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Trois chercheurs fouillent des archives. Bientôt une étrange présence vient troubler leur étude. Autour d’eux, les papiers, les photographies et les objets, semblent s’animer et leur dire quelque chose.
Une porte s’ouvre vers la fantasmagorie...
Ce spectacle laissant parler l’évidence du mouvement se rapproche de la danse. Après Cubix, le metteur en scène Mathieu Enderlin poursuit sa recherche autour des formes abstraites en réveillant l’héritage d’un des fondateurs de la marionnette contemporaine, Georges Lafaye.
Celui que l’on avait surnommé « l’Einstein de la marionnette » a été le premier à faire du théâtre d’objets, qu’il nommait « théâtre d’animation ».
1 critique
Un homme montre son visage et glisse des lettres sur ses intrigantes boîtes.
Il joue avec les lettres de tous les possibles. Elles s'assemblent, se fuient, s'attirent et se font même voler. Des mots apparaissent parfois et se défont comme lire, élire, relire et délire. Une histoire serait-elle entrain de s'écrire ? Puis très vite, un bâton phosphorescent vert montre le bout de sa rectitude pour prendre vie. Il devient un personnage avec des jambes et des bras qui se déplace dans l'espace et se joue du noir. On se sent porter vers les chemins de l'imaginaire où l'humour est très présent. Les manipulateurs font des tours de passe-passe où parfois ils se montrent comme pris en flagrant délit de d'obscur délire lumineux.
Ils jouent un double jeu avec des acteurs animés et des objets qui s'animent. On ne peut que rire quand le mot noir tente de s'enfuir pendant que le mot spectacle s'éteint. Mais toutes les lettres ivres de liberté ne pourront s'en sortir indemnes car à la fin il ne restera que no.
Il joue avec les lettres de tous les possibles. Elles s'assemblent, se fuient, s'attirent et se font même voler. Des mots apparaissent parfois et se défont comme lire, élire, relire et délire. Une histoire serait-elle entrain de s'écrire ? Puis très vite, un bâton phosphorescent vert montre le bout de sa rectitude pour prendre vie. Il devient un personnage avec des jambes et des bras qui se déplace dans l'espace et se joue du noir. On se sent porter vers les chemins de l'imaginaire où l'humour est très présent. Les manipulateurs font des tours de passe-passe où parfois ils se montrent comme pris en flagrant délit de d'obscur délire lumineux.
Ils jouent un double jeu avec des acteurs animés et des objets qui s'animent. On ne peut que rire quand le mot noir tente de s'enfuir pendant que le mot spectacle s'éteint. Mais toutes les lettres ivres de liberté ne pourront s'en sortir indemnes car à la fin il ne restera que no.
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