- Théâtre contemporain
- Vingtième Théâtre
- Paris 20ème
Sugar

Mis en scène par Frédérique Lazarini
Avec Frédérique Lazarini
- Frédérique Lazarini
- Stéphane Douret
- Guillaume Bienvenu
- Denis Laustriat
5,5/10
- Vingtième Théâtre
- 7, rue des Plâtrières
- 75020 Paris
- Ménilmontant (l.2)
Itinéraire
Billets de 15,50 à 27,50 €
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Georges Blanchet, notaire de son état, marié et père de famille, après avoir fui la vérité pendant des années, reconnaît enfin son homosexualité, en fait l'aveu et l'assume.
C'est sans compter les forces contraires qui viennent remettre en question cette nouvelle façon d'appréhender l'existence.
Au travers l'histoire de cet homme, sans compromis, nous abordons un sujet d'une actualité brûlante : Quels couples vont se construire pour fonder quelles familles ?
1 critique
Je sors de la représentation de la pièce Sugar au Vingtième théâtre. Le thème de la pièce surfe sur les idées véhiculées par le mariage pour tous mais pas seulement. Traité avec une certaine pudeur, la vulnérabilité de celui qui quitte une vie bien sous tout rapport, pour vivre ses vrais sentiments et rompre ainsi avec la culpabilité qui le rongeait, tout en se heurtant au regard des autres.
L'interprétation des acteurs est bonne, en particulier celle de William, de sa sœur et du voisin. La palette des sentiments est variée. Le décor est d'une grande sobriété. La metteur en scène qui est aussi l'actrice qui reprend le rôle de la sœur de William, a choisi de de se concentrer sur ses acteurs. Peu de fioritures.
Un point négatif : la fin traine en longueur, ce qui est dommage. En dehors de cela, le texte à le mérite de dire tout haut ce que certains ont l'habitude de dissimuler ou de taire. En cela, elle mérite le déplacement. Rares sont les pièces qui abordent le thème de l'homosexualité, des conséquences de ce choix.
L'interprétation des acteurs est bonne, en particulier celle de William, de sa sœur et du voisin. La palette des sentiments est variée. Le décor est d'une grande sobriété. La metteur en scène qui est aussi l'actrice qui reprend le rôle de la sœur de William, a choisi de de se concentrer sur ses acteurs. Peu de fioritures.
Un point négatif : la fin traine en longueur, ce qui est dommage. En dehors de cela, le texte à le mérite de dire tout haut ce que certains ont l'habitude de dissimuler ou de taire. En cela, elle mérite le déplacement. Rares sont les pièces qui abordent le thème de l'homosexualité, des conséquences de ce choix.
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