- Comédie Contemporaine
- Théâtre de la Renaissance
- Paris 10ème
Les humains

- Théâtre de la Renaissance
- 20, boulevard Saint-Martin
- 75010 Paris
- Strasbourg-Saint-Denis (l.4, l.8, l.9)
Un réveillon de Noël, des provinciaux à Paris, un souplex, des cartons de déménagements, des rêves et des non-dits... Beaucoup de non-dits.
C’est la vie normale d’une famille normale. Des humains comme nous tous, qui se débattent pour vivre. Des humains qui tentent encore de cacher dans le rire leurs failles.
Mais ce soir de Noël les cachotteries toucheront à leur fin, et la famille Lemonnier n’en ressortira pas indemne.
L'AVIS DE LA REDACTION : 7/10
Trop de malheurs tue l'émotion !
Un début qui manque de rythme, une fin pour le moins nébuleuse, un Bernard Campan à côté - en tout cas ce soir là - et surtout, beaucoup trop de malheurs pour une seule famille !
Malgré une Isabelle Gélinas exceptionnelle en mère de famille catho à côté de ses pompes, un décor formidable en duplex, et pas mal de répliques très savoureuses, on finit par saturer face à cette avalanche de désastres humains, médicaux et psychologiques. Distillés sans parcimonie ....
Il y avait beaucoup d'attente autour des retrouvailles entre Yvan Calbérac et Bernard Campan, après leur savoureuse "Dégustation".
Notre enthousiasme s'est affaibli au fil du récit, en même temps que notre empathie.
Less is more ....
Sylvie Tuffier
La pièce est au final assez décousue et on s’ennuie un peu, d'autant qu'il y a beaucoup de clichés.
Mais le décor est original et inattendu et on se console en savourant le jeu d'Isabelle Gélinas qui est vraiment très drôle !
Mais dans quel bourbier, est ce que Bernard Campan, Isabelle Gélinas et Mélanie Bernier pour les plus connus de la troupe ont bien été se fourrer.
Nous avions adoré la Dégustation mais alors ici cela a été diamétralement l'effet opposé. La pièce ne prend pas. Avec une surenchère d'effets spéciaux, on est totalement décontenancés et à force, le texte qui est plat au possible nous endort. Alors évidemment, le bruit de la chasse d'eau, du raffut de la voisine du dessus, nous tient éveillés mais on attend vraiment la fin pour essayer de comprendre le fil conducteur et s'il était de bonne augure de rester jusqu'au bout.
Absolument pas.
La fin est grotesque, du grand n'importe quoi, limite rencontre du 3ème type de Spielberg. Nous sommes sortis sans applaudir tellement c'était navrant et nous n'étions pas les seuls.
Reste une grande Isabelle Gélinas qui malgré la pauvreté de son texte arrive quand même à nous faire sourire.
Un début qui manque de rythme, une fin pour le moins nébuleuse, un Bernard Campan à côté - en tout cas ce soir là - et surtout, beaucoup trop de malheurs pour une seule famille !
Malgré une Isabelle Gélinas exceptionnelle - qui sauve la pièce - un décor formidable en duplex, et pas mal de répliques très savoureuses, on finit par saturer face à cette avalanche de désastres humains, médicaux et psychologiques.
Il y avait beaucoup d'attente autour des retrouvailles entre Yvan Calbérac et Bernard Campan, après leur savoureuse "Dégustation".
Notre enthousiasme s'est affaibli au fil du récit, en même temps que notre empathie.
Less is more ....