Son balcon
SAISON 2022-2023
Son challenge culturel !
Objectif de voir 100 pièces de théâtre
69%
69 pièces vues
Objectif de voir 20 expositions
10%
2 expos vues
Mini Molières
38reçus
Novice
Son classement : 136 / 5894
Avant lui

Michael G
14 critiques
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Joël M
13 critiques
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Une histoire qui rebondit de scènes en scènes comme des souvenirs qu’on égrène, dans l’ordre d’un désordre amoureux que les aléas de la vie chahute et qu’un récit astucieux nous invite à découvrir à la façon d’un puzzle qu’on défait et qu’on restitue sans cesse. Une histoire qui compte 1494 jours.
Un spectacle qui titille en permanence l’imagination du public, le piégeant dans les tournures de la narration, les retours en arrière et les sauts en avant, sans logique apparente. Juste ce qu’il faut pour que la soif de savoir et le désir projeté se bousculent ou se rejoignent, et ce jusqu’au bout où il faudra bien in extremis poser un point final. Un point d’exclamation ou un point d’interrogation ?
« Un voyage en train, une soirée arrosée et l’histoire démarre. Complicités, jalousies, doutes, tendresse. Puis tout bascule... Le récit virevoltant d’un amour mis à rude épreuve par un destin cruel. On entre dans l’intimité du couple qui se construit au fil des jours et doit composer avec des parents parfois encombrants. Une chronologie atypique, dynamique et un ascenseur émotionnel jusqu’à la chute vertigineuse. »
L’écriture de Pierre-Henri Gayte est fluide et habile, piquée d’humour dans des répliques souvent astucieuses et bien tournées. La narration joue avec les nœuds du doute et de l’espoir, les rouages de l’amour empêché, les ravages de l’affect et de la possession, l’influence des liens filiaux. Le tout décrit dans un réalisme du quotidien faisant le lit à des jeux naturalistes cherchant la proximité avec le public, dont les artistes au plateau s’emparent avec réussite.
La dramaturgie est complexe tout en restant accessible. L’usage du temps qui passe souvent entremêlé au temps passé offre un suspens au dévoilement, brouillant les pistes ou les suggérant. La vidéo en fond de scène qui compte et recompte les jours scande le récit, l’armant de rebondissements soumettant l’attention à la patience de leur découverte.
L’interprétation recèle toute une richesse de nuances. Marion Philippet et Pierre-Henri Gayte forment un couple crédible et attachant, difficile de ne pas s’identifier au travers de leurs personnages qu’elle et il incarnent avec une simplicité et une efficacité évidente. Mention spéciale à Marion Philippet qui détonne par la précision, la finesse et la puissance de son jeu. Michel Charpentier et Nancy Jankowiak se partagent plusieurs personnages. Il et elle passent de l’un à l’autre sans à-coup et avec conviction. Mention spéciale à Michel Charpentier qui fait ressortir de ses personnages la bonhommie, la jovialité, l’autorité ou le doute et contribue à colorer les scènes.
Un récit curieusement fait qui rend curieux tout le long. Un spectacle qui feuilletonne des morceaux de vie troublés et troublants, souriants et émouvants. Une mise en vie attractive et une interprétation réussie. Je recommande ce spectacle original et bien fait.
Un spectacle qui titille en permanence l’imagination du public, le piégeant dans les tournures de la narration, les retours en arrière et les sauts en avant, sans logique apparente. Juste ce qu’il faut pour que la soif de savoir et le désir projeté se bousculent ou se rejoignent, et ce jusqu’au bout où il faudra bien in extremis poser un point final. Un point d’exclamation ou un point d’interrogation ?
« Un voyage en train, une soirée arrosée et l’histoire démarre. Complicités, jalousies, doutes, tendresse. Puis tout bascule... Le récit virevoltant d’un amour mis à rude épreuve par un destin cruel. On entre dans l’intimité du couple qui se construit au fil des jours et doit composer avec des parents parfois encombrants. Une chronologie atypique, dynamique et un ascenseur émotionnel jusqu’à la chute vertigineuse. »
L’écriture de Pierre-Henri Gayte est fluide et habile, piquée d’humour dans des répliques souvent astucieuses et bien tournées. La narration joue avec les nœuds du doute et de l’espoir, les rouages de l’amour empêché, les ravages de l’affect et de la possession, l’influence des liens filiaux. Le tout décrit dans un réalisme du quotidien faisant le lit à des jeux naturalistes cherchant la proximité avec le public, dont les artistes au plateau s’emparent avec réussite.
La dramaturgie est complexe tout en restant accessible. L’usage du temps qui passe souvent entremêlé au temps passé offre un suspens au dévoilement, brouillant les pistes ou les suggérant. La vidéo en fond de scène qui compte et recompte les jours scande le récit, l’armant de rebondissements soumettant l’attention à la patience de leur découverte.
L’interprétation recèle toute une richesse de nuances. Marion Philippet et Pierre-Henri Gayte forment un couple crédible et attachant, difficile de ne pas s’identifier au travers de leurs personnages qu’elle et il incarnent avec une simplicité et une efficacité évidente. Mention spéciale à Marion Philippet qui détonne par la précision, la finesse et la puissance de son jeu. Michel Charpentier et Nancy Jankowiak se partagent plusieurs personnages. Il et elle passent de l’un à l’autre sans à-coup et avec conviction. Mention spéciale à Michel Charpentier qui fait ressortir de ses personnages la bonhommie, la jovialité, l’autorité ou le doute et contribue à colorer les scènes.
Un récit curieusement fait qui rend curieux tout le long. Un spectacle qui feuilletonne des morceaux de vie troublés et troublants, souriants et émouvants. Une mise en vie attractive et une interprétation réussie. Je recommande ce spectacle original et bien fait.
A l’origine, Simon Wiesenthal raconte dans son livre ‘Fleurs de soleil’, publié en 1969, un épisode de sa vie qui l’a particulièrement bouleversé. Il a rencontré un succès mondial avec cet ouvrage qui interroge sur le pardon.
Simon Wiesenthal, rescapé des camps de la mort, est resté hanté par un évènement qui a eu lieu lors de l’été 1942 alors qu’il était déjà aux mains des nazis en Pologne. Il s’est retrouvé à écouter l’ultime confession de Karl, un jeune SS gravement blessé, qui lui demande son pardon pour les actes de barbarie qu’il a commis. Il a besoin de l’absolution de Simon pour partir ‘en paix ‘ vers sa dernière demeure.
Voilà ce qui tourmente Simon, même des années après la guerre : Peut-on pardonner l’impardonnable ? Peut-on accorder soi-même une rédemption au nom d’autres victimes ?
Steve Suissa propose une mise en scène sobre qui permet à Thierry Lhermitte, seul sur scène, de raconter et de s’interroger sur cette expérience si particulière.
Le passage qui m’a le plus ému est quand Simon va voir la mère de Karl après la guerre. Son récit est entrecoupé par des témoignages de personnalités connues (Simone Veil, Primo Levi, Mathieu Ricard …) qui répondent à la question : ‘et vous, qu’auriez-vous fait à ma place ? ’. Leurs réponses alimentent nos propres réflexions sur le sujet du pardon. J’ai beaucoup apprécié l’alternance entre les propos de Simon et les réponses apportées.
Thierry Lhermitte semblait très ému à la fin de la représentation.
Cette pièce est un beau moment de partage et permet de prolonger le questionnement au-delà de la pièce.
Simon Wiesenthal, rescapé des camps de la mort, est resté hanté par un évènement qui a eu lieu lors de l’été 1942 alors qu’il était déjà aux mains des nazis en Pologne. Il s’est retrouvé à écouter l’ultime confession de Karl, un jeune SS gravement blessé, qui lui demande son pardon pour les actes de barbarie qu’il a commis. Il a besoin de l’absolution de Simon pour partir ‘en paix ‘ vers sa dernière demeure.
Voilà ce qui tourmente Simon, même des années après la guerre : Peut-on pardonner l’impardonnable ? Peut-on accorder soi-même une rédemption au nom d’autres victimes ?
Steve Suissa propose une mise en scène sobre qui permet à Thierry Lhermitte, seul sur scène, de raconter et de s’interroger sur cette expérience si particulière.
Le passage qui m’a le plus ému est quand Simon va voir la mère de Karl après la guerre. Son récit est entrecoupé par des témoignages de personnalités connues (Simone Veil, Primo Levi, Mathieu Ricard …) qui répondent à la question : ‘et vous, qu’auriez-vous fait à ma place ? ’. Leurs réponses alimentent nos propres réflexions sur le sujet du pardon. J’ai beaucoup apprécié l’alternance entre les propos de Simon et les réponses apportées.
Thierry Lhermitte semblait très ému à la fin de la représentation.
Cette pièce est un beau moment de partage et permet de prolonger le questionnement au-delà de la pièce.
Dans cet Hamlet, le spectateur sera sans doute un peu surpris par le début qui ressemble plutôt à la fin de l’histoire : En effet, le metteur en scène Krzysztof Warlikowski transporte le premier acte dans une maison de retraite ou un asile de fous, on ne sait pas trop…
Une femme en fauteuil roulant regarde la télévision tandis qu’un homme fatigué avec un gilet difforme semble perdu dans ses souvenirs. On comprend qu’il s’agit d’Hamlet et de sa mère Gertrude enfermés dans leurs souvenirs qui tournent en boucle.
A la faveur du second acte, le metteur en scène nous projette dans un flash back, 20 ans plus tôt où nous retrouvons un Hamlet rajeuni qui s’amuse avec une voiture télécommandée dans un décor froid et oppressant.
En effet, le décor (Malgorzata Szczesniak) qui occupe tout le plateau de Bastille est une cage métallique géante aux cloisons mouvantes qui nous glace les sang. Hamlet y verra ses cauchemars se réaliser. De l’apparition du spectre de son père en clown blanc à la mort d’Ophélie en passant par la relation oedipienne d’Hamlet et Gertrude, nous sommes au cœur d’une histoire bien sombre.
Le parti pris du metteur en scène ne plaira pas à tout le monde et d’ailleurs lors des saluts la salle est partagée entre acclamations et huées.
Tout le reste du casting fut acclamé avec une belle unité en revanche : Ludovic Tézier, dans le rôle titre, a déjà joué ce personnage il y a de nombreuses années. Le baryton français est fantastique, il incarne un Hamlet torturé et fragile. Sa voix puissante résonne avec bonheur dans de nombreuses nuances. Son jeu sensible donne vie au prince danois avec beaucoup d’émotion.
Ophélie est jouée par Lisette Oropesa. Elle est la chouchou du public vu l’ovation reçue et c’est amplement mérité, dotée d’une belle diction et d’aigus cristallins, elle enchante nos oreilles. Sa présence est rayonnante et sa scène de la folie est mémorable, elle se termine dans une baignoire si chère au metteur en scène.
Eve-Maud Hubeaux est une reine Gertrude très présente, la mezzo soprano nous ravit avec une voix de belle amplitude et des graves souples. Jean Teitgen à la puissante voix de basse de velours est un roi Claudius sombre à souhait. Laërte, le frère protecteur d’Ophélie est incarné par Julien Behr avec beaucoup de justesse. Fréderic Caton et Julien Henric sont respectivement Horatio et Marcellus.
La direction musicale enlevée de Pierre Dumoussaud arrive à nous faire oublier les longueurs de certains passages de l’oeuvre d’Ambroise Thomas. Il faut signaler le morceau de bravoure du saxophoniste (première fois qu’un saxophone est utilisé dans un opéra à l’époque) qui est monté sur scène lors du deuxième acte lors de la mort du roi Gonzague.
Une femme en fauteuil roulant regarde la télévision tandis qu’un homme fatigué avec un gilet difforme semble perdu dans ses souvenirs. On comprend qu’il s’agit d’Hamlet et de sa mère Gertrude enfermés dans leurs souvenirs qui tournent en boucle.
A la faveur du second acte, le metteur en scène nous projette dans un flash back, 20 ans plus tôt où nous retrouvons un Hamlet rajeuni qui s’amuse avec une voiture télécommandée dans un décor froid et oppressant.
En effet, le décor (Malgorzata Szczesniak) qui occupe tout le plateau de Bastille est une cage métallique géante aux cloisons mouvantes qui nous glace les sang. Hamlet y verra ses cauchemars se réaliser. De l’apparition du spectre de son père en clown blanc à la mort d’Ophélie en passant par la relation oedipienne d’Hamlet et Gertrude, nous sommes au cœur d’une histoire bien sombre.
Le parti pris du metteur en scène ne plaira pas à tout le monde et d’ailleurs lors des saluts la salle est partagée entre acclamations et huées.
Tout le reste du casting fut acclamé avec une belle unité en revanche : Ludovic Tézier, dans le rôle titre, a déjà joué ce personnage il y a de nombreuses années. Le baryton français est fantastique, il incarne un Hamlet torturé et fragile. Sa voix puissante résonne avec bonheur dans de nombreuses nuances. Son jeu sensible donne vie au prince danois avec beaucoup d’émotion.
Ophélie est jouée par Lisette Oropesa. Elle est la chouchou du public vu l’ovation reçue et c’est amplement mérité, dotée d’une belle diction et d’aigus cristallins, elle enchante nos oreilles. Sa présence est rayonnante et sa scène de la folie est mémorable, elle se termine dans une baignoire si chère au metteur en scène.
Eve-Maud Hubeaux est une reine Gertrude très présente, la mezzo soprano nous ravit avec une voix de belle amplitude et des graves souples. Jean Teitgen à la puissante voix de basse de velours est un roi Claudius sombre à souhait. Laërte, le frère protecteur d’Ophélie est incarné par Julien Behr avec beaucoup de justesse. Fréderic Caton et Julien Henric sont respectivement Horatio et Marcellus.
La direction musicale enlevée de Pierre Dumoussaud arrive à nous faire oublier les longueurs de certains passages de l’oeuvre d’Ambroise Thomas. Il faut signaler le morceau de bravoure du saxophoniste (première fois qu’un saxophone est utilisé dans un opéra à l’époque) qui est monté sur scène lors du deuxième acte lors de la mort du roi Gonzague.
Passionnant, Poétique, Bouleversant, Réjouissant.
Jacques Weber dont nous n’oublierons jamais la voix profonde transperçant l’espace et faisant frémir le public dans la Cour d’honneur à Avignon, ‘Architecture 2019’, Jacques Weber qui nous a bouleversé dans l’intimité de ce beau théâtre des Bouffes, ‘Ranger 2023’...
Jacques Weber, aujourd’hui, a eu la magnifique idée de partager avec nous des textes classiques ou contemporains poignants, poétiques, dramatiques ou drolatiques en compagnie de Pascal Contet accordéoniste de renommée internationale et Greg Zlap anciennement harmoniciste de Johnny Hallyday.
En solo, en duo ou en trio, Pascal Contet , Jacques Weber et Greg Zlap, nous offrent un grand moment d’émotion, de beauté et de poésie.
Jacques Weber, nous fascine par son interprétation époustouflante de Impro sur l’Expiation de Victor Hugo , ‘un récit sur la déroute de la campagne de Russie’.
Il nous bouleverse à travers le magnifique et dramatique texte de Marguerite Duras ‘Le coupeur d’eau dans La vie matérielle »,
Nous retrouvons notre âme d’enfant et regardons les poissons nager dans les nuages en découvrant un texte de Jacques Weber, Le Ciel est à l’eau.
Les rires fusent dans la salle, lorsque devant nos yeux, Corneille vieux et usé apparait récitant Marquise ce poème destiné à une marquise de 25ans qui a refusé ses avances.
Marquise, si mon visage
A quelques traits un peu vieux,
Souvenez-vous qu’à mon âge
Vous ne vaudrez guère mieux.
Le jeune Arthur Rimbaud nous rend visite :
On n’est pas sérieux, quand on a dix-sept ans …
Nous croisons
*l’amour : ‘Paul Claudel, l’échange adapté par Louis Jouvet.
*l’approche de la vieillesse ‘Anton Tchekhov, Le Chant du cygne’.
*l’humour avec’ Raymond Devos, L’Auteur critique ou un cas de dédoublement’.
Nous allons de surprise en surprise....
Avec un immense talent, Jacques Weber nous mène en voyage à travers ces illustres textes merveilleusement choisis où les auteurs se croisent pour notre plus grand plaisir.
Les mots de ce grandiose tableau littéraire s’envolent, conversent, fusionnent, se promènent à leur gré au son des improvisations de Pascal Contet à l'accordéon et de Greg Zlap à l'harmonica qui nous enchantent et nous séduisent.
Magnifique fresque poétique et musicale.
Jacques Weber dont nous n’oublierons jamais la voix profonde transperçant l’espace et faisant frémir le public dans la Cour d’honneur à Avignon, ‘Architecture 2019’, Jacques Weber qui nous a bouleversé dans l’intimité de ce beau théâtre des Bouffes, ‘Ranger 2023’...
Jacques Weber, aujourd’hui, a eu la magnifique idée de partager avec nous des textes classiques ou contemporains poignants, poétiques, dramatiques ou drolatiques en compagnie de Pascal Contet accordéoniste de renommée internationale et Greg Zlap anciennement harmoniciste de Johnny Hallyday.
En solo, en duo ou en trio, Pascal Contet , Jacques Weber et Greg Zlap, nous offrent un grand moment d’émotion, de beauté et de poésie.
Jacques Weber, nous fascine par son interprétation époustouflante de Impro sur l’Expiation de Victor Hugo , ‘un récit sur la déroute de la campagne de Russie’.
Il nous bouleverse à travers le magnifique et dramatique texte de Marguerite Duras ‘Le coupeur d’eau dans La vie matérielle »,
Nous retrouvons notre âme d’enfant et regardons les poissons nager dans les nuages en découvrant un texte de Jacques Weber, Le Ciel est à l’eau.
Les rires fusent dans la salle, lorsque devant nos yeux, Corneille vieux et usé apparait récitant Marquise ce poème destiné à une marquise de 25ans qui a refusé ses avances.
Marquise, si mon visage
A quelques traits un peu vieux,
Souvenez-vous qu’à mon âge
Vous ne vaudrez guère mieux.
Le jeune Arthur Rimbaud nous rend visite :
On n’est pas sérieux, quand on a dix-sept ans …
Nous croisons
*l’amour : ‘Paul Claudel, l’échange adapté par Louis Jouvet.
*l’approche de la vieillesse ‘Anton Tchekhov, Le Chant du cygne’.
*l’humour avec’ Raymond Devos, L’Auteur critique ou un cas de dédoublement’.
Nous allons de surprise en surprise....
Avec un immense talent, Jacques Weber nous mène en voyage à travers ces illustres textes merveilleusement choisis où les auteurs se croisent pour notre plus grand plaisir.
Les mots de ce grandiose tableau littéraire s’envolent, conversent, fusionnent, se promènent à leur gré au son des improvisations de Pascal Contet à l'accordéon et de Greg Zlap à l'harmonica qui nous enchantent et nous séduisent.
Magnifique fresque poétique et musicale.
« Alors raconte ! » aboie Tomy le Yorkshire de ma sœur,
Bon, c’est l’histoire d’Alceste le chat et Diane la mignonne Epagneul-Breton. Leurs maîtres, enfin leurs deux pattes, sont respectivement Célimène et Freddy.
Alceste, gros pépère rouquin, (il a grossi mais on sait pourquoi…) ne tarit pas d’éloges sur sa Célimène, Diane elle, adore partir chasser avec Freddy et se moque bien de ce gros matou qui ne pense qu’à dormir, dormir et manger !
Mais ils en ont des choses à dire sur leurs maitres. Célimène et Freddy s’aiment, leurs bestioles un peu moins… tout est bon pour se balancer des vannes, se moquer, mais parfois il y a de la tendresse. Et puis un changement dans la vie de leurs Zhumains n’est pas toujours évident quand on a ses habitudes. Que va-t-il arriver ?
Margaux Laplace est une gracieuse petite chienne, Julien Mitsinkides un solide minet, ils s’amusent beaucoup tous les deux !
Sylvie Poiret aime les bêtes, et elle leur donne la parole, c’est une bien sympathique comédie qui ne manque pas d’humour et qui ravira toute la famille.
Bon, c’est l’histoire d’Alceste le chat et Diane la mignonne Epagneul-Breton. Leurs maîtres, enfin leurs deux pattes, sont respectivement Célimène et Freddy.
Alceste, gros pépère rouquin, (il a grossi mais on sait pourquoi…) ne tarit pas d’éloges sur sa Célimène, Diane elle, adore partir chasser avec Freddy et se moque bien de ce gros matou qui ne pense qu’à dormir, dormir et manger !
Mais ils en ont des choses à dire sur leurs maitres. Célimène et Freddy s’aiment, leurs bestioles un peu moins… tout est bon pour se balancer des vannes, se moquer, mais parfois il y a de la tendresse. Et puis un changement dans la vie de leurs Zhumains n’est pas toujours évident quand on a ses habitudes. Que va-t-il arriver ?
Margaux Laplace est une gracieuse petite chienne, Julien Mitsinkides un solide minet, ils s’amusent beaucoup tous les deux !
Sylvie Poiret aime les bêtes, et elle leur donne la parole, c’est une bien sympathique comédie qui ne manque pas d’humour et qui ravira toute la famille.