Critiques pour l'événement Les liaisons dangereuses, Manon Montel
Après avoir découvert le travail de la Compagnie Chouchenko par leur mise en scène des Misérables, j’étais très curieuse de voir leur nouvelle création : Les liaisons dangereuses d’après Laclos.
On retrouve le rythme et l’inventivité que l’on avait déjà pu trouver dans leur précédent spectacle.
La scénographie évolue au fil du spectacle en fonction des besoins de la mise en scène. Ce sont les comédien-nes qui manipulent le décor. Ce dernier existe donc grâce et par eux ! C’est une utilisation de l’espace que j’apprécie particulièrement et qui ici fonctionne à merveille. De plus, celle-ci est mise en valeur par les lumières de Denis Koransky (qui a également éclairé le spectacle Amok avec Alexis Moncorgé) !
Mettre en scène un roman épistolaire quasiment sans toucher le texte est un sacré défi, ici parfaitement relevé.
Comme pour Les Misérables, Manon Montel, la metteure en scène, a choisi de représenter l’histoire à partir de l’œil d’un personnage qui peut paraître lors d’une première lecture de l’oeuvre moins centrale. Ainsi, alors que c’était précédemment du point de vue de Mme Thénardier, c’est de celui de Danceny que l’histoire se déroule grâce à la correspondance qu’il a entre les mains : le passé défile sous ses yeux !
Encore un beau moment de théâtre offert par la Compagnie Chouchenko !
On retrouve le rythme et l’inventivité que l’on avait déjà pu trouver dans leur précédent spectacle.
La scénographie évolue au fil du spectacle en fonction des besoins de la mise en scène. Ce sont les comédien-nes qui manipulent le décor. Ce dernier existe donc grâce et par eux ! C’est une utilisation de l’espace que j’apprécie particulièrement et qui ici fonctionne à merveille. De plus, celle-ci est mise en valeur par les lumières de Denis Koransky (qui a également éclairé le spectacle Amok avec Alexis Moncorgé) !
Mettre en scène un roman épistolaire quasiment sans toucher le texte est un sacré défi, ici parfaitement relevé.
Comme pour Les Misérables, Manon Montel, la metteure en scène, a choisi de représenter l’histoire à partir de l’œil d’un personnage qui peut paraître lors d’une première lecture de l’oeuvre moins centrale. Ainsi, alors que c’était précédemment du point de vue de Mme Thénardier, c’est de celui de Danceny que l’histoire se déroule grâce à la correspondance qu’il a entre les mains : le passé défile sous ses yeux !
Encore un beau moment de théâtre offert par la Compagnie Chouchenko !
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