- Théâtre contemporain
- Théâtre du Rond-Point
- Paris 8ème
Lewis Furey, Haunted by Brahms

Avec Lewis Furey
- Lewis Furey
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- Théâtre du Rond-Point
- 2bis, Avenue Franklin D. Roosevelt
- 75008 Paris
- Franklin D. Roosevelt (l.1, l.9)
Itinéraire
Billets à 33,00 €
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Je me laisse avaler par Brahms.
Lewis Furey chante seize lieder de Brahms, les rapproche des chansons populaires, accessibles, les aborde comme des tubes pop ou folk. Il les adapte avec une liberté revendiquée. Il assume ses anachronismes dans la fête d’un choc des cultures.
Toutes les critiques
En quarante-quatre ans, Brahms, qu'on aime toujours autant, a écrit quelque deux cents lieder.
Lewis Furey en a choisi seize, des plus célèbres, dont le fameux Wiegenlied, Op.49/4, connu de tous les bébés et des collectionneurs de petites boîtes à musique.
Il les joue au piano à sa façon.
Il a traduit les paroles en anglais et à sa façon, avec parfois ce qu'il appelle des anachronismes.
Il les chante à sa façon, également. De façon très sombre, grave.
Il les mélange avec des chansons de Paul Mc Cartney et de Elton John, probablement pour donner un peu de joie à tout ça.
Il y aura un moment très drôle dans le spectacle.
Au bout de quelques lieder, la lumière s'éteint, puis se rallume au bout d'un certain temps.
Lewis Furey est surpris une bouteille d'eau à la main.
« Le noir, nous dit-il, c'était pour boire discrètement, mais dans le noir, je ne peux pas voir la bouteille. Il faut qu'on revoit ça, avec Carole. »
Carole, c'est Carole Laure, qui a conçu le plan d'éclairage du spectacle, cinq projecteurs bleu roi en contre, et trois faisceaux orangés. Le tout avec un peu de fumée.
Le rappel est très réussi.
Lewis Furey interprète l'une de ses propres chansons, écrite en 1976.
Ces trois minutes sont magnifiques.
Un spectacle pour les inconditionnels de Lewis Furey.
Lewis Furey en a choisi seize, des plus célèbres, dont le fameux Wiegenlied, Op.49/4, connu de tous les bébés et des collectionneurs de petites boîtes à musique.
Il les joue au piano à sa façon.
Il a traduit les paroles en anglais et à sa façon, avec parfois ce qu'il appelle des anachronismes.
Il les chante à sa façon, également. De façon très sombre, grave.
Il les mélange avec des chansons de Paul Mc Cartney et de Elton John, probablement pour donner un peu de joie à tout ça.
Il y aura un moment très drôle dans le spectacle.
Au bout de quelques lieder, la lumière s'éteint, puis se rallume au bout d'un certain temps.
Lewis Furey est surpris une bouteille d'eau à la main.
« Le noir, nous dit-il, c'était pour boire discrètement, mais dans le noir, je ne peux pas voir la bouteille. Il faut qu'on revoit ça, avec Carole. »
Carole, c'est Carole Laure, qui a conçu le plan d'éclairage du spectacle, cinq projecteurs bleu roi en contre, et trois faisceaux orangés. Le tout avec un peu de fumée.
Le rappel est très réussi.
Lewis Furey interprète l'une de ses propres chansons, écrite en 1976.
Ces trois minutes sont magnifiques.
Un spectacle pour les inconditionnels de Lewis Furey.
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