Critiques pour l'événement Saturday Night Fever
Ce spectacle musical est avant tout un époustouflant spectacle de danse sur les standards cultes de « Saturday nigth fiver ».
Le DJ Gwendal Marimoutou, que nous avions déjà remarqué dans « Résiste », mène la danse. On se retrouve plongé dans la fièvre du samedi soir des années disco. La talentueuse troupe de danseurs est remarquable. La chorégraphie de Stéphane Jarny colle magnifiquement avec les tubes sublimissimes des Bee Gees interprétés avec talent par un trio de chanteurs et Vinicius Timmerman. Tony, le beau Nicolas Archambault et Stéphanie, la fantastique danseuse Fauve Hautot forment un couple parfait. Les décors sont superbes sans oublier les incontournables boules à facettes ainsi que les costumes à paillettes.
Vous apprendrez même les rudiments de la danse dico, le déhanché, les moulinets, et autres mouvements à la base de cette danse. Nostalgie quand tu nous tiens !
Le DJ Gwendal Marimoutou, que nous avions déjà remarqué dans « Résiste », mène la danse. On se retrouve plongé dans la fièvre du samedi soir des années disco. La talentueuse troupe de danseurs est remarquable. La chorégraphie de Stéphane Jarny colle magnifiquement avec les tubes sublimissimes des Bee Gees interprétés avec talent par un trio de chanteurs et Vinicius Timmerman. Tony, le beau Nicolas Archambault et Stéphanie, la fantastique danseuse Fauve Hautot forment un couple parfait. Les décors sont superbes sans oublier les incontournables boules à facettes ainsi que les costumes à paillettes.
Vous apprendrez même les rudiments de la danse dico, le déhanché, les moulinets, et autres mouvements à la base de cette danse. Nostalgie quand tu nous tiens !
J'ai passé une excellente soirée au Palais des Sports.
Quelle troupe! Les costumes à paillettes sont superbes, les chorégraphies sont endiablées et la mise en scène rythmée. Les interprètes et les danseurs sont extra ordinaires mais l'héroïne du show est belle bien Fauve Hautot bourrée de talent et de charisme ❤️
Vive le "musical" vive le Disco et vive la Danse.
Quelle troupe! Les costumes à paillettes sont superbes, les chorégraphies sont endiablées et la mise en scène rythmée. Les interprètes et les danseurs sont extra ordinaires mais l'héroïne du show est belle bien Fauve Hautot bourrée de talent et de charisme ❤️
Vive le "musical" vive le Disco et vive la Danse.
Au Palais des Sports, il est temps de sortir vos plus beaux pantalons pattes d’eph, vos mocassins argentés à paillettes et vos bodys gainants !
Stéphane Jarny ressuscite Saturday Night Fever, le film culte des années 70 avec une frénésie endiablée. Du rythme, de la sensualité, du peps et de la joie : un cocktail explosif qui enflamme le public ! La sublime et flamboyante Fauve Hautot fait grimper la température et éclipse sans mal Nicolas Archambault, son partenaire de scène falot. C’est parti, le disco va vous mettre en transe !
Stéphanie Mangano et Tony Manero n’ont a priori aucn centre d’intérêt en commun. Elle, une jeune femme ambitieuse qui rêve de percer dans l’édition musicale ; lui, un petit voyou insouciant qui trime dans un garage. Pourtant, leur passion pour la danse va les réunir dans un concours.
Soyons clairs, le livret ne casse pas la baraque, les dialogues sonnent plutôt creux mais là ne réside pas l’essentiel. On nous avait prévenus que ce serait le show non stop et le spectacle tient effectivement toutes ses promesses ! On se trémousse sans arrêt, la musique résonne indéfiniment. Bref, on est là pour shaker son booty ! Stéphane Jarny impose une cadence d’enfer à sa mise en scène ultra dynamique. La scénographie très astucieuse de Stéphane Roy en tournette fluidifie l’action en concentrant l’espace sur un cercle. Rien de très innovant mais c’est efficace.
La bonne idée provient de l’ajout de personnages extérieurs : Gwendal Marimoutou est formidable en Monsieur Loyal-DJ. Sa bonne humeur communicative, son sourire étincelant et sa complicité naturelle avec le public comblent habilement les brèches narratives sans alourdir le récit. Un trio de chanteurs impeccable vient combler les carences vocales du duo phare : Nevedya (lionne à la voix Tina Turnesque) ; Stephan Rizon (crooner né) et Flo Maley (le swing dans la peau). Bravo à eux car ils tiennent tout de même le spectacle sur leurs épaules ! On se régale à écouter de nouveau « Stayin’ Alive », « Night Fever », « If I can’t have you »…
Queen of the night
Mais si la BO tient une part primordiale dans le show, on vient surtout évidemment admirer les chorégraphies au taquet et torrides de Malik Le Nost ! Torses nus, combis ultra moulantes… L’ambiance bouillonnante invite au désir et au plaisir. Et justement, quel plaisir d’admirer la piquante Fauve Hautot qui prend visiblement son pied à chacune de ses apparitions sur scène ! La belle rousse se déchaîne, se donne avec une énergie hallucinante et met le public à ses pieds. C’est elle la reine de la soirée ! Définitivement. Avec sa paire de jambes affriolantes, sa souplesse de chatte et son regard de braise, elle nous hypnotise. Et surprise, elle se révèle tout à fait convaincante dans les instants de pur jeu : sa fraîcheur, son insolence et sa spontanéité font des merveilles. À côté d’elle, Nicolas Archambault ne tient pas du tout la comparaison. Si ses abdominaux émoustillent les sens, ses talents d’interprète laissent sérieusement à désirer. Son zozotement et son accent indéfinissable sont des tue-l’amour : il ne semble pas du tout à l’aise dans ses moments parlés et on espère rapidement qu’il se mette à danser… Au niveau de la danse, les deux se complètent plutôt bien, l’alchimie opère mais Fauve Hautot méritait un partenaire avec un charisme à sa hauteur.
Stéphane Jarny ressuscite Saturday Night Fever, le film culte des années 70 avec une frénésie endiablée. Du rythme, de la sensualité, du peps et de la joie : un cocktail explosif qui enflamme le public ! La sublime et flamboyante Fauve Hautot fait grimper la température et éclipse sans mal Nicolas Archambault, son partenaire de scène falot. C’est parti, le disco va vous mettre en transe !
Stéphanie Mangano et Tony Manero n’ont a priori aucn centre d’intérêt en commun. Elle, une jeune femme ambitieuse qui rêve de percer dans l’édition musicale ; lui, un petit voyou insouciant qui trime dans un garage. Pourtant, leur passion pour la danse va les réunir dans un concours.
Soyons clairs, le livret ne casse pas la baraque, les dialogues sonnent plutôt creux mais là ne réside pas l’essentiel. On nous avait prévenus que ce serait le show non stop et le spectacle tient effectivement toutes ses promesses ! On se trémousse sans arrêt, la musique résonne indéfiniment. Bref, on est là pour shaker son booty ! Stéphane Jarny impose une cadence d’enfer à sa mise en scène ultra dynamique. La scénographie très astucieuse de Stéphane Roy en tournette fluidifie l’action en concentrant l’espace sur un cercle. Rien de très innovant mais c’est efficace.
La bonne idée provient de l’ajout de personnages extérieurs : Gwendal Marimoutou est formidable en Monsieur Loyal-DJ. Sa bonne humeur communicative, son sourire étincelant et sa complicité naturelle avec le public comblent habilement les brèches narratives sans alourdir le récit. Un trio de chanteurs impeccable vient combler les carences vocales du duo phare : Nevedya (lionne à la voix Tina Turnesque) ; Stephan Rizon (crooner né) et Flo Maley (le swing dans la peau). Bravo à eux car ils tiennent tout de même le spectacle sur leurs épaules ! On se régale à écouter de nouveau « Stayin’ Alive », « Night Fever », « If I can’t have you »…
Queen of the night
Mais si la BO tient une part primordiale dans le show, on vient surtout évidemment admirer les chorégraphies au taquet et torrides de Malik Le Nost ! Torses nus, combis ultra moulantes… L’ambiance bouillonnante invite au désir et au plaisir. Et justement, quel plaisir d’admirer la piquante Fauve Hautot qui prend visiblement son pied à chacune de ses apparitions sur scène ! La belle rousse se déchaîne, se donne avec une énergie hallucinante et met le public à ses pieds. C’est elle la reine de la soirée ! Définitivement. Avec sa paire de jambes affriolantes, sa souplesse de chatte et son regard de braise, elle nous hypnotise. Et surprise, elle se révèle tout à fait convaincante dans les instants de pur jeu : sa fraîcheur, son insolence et sa spontanéité font des merveilles. À côté d’elle, Nicolas Archambault ne tient pas du tout la comparaison. Si ses abdominaux émoustillent les sens, ses talents d’interprète laissent sérieusement à désirer. Son zozotement et son accent indéfinissable sont des tue-l’amour : il ne semble pas du tout à l’aise dans ses moments parlés et on espère rapidement qu’il se mette à danser… Au niveau de la danse, les deux se complètent plutôt bien, l’alchimie opère mais Fauve Hautot méritait un partenaire avec un charisme à sa hauteur.
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