Ses critiques
92 critiques
7/10
Belle pièce, avec un air de dejà vu
En bref : Yalda nous raconte sa vie, de fille de réfugiés politiques iraniens. On découvre : la vie de ses parents, et le régime du Shah puis des Ayatollah en Iran, avec la tristesse de l'exil et l'impossibilité de revenir dans son pays.
Ce qui m'a plu :
- le dynamisme de la pièce, les personnages entrent et sortent comme Michalik
- le folklore iranien est bien représenté
- la douleur des gens en exil, qui font leur vie à rever du retour chez eux, sans véritablement s'intégrer dans le pays d'accueil, alors que finalement ils passent leur vie dans le pays d'accueil
Ce qui m'a moins plu :
- des "tartes-à-la-crème" en terme d'écriture : lorsque Yalda se trouve à la Mairie pour sa naturalisation, ou lorsque Yalda compte le nombre de fois ou on l'a appelé par son prénom
- les personnages étaient un peu dans le cri
Soirée sympatique je recommande
En bref : Yalda nous raconte sa vie, de fille de réfugiés politiques iraniens. On découvre : la vie de ses parents, et le régime du Shah puis des Ayatollah en Iran, avec la tristesse de l'exil et l'impossibilité de revenir dans son pays.
Ce qui m'a plu :
- le dynamisme de la pièce, les personnages entrent et sortent comme Michalik
- le folklore iranien est bien représenté
- la douleur des gens en exil, qui font leur vie à rever du retour chez eux, sans véritablement s'intégrer dans le pays d'accueil, alors que finalement ils passent leur vie dans le pays d'accueil
Ce qui m'a moins plu :
- des "tartes-à-la-crème" en terme d'écriture : lorsque Yalda se trouve à la Mairie pour sa naturalisation, ou lorsque Yalda compte le nombre de fois ou on l'a appelé par son prénom
- les personnages étaient un peu dans le cri
Soirée sympatique je recommande
10/10
Je recommande vivement cette pièce, tant créative qu'intellectuelle ! Superbe spectacle
En bref, Eurydice part chercher Orphée aux enfers. Orphée est son copain, on comprend qu'il est mort des suites d'une maladie. Eurydice suit son périple aux enfers. Au moment ou elle retrouve Orphée, la mort propose à Eurydice qu'elle donne son coeur pour retrouver Orphée. Eurydice refuse de mourir aux enfers, et remonte (sans Orphée) sur la surface terre.
Ce qui m'a plu :
- l'intérêt intellectuel du mythe : je n'avais pas compris le mythe jusque là. En fait, l'autrice a adapté le mythe aux personnes en deuil, qui souhaitent à tout prix retrouver l'être perdu, se laissent mourir, puis finalement décident de se laisser vivre.
- la mise en scène : superbe costumes, décors, musiques, un vrai plaisir de créativité
Je recommande vivement.
En bref, Eurydice part chercher Orphée aux enfers. Orphée est son copain, on comprend qu'il est mort des suites d'une maladie. Eurydice suit son périple aux enfers. Au moment ou elle retrouve Orphée, la mort propose à Eurydice qu'elle donne son coeur pour retrouver Orphée. Eurydice refuse de mourir aux enfers, et remonte (sans Orphée) sur la surface terre.
Ce qui m'a plu :
- l'intérêt intellectuel du mythe : je n'avais pas compris le mythe jusque là. En fait, l'autrice a adapté le mythe aux personnes en deuil, qui souhaitent à tout prix retrouver l'être perdu, se laissent mourir, puis finalement décident de se laisser vivre.
- la mise en scène : superbe costumes, décors, musiques, un vrai plaisir de créativité
Je recommande vivement.
10/10
Super pièce tragique, allez-y!
En bref, un couple amoureux découvre que Arthur est atteint d'altzeimer entre 25 et 30. Nous suivons la rencontre du couple, puis la découverte de la maladie, et enfin la progression de la maladie.
Ce qui m'a plu :
- la mise en scène est géniale, notamment le jogging de Jeanne en arrière fond
- les comédiens sont très talentueux, j'ai adoré le jeu de Jeanne, rien de plus crédible comme couple qui se rencontre et s'aime à une époque moderne
- l'auteur termine l'évolution de la maladie à la phase 7, alors que je pensais qu'il irait jusqu'à la phase 10, ca m'a rassuré, car je n'étais pas prête pour les dernières phases
Sur la maladie, le texte montre bien :
- lors de la découverte de la maladie : la volonté des proches d'aborder le problème de manière scolaire, de se battre en mettant en place "ce que disent les médecins" (ex : sur la stimulation intellectuelle, Jeanne met en place des "débats" pour stimuler Arthur) elle met en place un plan d'action contre la maladie
- "l'exaspération" des proches face à la maladie : Arthur oublie tout, et c'est un enfer pour les proches qui parfois perdent leur sang froid
- la fuite en avant du patient, qui "ment" à son médecin
Super pièce, qui sait tourner en joie les sujets les plus lourds.
En bref, un couple amoureux découvre que Arthur est atteint d'altzeimer entre 25 et 30. Nous suivons la rencontre du couple, puis la découverte de la maladie, et enfin la progression de la maladie.
Ce qui m'a plu :
- la mise en scène est géniale, notamment le jogging de Jeanne en arrière fond
- les comédiens sont très talentueux, j'ai adoré le jeu de Jeanne, rien de plus crédible comme couple qui se rencontre et s'aime à une époque moderne
- l'auteur termine l'évolution de la maladie à la phase 7, alors que je pensais qu'il irait jusqu'à la phase 10, ca m'a rassuré, car je n'étais pas prête pour les dernières phases
Sur la maladie, le texte montre bien :
- lors de la découverte de la maladie : la volonté des proches d'aborder le problème de manière scolaire, de se battre en mettant en place "ce que disent les médecins" (ex : sur la stimulation intellectuelle, Jeanne met en place des "débats" pour stimuler Arthur) elle met en place un plan d'action contre la maladie
- "l'exaspération" des proches face à la maladie : Arthur oublie tout, et c'est un enfer pour les proches qui parfois perdent leur sang froid
- la fuite en avant du patient, qui "ment" à son médecin
Super pièce, qui sait tourner en joie les sujets les plus lourds.
8/10
Super pièce, sous la forme d'un biopic au sujet d'un artiste autiste surdoué !
En bref, c'est l'histoire d'un pianiste virtuose, Glenn, autiste, qui nous raconte sa vie. Entre : la relation avec sa mère, avec les autres, avec son producteur et sa relation à la musique.
J'ai bcp aimé :
- la mise en scène : lorsque Jenny est en voiture, le show TV canadien
- le jeu des comédiens : la mère de Glenn, Glenn, le présentateur
Je recommande vivement !
En bref, c'est l'histoire d'un pianiste virtuose, Glenn, autiste, qui nous raconte sa vie. Entre : la relation avec sa mère, avec les autres, avec son producteur et sa relation à la musique.
J'ai bcp aimé :
- la mise en scène : lorsque Jenny est en voiture, le show TV canadien
- le jeu des comédiens : la mère de Glenn, Glenn, le présentateur
Je recommande vivement !
6,5/10
Beaucoup de lumières, peu de chorégraphie !
Une petite déception pour Starmania, que j'attendais depuis 1 an.
En bref : histoire de Zéro Janvier qui prend le contrôle de Monopolis, ville d'Occident avec beaucoup de violences, et des jeux de pouvoir.
Ce qui m'a plu :
- les voix sont modernes, et moins lyriques que celles de l'époque, aujourd'hui, Johnny R a plus des airs de Patrick Bruel que d'un soliste à l'opéra
- les lumières sont dingues
Ce qui m'a moins plu :
- j'ai trouvé que Jolly en a fait des caisses sur l'émotion autour de Berger / Plamondon, finalement, je n'ai pas eu l'impression que Starmania a depassé son créateur.
- gros manque de chorégraphie, mise en scène très minimaliste, c'est dommage.
- la plupart du temps, il y a un soliste sur scène, avec des lumières qui bougent, or la scène (de la Scène Musicale) est immense
- les costumes manquent de classe, ou de charisme.
- les paroles n'étaient pas affichées, or j'aurais adoré un aspect karaoké.
Les tubes sont toujours aussi dingues !
Une petite déception pour Starmania, que j'attendais depuis 1 an.
En bref : histoire de Zéro Janvier qui prend le contrôle de Monopolis, ville d'Occident avec beaucoup de violences, et des jeux de pouvoir.
Ce qui m'a plu :
- les voix sont modernes, et moins lyriques que celles de l'époque, aujourd'hui, Johnny R a plus des airs de Patrick Bruel que d'un soliste à l'opéra
- les lumières sont dingues
Ce qui m'a moins plu :
- j'ai trouvé que Jolly en a fait des caisses sur l'émotion autour de Berger / Plamondon, finalement, je n'ai pas eu l'impression que Starmania a depassé son créateur.
- gros manque de chorégraphie, mise en scène très minimaliste, c'est dommage.
- la plupart du temps, il y a un soliste sur scène, avec des lumières qui bougent, or la scène (de la Scène Musicale) est immense
- les costumes manquent de classe, ou de charisme.
- les paroles n'étaient pas affichées, or j'aurais adoré un aspect karaoké.
Les tubes sont toujours aussi dingues !