Critiques pour l'événement Le Dragon
Le dragon est un conte fantastique.
Dans une ville, le dragon à trois têtes règne tyranniquement sur la ville. Chaque année, une belle jeune fille lui est donnée et emmenée dans son repère et en meurt. Un visiteur arrive dans la maison de Charlemagne et Elsa.
Elsa sera la belle fille donnée au dragon prochainement. Le visiteur, Lancelot, est un chevalier héro. Il tombe amoureux d’Elsa et propose de se battre contre le dragon. L’histoire continuera dans cette fibre fantastico-médiévale.
La pièce dénonce le totalitarisme, la dictature. Elle nous interroge sur l’aveuglement des peuples, l’absence de rébellion et surtout dans le dernier acte sur l’émergence de nouveaux tyrans sans révolte des peuples ou de chacun. Les revirements d’opinion selon les évènements sont montrés. Être toujours dans le bon sens de la pensée commune. On comprend alors pourquoi ce texte a été censuré par Staline. Le fond de ce conte nous laisse réfléchir et joue sur notre propre pensée et notre propre capacité à refuser les situations contre la liberté. On y voit la soif de pouvoir, il y a toujours un tyran prêt à prendre le pouvoir à la chute d’un autre tyran. La corruption et les abus de pouvoir sont omniprésentes.
La pièce est un bijou qui nous plonge dans l’atmosphère de cette ville sous emprise. On rit des personnages. On s’amuse du dragon à trois têtes (véritablement). Le chat est sournois à souhait. Le bourgmestre nous hallucine dans sa folie. On est pris dans cette atmosphère fantastique.
Thomas Jolly fait beaucoup de références dans ce texte. La grande table de festin est-elle une référence à son Thyeste ? Il y en a partout. La pièce est intense.
Je ne peux que souligner le jeu des acteurs qui sont tous parfaits. Le bourgmestre nous marque par son interprétation mais tous jouent de façon impeccable.
Tout est équilibré. La mise en scène est minutieuse, technique, grandiose, fantastique… Thomas Jolly nous livre une pièce de référence. Le décor est génial. Tout est fantastique et se met au service de ce conte fantastique dans lequel je suis tombée à pieds joints avec le plus grand plaisir.
On est au bord d’un chef d’œuvre. Même si je ne suis pas objective, Thomas Jolly nous livre une très grande leçon de théâtre.
A voir absolument.
Dans une ville, le dragon à trois têtes règne tyranniquement sur la ville. Chaque année, une belle jeune fille lui est donnée et emmenée dans son repère et en meurt. Un visiteur arrive dans la maison de Charlemagne et Elsa.
Elsa sera la belle fille donnée au dragon prochainement. Le visiteur, Lancelot, est un chevalier héro. Il tombe amoureux d’Elsa et propose de se battre contre le dragon. L’histoire continuera dans cette fibre fantastico-médiévale.
La pièce dénonce le totalitarisme, la dictature. Elle nous interroge sur l’aveuglement des peuples, l’absence de rébellion et surtout dans le dernier acte sur l’émergence de nouveaux tyrans sans révolte des peuples ou de chacun. Les revirements d’opinion selon les évènements sont montrés. Être toujours dans le bon sens de la pensée commune. On comprend alors pourquoi ce texte a été censuré par Staline. Le fond de ce conte nous laisse réfléchir et joue sur notre propre pensée et notre propre capacité à refuser les situations contre la liberté. On y voit la soif de pouvoir, il y a toujours un tyran prêt à prendre le pouvoir à la chute d’un autre tyran. La corruption et les abus de pouvoir sont omniprésentes.
La pièce est un bijou qui nous plonge dans l’atmosphère de cette ville sous emprise. On rit des personnages. On s’amuse du dragon à trois têtes (véritablement). Le chat est sournois à souhait. Le bourgmestre nous hallucine dans sa folie. On est pris dans cette atmosphère fantastique.
Thomas Jolly fait beaucoup de références dans ce texte. La grande table de festin est-elle une référence à son Thyeste ? Il y en a partout. La pièce est intense.
Je ne peux que souligner le jeu des acteurs qui sont tous parfaits. Le bourgmestre nous marque par son interprétation mais tous jouent de façon impeccable.
Tout est équilibré. La mise en scène est minutieuse, technique, grandiose, fantastique… Thomas Jolly nous livre une pièce de référence. Le décor est génial. Tout est fantastique et se met au service de ce conte fantastique dans lequel je suis tombée à pieds joints avec le plus grand plaisir.
On est au bord d’un chef d’œuvre. Même si je ne suis pas objective, Thomas Jolly nous livre une très grande leçon de théâtre.
A voir absolument.
Dans le même genre
Les avis de la rédaction