C'est dans le cadre de la 9ième BIAM, Biennale Internationale des Arts de la Marionnette à la Maison des Métallos (Paris 11°), que nous découvrions ce spectacle d'orfèvres incroyable.

Sans mots, tout se joue dans l'attitude, le langage du corps du comédien face à ses marionnettes de plastique et un décor facétieux. Les marionnettes ont-elles une âme propre ? La scénographie de haute voltige, dont tous les éléments du décor boisé ont une fonction précise. On adore la valse douce et amoureuse entre le héro et sa femme marionnette de plastique.

Bien-sûr, nous savons parfaitement qu'il s'agit là d'une marionnette de plastique, mais notre cerveau se laisse berné, entraîné par la beauté de ce moment de grâce.