- Théâtre contemporain
- Théâtre Les Déchargeurs
- Paris 1er
Du Luxe et de l'impuissance

Mis en scène par Ivan Morane
Avec Stanislas Nordey
- Stanislas Nordey
- Jean-Charles Mouveaux
5/10
- Théâtre Les Déchargeurs
- 3, rue des Déchargeurs
- 75001 Paris
- Chatelet (l.1, l.4, l.7, l.11, l.14)
Itinéraire
Billets de 20,80 à 28,80 €
Evénement plus programmé pour le moment
"Quand on est totalement désespéré, on ne fait rien, on tente de se maintenir en vie." Jean-Luc Lagarce
Chez Jean-Luc Lagarce, tout est théâtre.
Son oeuvre théâtrale, ses récits, son journal également, mais aussi le recueil de ses éditoriaux : Du luxe et de l'impuissance. Tout y est théâtre, parce que rien n'y est théâtral.
La Vie est là, à chaque mot, entre chaque mot. Évidente, simple, bouleversante, elle est là, à en pleurer. La Vie ; et la Mort aussi ; surtout.
1 critique
Sur le papier, le projet semblait alléchant : à l’initiative de Jean-Charles Mouveaux (fin connaisseur de Lagarce), Ivan Morane s’empare d’un recueil d’articles et d’éditoriaux du dramaturge pour le porter sur un plateau.
Selon les mots même de l’adaptateur, « une évidence s’est imposée : cette succession d’articles est un seul récit ; qui a son unité de temps, de lieu et d’action. ». Or, une autre évidence surgit à la fin de la représentation : bien que les mots de Lagarce englobent un discours sur le théâtre, cela ne suffit pas à créer véritablement une pièce. Seul sur scène, l’acteur distille une rage et une fragilité indéniables et la mise en scène dépouillée à l’extrême centre les propos sur le corps et le texte.
Malgré tout, on sort des Déchargeurs sans avoir réellement retenu quoi que ce soit des propos de Lagarce. Déception donc.
Selon les mots même de l’adaptateur, « une évidence s’est imposée : cette succession d’articles est un seul récit ; qui a son unité de temps, de lieu et d’action. ». Or, une autre évidence surgit à la fin de la représentation : bien que les mots de Lagarce englobent un discours sur le théâtre, cela ne suffit pas à créer véritablement une pièce. Seul sur scène, l’acteur distille une rage et une fragilité indéniables et la mise en scène dépouillée à l’extrême centre les propos sur le corps et le texte.
Malgré tout, on sort des Déchargeurs sans avoir réellement retenu quoi que ce soit des propos de Lagarce. Déception donc.
Dans le même genre
Les avis de la rédaction
Les pièces géniales