- Exposition
- Bourse de Commerce, Pinault Collection
- Paris 1er
Expo Charles Ray

4/10
- Bourse de Commerce, Pinault Collection
- 2 Rue de Viarmes
- 75001 Paris
- Chatelet-Les Halles (l.1, l.4, l.7, l.11, l.14)
Itinéraire
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Figure majeure de l’art de notre temps, le sculpteur américain Charles Ray (né en 1953) fait l’actualité culturelle : en dialogue avec l’artiste, la Bourse de Commerce - Pinault Collection lui consacre une importante exposition.
Cette carte blanche à l’artiste, inédite en France et en Europe par son ampleur, est partagée avec le Centre Pompidou : deux expositions présentées dans les deux musées, voisins l’un de l’autre.
Le corpus de l’œuvre de Charles Ray étant composé d’une centaine de sculptures et de bas-reliefs, c’est plus d’un tiers de son œuvre sculpté qui se trouve présenté à Paris pour la première fois, avec près d’une vingtaine d’œuvres à la Bourse de Commerce — Pinault Collection comme au Centre Pompidou.
1 critique
« Charles Ray » est la grande exposition actuelle de la Bourse du Commerce. Charles Ray est un artiste américain né en 1953 qui interroge la sculpture classique à partir de thèmes contemporains.
D’une inventivité peu intense, ces œuvres m’ont semblé bien fades à vouloir coller à tout prix à des modèles antiques. S’en démarquent néanmoins deux sculptures de Sans domicile fixe, Jeff et Sleeping Woman, ainsi qu’une « ruine » de tracteur … Les autres artistes présents sont décevants comme Bertrand Lavier aux concepts trop faciles. Adel Abdessemed qui m’avait éblouie et scotchée en 2018 lors de son exposition « Antidote » au MAC de Lyon, ici, m’a plutôt saoulée avec son Joueur de flûte.
Les pigeons de Maurizio Cattelan sont sympathiques mais cela fait-il une œuvre ? Vous pourrez toujours vous rabattre sur l’intéressante architecture de la Bourse du Commerce (18ème/19ème) retravaillée par l’architecte contemporain Tadao Ando.
D’une inventivité peu intense, ces œuvres m’ont semblé bien fades à vouloir coller à tout prix à des modèles antiques. S’en démarquent néanmoins deux sculptures de Sans domicile fixe, Jeff et Sleeping Woman, ainsi qu’une « ruine » de tracteur … Les autres artistes présents sont décevants comme Bertrand Lavier aux concepts trop faciles. Adel Abdessemed qui m’avait éblouie et scotchée en 2018 lors de son exposition « Antidote » au MAC de Lyon, ici, m’a plutôt saoulée avec son Joueur de flûte.
Les pigeons de Maurizio Cattelan sont sympathiques mais cela fait-il une œuvre ? Vous pourrez toujours vous rabattre sur l’intéressante architecture de la Bourse du Commerce (18ème/19ème) retravaillée par l’architecte contemporain Tadao Ando.
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