- Théâtre contemporain
- Théâtre Les Déchargeurs
- Paris 1er
Céline - Proust : Une rencontre ?
Mis en scène par Ivan Morane
Avec Ivan Morane
- Ivan Morane
- Silvia Lenzi
- Marie-Christine Barrault
5,8/10
- Théâtre Les Déchargeurs
- 3, rue des Déchargeurs
- 75001 Paris
- Chatelet (l.1, l.4, l.7, l.11, l.14)
Itinéraire
Billets de 19,45 à 27,45 €
Evénement plus programmé pour le moment
Rapprocher, confronter, opposer, les deux plus grands auteurs français du XXe siècle : Marcel Proust et Louis-Ferdinand Céline !
Autour d'un repas, un seul comédien interprète ces deux personnages qui dialoguent. Les deux grands hommes ne sont pas de la même génération, ne se sont jamais rencontrés, se seraient sans doute détestés : tout les oppose mais qu'en est-il de leur rapport à leur maman ?
Tous les mots que l'on entend sont les leurs, sans ajout de la part des deux adaptateurs qui ont tissé le manuscrit.
Un rapprochement jamais encore osé entre ces deux "monstres" de la littérature française !
Toutes les critiques
Une très bonne prestation de ce comédien, et un bon choix d'auteurs. Céline, Proust que tout sépare, parlant de leur mère, ce qui ramène à leur enfance et éducation diamétralement opposées.
On n'excuse pas mais on comprend la colère de Céline, écorché vif.
On fait très bien la différence entre les deux même s'ils sont interprétés par le même comédien car c'est bien joué.
Même si je n'ai pas été émue, j'y ai appris des choses.
En revanche, je suis d'accord avec Valérie, la musique m'a dérangée. Elle était parfois désagréable, horripilante et m'empêchait d'entendre le texte. Ivan Morane utilise souvent cette contrebasse grinçante et trop forte. J'avais eu le même ressenti avec la pièce "La chute" d'Albert Camus. Je n'ai aimé de celle-ci que la chanson de fin "Les roses blanches" de Berthe Sylva. Le reste n'était pas indispensable.
Je vous conseille toutefois d'y aller car on y passe un bon moment et Ivan Morane vaut le déplacement.
On n'excuse pas mais on comprend la colère de Céline, écorché vif.
On fait très bien la différence entre les deux même s'ils sont interprétés par le même comédien car c'est bien joué.
Même si je n'ai pas été émue, j'y ai appris des choses.
En revanche, je suis d'accord avec Valérie, la musique m'a dérangée. Elle était parfois désagréable, horripilante et m'empêchait d'entendre le texte. Ivan Morane utilise souvent cette contrebasse grinçante et trop forte. J'avais eu le même ressenti avec la pièce "La chute" d'Albert Camus. Je n'ai aimé de celle-ci que la chanson de fin "Les roses blanches" de Berthe Sylva. Le reste n'était pas indispensable.
Je vous conseille toutefois d'y aller car on y passe un bon moment et Ivan Morane vaut le déplacement.
Un seul comédien pour incarner très brillamment ces deux géants de la littérature et il est excellent, mais la mayonaise ne prend pas...
Le thème choisi pour la conversation etre les écrivains est assez décevant, voir soporifique pour certains de mes voisins qui se sont endormis au bout de 15 minutes.
La mise en musique est superflue et par moment horripilante car elle couvre les propos des écrivains.
Le thème choisi pour la conversation etre les écrivains est assez décevant, voir soporifique pour certains de mes voisins qui se sont endormis au bout de 15 minutes.
La mise en musique est superflue et par moment horripilante car elle couvre les propos des écrivains.
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