
D’abord dubitative, elle va rapidement se laisser entraîner à poster des selfies, des photos et des vidéos de sa vie privée puis à apporter des changements à cette dernière pour plaire au plus grand monde. Son objectif de départ disparaît au profit d’une collecte effrénée de « likes », ces précieuses marques d’attention virtuelles. Les scénarios rocambolesques qu’elle va vivre sur les réseaux viendront chambouler sa vie et celles de ses proches pour notre plus grand plaisir de spectateurs.
Car nous sommes devant une comédie où l’on rit sincèrement de toutes ces dérives du monde qui nous entoure.
La mise en scène utilise avec ingéniosité un écran en fond de plateau pour afficher les irruptions du virtuel dans le réel à coups de photos hilarantes et de commentaires fictifs plus vrais que nature.
Le traitement de la lumière et de la musique est simple, mais efficace : nous nous y retrouvons bien entre les différentes scènes.
Mais c’est dans le jeu des acteurs qu’apparaît ce qui fait le sel de cette histoire.
Lison Pennec campe une Lou attachante et capable d’aller jusqu’au bout de ce que va entreprendre son personnage dans sa recherche débridée de likes.
Arthur Gomez est très drôle dans le rôle du compagnon d’abord sceptique puis de plus en plus dépassé par les évènements.
Benoit Tachoires multiplie les personnages, tour à tour chirurgien, ami, vigile, etc... Sa bonhomie sert à merveille ses différentes interprétations.
Un spectacle en crescendo avec des artistes qui s’amusent.
À liker sans modération !