Critiques pour l'événement Je t'ai laissé un mot sur le frigo
Quel ennui !!!!
Tout est raté!
Mise en scène nulle, texte ennuyeux, interprétation approximative, sujet... Sans intérêt.
Soit vous avez vécu cette situation et vous regrettez d'être venu, soit vous ne l'avez pas vécu, mais vous connaissez l'évolution de cette situation.
Bref, cela n'apporte rien, que de l'ennui !
C'est long, long, long, long...
Un vrai pensum !
Tout est raté!
Mise en scène nulle, texte ennuyeux, interprétation approximative, sujet... Sans intérêt.
Soit vous avez vécu cette situation et vous regrettez d'être venu, soit vous ne l'avez pas vécu, mais vous connaissez l'évolution de cette situation.
Bref, cela n'apporte rien, que de l'ennui !
C'est long, long, long, long...
Un vrai pensum !
Il existe des pièces que l’on réserve uniquement sur le nom de ses interprètes. Aucune idée de l’histoire, aucun retour de critiques, juste une confiance pleine et aveugle.
Aussi quand annonce fut faite que dans JE T’AI LAISSÉ UNE MOT SUR LE FRIGO la pétillante Michèle BERNIER allait partager la scène avec sa fille, la pétulante Charlotte GACCIO que j’avais grandement apprécié dans ÉNORME !, réservation fut faite dans la foulée. C’est pourquoi ma déception fut d’autant plus grande face à cet ersatz théâtral qui doit être considéré comme une “lecture” et non comme une pièce de théâtre (la plupart des sites spécialisés ayant d’ailleurs fait l’amalgame en présentant la pièce comme une comédie au début de la mise en vente des billets). Une lecture passablement soporifique au demeurant, la faute à une mise en scène complètement ratée se limitant à un long plan fixe d’1h15 des deux comédiennes assises sur un pupitre face au public…
Le pitch était pourtant prometteur : pour Kate (GACCIO), 15 ans, le monde tourne autour de l’école et de son petit ami. Sa mère (BERNIER), elle, est toujours absente, débordée par son travail. Aussi pour communiquer se laissent-elles des post-it sur le frigo. Mais un jour la mère de Kate lui annonce qu’elle est malade… A priori, sur le papier on est plutôt confiant, mais voilà, à l’arrivée dans la salle on tique déjà : aucun décor si n’est un grand rideau laid (qui a l’avantage de cacher le décor de MARIS ET FEMMES, le spectacle suivant) et deux chaises vides surélevées face au public. Autant être franc c’est assez austère ! Le spectacle commence, les deux comédiennes viennent s’installer et resteront assises pendant toute toute la durée de la pièce, chacune à lire à tour de rôle, sur leur livret respectif, le message laissé à l’autre, sans aucune interaction, sans jamais s’adresser la parole directement. Cette mise en scène signée Marie-Pascale OSTERRIETH est d’une tristesse infinie. Pour une pièce sur le sens de la vie, sur scène ça en manque cruellement !
Cette lecture couvre les quatre saisons, séparées par un très court interlude vidéo. J’ai d’abord cru, naïvement, que la lecture serait la première partie du spectacle et qu’en seconde les comédiennes passeraient en mode théâtre mais il n’en est rien. Passé l’effet de surprise, et au bout de la lecture de la première saison, on se dit que ça va être long. A tel point que j’ai été littéralement hypnotisé par le nombre de pages restantes sur le livret des comédiennes. Et par le son des pages qui se tournent que j’ai trouvé finalement assez violent (surtout que l’on pique inévitablement du nez à un moment ou à un autre). Alors certes il s’agit d’une lecture mais une lecture ce n’est pas forcément statique, ça peut tout à fait être vivant (Fabrice LUNCHINI, par exemple, fait ça très bien). L’interprétation des comédiennes n’est pourtant pas en faute. Les intonations sont adaptées aux propos des messages et la diction est parfaite (point important pour une lecture!) mais, concentrées sur leur livret et engoncées dans leur pupitre sans liberté de mouvement, difficile pour elles de réussir à faire passer des émotions et pour nous spectateurs de ressentir la moindre empathie pour les personnages.
Et finalement c’est bien dommage car le texte d’Alice KUIPERS (tiré de son roman épistolaire Ne t’inquiète pas pour moi sorti en 2011) est intéressant et le propos profond et émouvant. Mais l’adaptation théâtrale n’est pas concluante. Pourtant il y avait possibilité, par exemple, d’adapter certains messages, notamment ceux faisant référence aux rencontres mère-fille de la veille, en scènettes jouables pour rendre le texte plus vivant. N’était-ce pas ici l’occasion de limiter cette impression d’austérité et de donner du rythme à la pièce ? Je suis donc ressorti sceptique et triplement déçu. Déçu en tant que spectateur d’abord de ne pas avoir eu l’occasion d’avoir eu le plaisir de voir ces deux comédiennes avoir plaisir à se donner la réplique. Déçu aussi pour le roman lui même (que je m’apprête d’ailleurs à lire), qui n’a pas fait l’objet d’une adaptation convaincante. Déçu enfin pour les deux comédiennes qu’on attendait certes pas sur ce genre de projet mais qui auraient mérité d’être davantage mis en valeur. Je comprends tout à fait la démarche de BERNIER de vouloir changer de registre et de s’essayer à autre chose, et la volonté de chacune de partager la scène avec l’autre mais n’y avait-il pas sur la place de Paris projet plus pertinent, plus ambitieux ? Sans doute le texte a-t-il résonné chez l’une ou l’autre d’un point de vue personnel aussi leur choix doit-il être respecté. Je retiendrai d’ailleurs, au salut du public, l’émotion non feinte de Michèle BERNIER et la fierté du duo à l’avoir interprété. Un duo qui garde à mes yeux tout son capital sympathie.
Aussi quand annonce fut faite que dans JE T’AI LAISSÉ UNE MOT SUR LE FRIGO la pétillante Michèle BERNIER allait partager la scène avec sa fille, la pétulante Charlotte GACCIO que j’avais grandement apprécié dans ÉNORME !, réservation fut faite dans la foulée. C’est pourquoi ma déception fut d’autant plus grande face à cet ersatz théâtral qui doit être considéré comme une “lecture” et non comme une pièce de théâtre (la plupart des sites spécialisés ayant d’ailleurs fait l’amalgame en présentant la pièce comme une comédie au début de la mise en vente des billets). Une lecture passablement soporifique au demeurant, la faute à une mise en scène complètement ratée se limitant à un long plan fixe d’1h15 des deux comédiennes assises sur un pupitre face au public…
Le pitch était pourtant prometteur : pour Kate (GACCIO), 15 ans, le monde tourne autour de l’école et de son petit ami. Sa mère (BERNIER), elle, est toujours absente, débordée par son travail. Aussi pour communiquer se laissent-elles des post-it sur le frigo. Mais un jour la mère de Kate lui annonce qu’elle est malade… A priori, sur le papier on est plutôt confiant, mais voilà, à l’arrivée dans la salle on tique déjà : aucun décor si n’est un grand rideau laid (qui a l’avantage de cacher le décor de MARIS ET FEMMES, le spectacle suivant) et deux chaises vides surélevées face au public. Autant être franc c’est assez austère ! Le spectacle commence, les deux comédiennes viennent s’installer et resteront assises pendant toute toute la durée de la pièce, chacune à lire à tour de rôle, sur leur livret respectif, le message laissé à l’autre, sans aucune interaction, sans jamais s’adresser la parole directement. Cette mise en scène signée Marie-Pascale OSTERRIETH est d’une tristesse infinie. Pour une pièce sur le sens de la vie, sur scène ça en manque cruellement !
Cette lecture couvre les quatre saisons, séparées par un très court interlude vidéo. J’ai d’abord cru, naïvement, que la lecture serait la première partie du spectacle et qu’en seconde les comédiennes passeraient en mode théâtre mais il n’en est rien. Passé l’effet de surprise, et au bout de la lecture de la première saison, on se dit que ça va être long. A tel point que j’ai été littéralement hypnotisé par le nombre de pages restantes sur le livret des comédiennes. Et par le son des pages qui se tournent que j’ai trouvé finalement assez violent (surtout que l’on pique inévitablement du nez à un moment ou à un autre). Alors certes il s’agit d’une lecture mais une lecture ce n’est pas forcément statique, ça peut tout à fait être vivant (Fabrice LUNCHINI, par exemple, fait ça très bien). L’interprétation des comédiennes n’est pourtant pas en faute. Les intonations sont adaptées aux propos des messages et la diction est parfaite (point important pour une lecture!) mais, concentrées sur leur livret et engoncées dans leur pupitre sans liberté de mouvement, difficile pour elles de réussir à faire passer des émotions et pour nous spectateurs de ressentir la moindre empathie pour les personnages.
Et finalement c’est bien dommage car le texte d’Alice KUIPERS (tiré de son roman épistolaire Ne t’inquiète pas pour moi sorti en 2011) est intéressant et le propos profond et émouvant. Mais l’adaptation théâtrale n’est pas concluante. Pourtant il y avait possibilité, par exemple, d’adapter certains messages, notamment ceux faisant référence aux rencontres mère-fille de la veille, en scènettes jouables pour rendre le texte plus vivant. N’était-ce pas ici l’occasion de limiter cette impression d’austérité et de donner du rythme à la pièce ? Je suis donc ressorti sceptique et triplement déçu. Déçu en tant que spectateur d’abord de ne pas avoir eu l’occasion d’avoir eu le plaisir de voir ces deux comédiennes avoir plaisir à se donner la réplique. Déçu aussi pour le roman lui même (que je m’apprête d’ailleurs à lire), qui n’a pas fait l’objet d’une adaptation convaincante. Déçu enfin pour les deux comédiennes qu’on attendait certes pas sur ce genre de projet mais qui auraient mérité d’être davantage mis en valeur. Je comprends tout à fait la démarche de BERNIER de vouloir changer de registre et de s’essayer à autre chose, et la volonté de chacune de partager la scène avec l’autre mais n’y avait-il pas sur la place de Paris projet plus pertinent, plus ambitieux ? Sans doute le texte a-t-il résonné chez l’une ou l’autre d’un point de vue personnel aussi leur choix doit-il être respecté. Je retiendrai d’ailleurs, au salut du public, l’émotion non feinte de Michèle BERNIER et la fierté du duo à l’avoir interprété. Un duo qui garde à mes yeux tout son capital sympathie.
Nous, nous étions 3 copines, pas une a aimé la pièce, trop de rien, une lecture rien d'autre ! Non, évitez.
Nos voisins de sièges étaient aussi déçus que nous... Ceux de derrière nous n'étaient pas contents d'avoir assisté à une lecture.
Un seul regret : d'avoir invité mes 2 copines à voir une pièce nulle !
Nos voisins de sièges étaient aussi déçus que nous... Ceux de derrière nous n'étaient pas contents d'avoir assisté à une lecture.
Un seul regret : d'avoir invité mes 2 copines à voir une pièce nulle !
Franchement, c'est d'une tristesse !!! Michèle Bernier joue tellement bien d'habitude.
J'ai passé une heure et quart à attendre sur mon siège que cela se termine. Lire un dialogue n'a en plus rien de théâtral !
Vivement un rôle de composition plus attrayant et plus riche de décors et de mouvements.
J'ai passé une heure et quart à attendre sur mon siège que cela se termine. Lire un dialogue n'a en plus rien de théâtral !
Vivement un rôle de composition plus attrayant et plus riche de décors et de mouvements.
Les avis de la rédaction