Critiques pour l'événement Les Voyages Fantastiques
Après avoir vu Le Marchand de Venise de Ned Grujic au Théâtre du Lucernaire, je découvre avec autant de plaisir ses Voyages Fantastiques.
Nous sommes en 1910, dans les studios de Georges Méliès. Le cinéaste en manque d’inspiration veut mettre la clef sous la porte et fermer les studios. Mais ses comédiens cherchent à tout prix un moyen pour continuer à exercer leur art. Ils décident donc d’utiliser une machine à voyager dans le temps et permettent à leur maître de rencontrer le grand Jules Verne, qu’il admire tant, afin que les deux hommes fassent un film ensemble.
C’est de cette rencontre que vont naître Les Voyages Fantastiques.
Nous assistons donc pendant près d’une heure aux coulisses de la création d’un film du premier génie du cinéma.
Le dispositif scénique est assez simple (comme quoi, parfois, avec peu on peut faire beaucoup) : une scène surélevée sur laquelle se déroulent les épisodes tournés du film de Georges Méliès; derrière celle-ci se trouve une toile sur laquelle est projetée la toile de fond (le décor) de l’épisode. Les projections sont manipulées en direct par Antoine Théry que l’on avait déjà pu découvrir dans Le Marchand de Venise.
Un régal visuel pour les petits comme pour les grands.
Nous sommes en 1910, dans les studios de Georges Méliès. Le cinéaste en manque d’inspiration veut mettre la clef sous la porte et fermer les studios. Mais ses comédiens cherchent à tout prix un moyen pour continuer à exercer leur art. Ils décident donc d’utiliser une machine à voyager dans le temps et permettent à leur maître de rencontrer le grand Jules Verne, qu’il admire tant, afin que les deux hommes fassent un film ensemble.
C’est de cette rencontre que vont naître Les Voyages Fantastiques.
Nous assistons donc pendant près d’une heure aux coulisses de la création d’un film du premier génie du cinéma.
Le dispositif scénique est assez simple (comme quoi, parfois, avec peu on peut faire beaucoup) : une scène surélevée sur laquelle se déroulent les épisodes tournés du film de Georges Méliès; derrière celle-ci se trouve une toile sur laquelle est projetée la toile de fond (le décor) de l’épisode. Les projections sont manipulées en direct par Antoine Théry que l’on avait déjà pu découvrir dans Le Marchand de Venise.
Un régal visuel pour les petits comme pour les grands.
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