- Lucernaire
- Paris 6ème
Léocadia
À l'affiche du :
21 mai 2025 au 27 juillet 2025
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Amanda, jeune ouvrière de la rue de la Paix, arrive au château de Pont-au-Bronc pour chercher du travail, mais c’est un rôle de « souvenir » que lui propose la maîtresse des lieux, la Duchesse d’Andinet d’Andaine. Son neveu le Prince Albert Troubiscoï sombre dans la mélancolie depuis la mort de son grand amour, la cantatrice Léocadia Gardi… Mais que peut une petite modiste face à l’ombre de cet amour perdu ? Montez à bord du carrousel enchanté de Léocadia pour découvrir une mise en scène drôle et onirique d’une des plus jolies pièces du théâtre de Jean Anouilh.
L'AVIS DE LA REDACTION : 8/10
Si vous ne m'aimiez pas, vous ne le crieriez pas si fort !
Léocadia est une des trois pièces roses d' Anouilh, et fut un gros succès à sa création à la Michodière en 1940.
Vertiges de l'amour, amour perdu, amour naissant, amour heureux ou malheureux mais amour toujours.
Une fable moderne qui nous parle du besoin que nous avons tous de nous raconter sans cesse des histoires.
La jeune Compagnie " Les Ballons Rouges" qui s'était déjà distinguée avec "Le Barbier de Séville" s'empare de ce conte de fées et, gardant l'esprit de l'auteur, nous invite dans ce théâtre populaire qui n'a pas vieilli malgré les années.
David Legras est aux commandes de cette charmante histoire romantique à souhait, dans laquelle les sentiments et le rire se mêlent d'une bien jolie manière.
La mise en scène et la scénographie sont aussi réussies qu'ingénieuses.
Un grand manège aux airs de gloriette occupe le plateau, et tourne au gré des scènes et des espaces où se situe l'intrigue.
Les comédiens s'y tiennent soit debout, soit assis sur de très petits sièges, créant ainsi encore plus d'intimité.
L'interprétation est savoureuse, avec d'un côté Valérie Français, hilarante en comtesse déjantée, Axel Stein-Kurdzielelewicz, inénarrable dans le rôle de Germain dont les chapeaux n'ont d'égal que la maladresse, et Drys Penthier, très à l'aise en serveur pas très malin.
Camille Delpech et Emilien Raineau incarnent quant à eux le couple romantique de cette comédie où la tendresse finit par prendre le dessus.
Les quelques petites longueurs - qui seront vite gommées avec le temps - ne doivent pas vous empêcher d'aller applaudir cette jeune et talentueuse troupe.
Dimanche dernier, les bravos étaient au rendez-vous !
Sylvie Tuffier
Léocadia est une des trois pièces roses d' Anouilh, et fut un gros succès à sa création à la Michodière en 1940.
Vertiges de l'amour, amour perdu, amour naissant, amour heureux ou malheureux mais amour toujours.
Une fable moderne qui nous parle du besoin que nous avons tous de nous raconter sans cesse des histoires.
La jeune Compagnie " Les Ballons Rouges" qui s'était déjà distinguée avec "Le Barbier de Séville" s'empare de ce conte de fées et, gardant l'esprit de l'auteur, nous invite dans ce théâtre populaire qui n'a pas vieilli malgré les années.
David Legras est aux commandes de cette charmante histoire romantique à souhait, dans laquelle les sentiments et le rire se mêlent d'une bien jolie manière.
La mise en scène et la scénographie sont aussi réussies qu'ingénieuses.
Un grand manège aux airs de gloriette occupe le plateau, et tourne au gré des scènes et des espaces où se situe l'intrigue.
Les comédiens s'y tiennent soit debout, soit assis sur de très petits sièges, créant ainsi encore plus d'intimité.
L'interprétation est savoureuse, avec d'un côté Valérie Français, hilarante en comtesse déjantée, Axel Stein-Kurdzielelewicz, inénarrable dans le rôle de Germain dont les chapeaux n'ont d'égal que la maladresse, et Drys Penthier, très à l'aise en serveur pas très malin.
Camille Delpech et Emilien Raineau incarnent quant à eux le couple romantique de cette comédie où la tendresse finit par prendre le dessus.
Les quelques petites longueurs - qui seront vite gommées avec le temps - ne doivent pas vous empêcher d'aller applaudir cette jeune et talentueuse troupe.
Dimanche dernier, les bravos étaient au rendez-vous !
Sylvie Tuffier
1 critique
Si vous ne m'aimiez pas, vous ne le crieriez pas si fort !
Léocadia est une des trois pièces roses d' Anouilh, et fut un gros succès à sa création à la Michodière en 1940.
Vertiges de l'amour, amour perdu, amour naissant, amour heureux ou malheureux mais amour toujours.
Une fable moderne qui nous parle du besoin que nous avons tous de nous raconter sans cesse des histoires.
La jeune Compagnie " Les Ballons Rouges" qui s'était déjà distinguée avec "Le Barbier de Séville" s'empare de ce conte de fées et, gardant l'esprit de l'auteur, nous invite dans ce théâtre populaire qui n'a pas vieilli malgré les années.
David Legras est aux commandes de cette charmante histoire romantique à souhait, dans laquelle les sentiments et le rire se mêlent d'une bien jolie manière.
La mise en scène et la scénographie sont aussi réussies qu'ingénieuses.
Un grand manège aux airs de gloriette occupe le plateau, et tourne au gré des scènes et des espaces où se situe l'intrigue.
Les comédiens s'y tiennent soit debout, soit assis sur de très petits sièges, créant ainsi encore plus d'intimité.
L'interprétation est savoureuse, avec d'un côté Valérie Français, parfaite en comtesse déjantée, Axel Stein-Kurdzielelewicz, inénarrable dans le rôle de Germain et dont les chapeaux n'ont d'égal que la maladresse, et Drys Penthier, très à l'aise en serveur pas très malin.
Camille Delpech et Emilien Raineau incarnent quant à eux le couple romantique de cette comédie où la tendresse finit par prendre le dessus.
Les quelques petites longueurs - qui seront vite gommées avec le temps - ne doivent pas vous empêcher d'aller applaudir cette jeune et talentueuse troupe.
Dimanche dernier, les bravos étaient au rendez-vous !
Sylvie Tuffier
Léocadia est une des trois pièces roses d' Anouilh, et fut un gros succès à sa création à la Michodière en 1940.
Vertiges de l'amour, amour perdu, amour naissant, amour heureux ou malheureux mais amour toujours.
Une fable moderne qui nous parle du besoin que nous avons tous de nous raconter sans cesse des histoires.
La jeune Compagnie " Les Ballons Rouges" qui s'était déjà distinguée avec "Le Barbier de Séville" s'empare de ce conte de fées et, gardant l'esprit de l'auteur, nous invite dans ce théâtre populaire qui n'a pas vieilli malgré les années.
David Legras est aux commandes de cette charmante histoire romantique à souhait, dans laquelle les sentiments et le rire se mêlent d'une bien jolie manière.
La mise en scène et la scénographie sont aussi réussies qu'ingénieuses.
Un grand manège aux airs de gloriette occupe le plateau, et tourne au gré des scènes et des espaces où se situe l'intrigue.
Les comédiens s'y tiennent soit debout, soit assis sur de très petits sièges, créant ainsi encore plus d'intimité.
L'interprétation est savoureuse, avec d'un côté Valérie Français, parfaite en comtesse déjantée, Axel Stein-Kurdzielelewicz, inénarrable dans le rôle de Germain et dont les chapeaux n'ont d'égal que la maladresse, et Drys Penthier, très à l'aise en serveur pas très malin.
Camille Delpech et Emilien Raineau incarnent quant à eux le couple romantique de cette comédie où la tendresse finit par prendre le dessus.
Les quelques petites longueurs - qui seront vite gommées avec le temps - ne doivent pas vous empêcher d'aller applaudir cette jeune et talentueuse troupe.
Dimanche dernier, les bravos étaient au rendez-vous !
Sylvie Tuffier
Les avis de la rédaction