- Exposition
- Musée Marmottan Monet
- Paris 16ème
Expo Camille Pissarro le premier des impressionnistes

- Musée Marmottan Monet
- 2, rue Louis Boilly
- 75016 Paris
- La Muette (l.9, RER C)
Le musée Marmottan Monet présente, du 23 février au 2 juillet 2017, la première exposition monographique Camille Pissarro organisée à Paris depuis 36 ans.
Quelque soixante-quinze de ses chefs-d’œuvre, peintures et tempéras, provenant des plus grands musées du monde entier et de prestigieuses collections privées, retracent l'œuvre de Camille Pissarro, de sa jeunesse dans les Antilles danoises jusqu’aux grandes séries urbaines de Paris, Rouen et Le Havre de la fin de sa vie. Considéré par Cézanne comme « le premier des impressionnistes », Pissarro est l’un des fondateurs de ce groupe.
Il est également le seul à participer à leurs huit expositions. Compagnon et ami fidèle de Monet, maître de Cézanne et de Gauguin, inspirateur de Seurat, défenseur de Signac, Pissarro est un artiste majeur et incontournable. Intellectuel polyglotte, engagé et militant, à l’écoute des jeunes générations, son œuvre, puissante et en perpétuelle évolution, offre un panorama unique des recherches qui ont animé les cercles impressionnistes et postimpressionnistes de la seconde moitié du XIXème siècle.
Là, pas de progression significative. Juste une similitude incroyable avec Seurat lorsqu'il est à la pointe de son art de peintre. Car nous découvrons que Pissarro réalise des dessins à l'encre réalistes. Il s'affiche comme un individu engagé. Mais quelque chose d'incohérent se dégage de cette révélation, il semble que sa personnalité profonde se situe finalement ailleurs que dans ces tableaux. Il se dit anarchiste alors qu'il vit en famille en campagne.
Au final, à vouloir en savoir davantage je suis sorti de cette exposition dépitée et au regret d'avoir dépensé 12 euros.
De si belles oeuvres dans un lieu si petit, si mal adapté.
Même en pleine semaine, en milieu de journée il fallait se mettre sur la pointe des pieds pour voir quoi que ce soit.
Limite scandaleux pour l'oeuvre d'un tel Maître de la peinture.
Impossible d'y voir correctement quoi que ce soit, le lieu ressemblait aux quais du RER à l'heure de pointe occupés par les maisons de retraite de Paris ( au passage merci pour les coups de cannes ... )
Vraiment dommage que de tels chefs d'oeuvre ne puissent etre appréciés à leur juste valeur compte tenu de la mauvaise organisation du lieu.
Rendez-vous au Musée du Luxembourg en espérant plus de visibilité.