Critiques pour l'événement Expo Dada Africa
Expo intéressante bien construite ; il est néanmoins conseillé d'avoir des connaissances préalables avant de découvrir cette expo fournie et bien présentée.
Une exposition qui dans l'ensemble tient ses promesses et nous permet de découvrir un volet méconnu de la production dadaïste.
Néanmoins "Dada Africa" ne saurait être une première approche de ce mouvement et on ne peut que souhaiter avoir davantage d'informations, de manière générale, et particulièrement en ce qui concerne le contexte artistique au sein duquel les influences extra-occidentales vont trouver leur place.
Pour autant cette expo a le mérite de mettre en avant des oeuvres d'artistes -injustement?- méconnus à l'image des pièces admirables de Sophie Taeuber-Arp.
Mais le point fort de "Dada Africa" sera à mon sens le juste équilibre trouvé dans la salle principale entre d'une part le foisonnement et l'éclectisme des œuvres, qui mériteraient qu'on y accorde davantage de place et d'explications, et l'intérêt que le commissariat d'exposition a su faire partager aux visiteurs pour toutes les archives présentes qui éclairent un peu le derrière de la scène artistique et le personnage de Paul Guillaume - un peu à la manière de Chtchoukine à la fondation Vuitton.
Une mention spéciale enfin pour le dialogue instauré entre ce mouvement du début XXè et les oeuvres d'une artiste contemporaine, Otobong Nkanga, qui interrogent et actualisent la réflexion autour de la mondialisation et/de l'art et de la culture.
Néanmoins "Dada Africa" ne saurait être une première approche de ce mouvement et on ne peut que souhaiter avoir davantage d'informations, de manière générale, et particulièrement en ce qui concerne le contexte artistique au sein duquel les influences extra-occidentales vont trouver leur place.
Pour autant cette expo a le mérite de mettre en avant des oeuvres d'artistes -injustement?- méconnus à l'image des pièces admirables de Sophie Taeuber-Arp.
Mais le point fort de "Dada Africa" sera à mon sens le juste équilibre trouvé dans la salle principale entre d'une part le foisonnement et l'éclectisme des œuvres, qui mériteraient qu'on y accorde davantage de place et d'explications, et l'intérêt que le commissariat d'exposition a su faire partager aux visiteurs pour toutes les archives présentes qui éclairent un peu le derrière de la scène artistique et le personnage de Paul Guillaume - un peu à la manière de Chtchoukine à la fondation Vuitton.
Une mention spéciale enfin pour le dialogue instauré entre ce mouvement du début XXè et les oeuvres d'une artiste contemporaine, Otobong Nkanga, qui interrogent et actualisent la réflexion autour de la mondialisation et/de l'art et de la culture.
Les avis de la rédaction