Critiques pour l'événement Bonjour Ivresse
Affligeant.
Il faut aimer l'humour lourdingue.
J'ai eu la sensation de me retrouver à une soirée où les gens étaient ivres, vulgaires et grotesques et vous, vous êtes sobres et pas assez saoul pour être en phase.
La pièce est mal écrite, les blagues volent très bas ("je vais te faire une spécialité française, une quiche lorraine (pour évoquer le vomi), "je vais te laisser un cadeau" (mimant deux doigts dans la bouche, toujours sur le même thème), "t'es pas un coup de cul mais un coup de coeur" etc...
Et dire que cette pièce se joue depuis 6 ans...
Il faut aimer l'humour lourdingue.
J'ai eu la sensation de me retrouver à une soirée où les gens étaient ivres, vulgaires et grotesques et vous, vous êtes sobres et pas assez saoul pour être en phase.
La pièce est mal écrite, les blagues volent très bas ("je vais te faire une spécialité française, une quiche lorraine (pour évoquer le vomi), "je vais te laisser un cadeau" (mimant deux doigts dans la bouche, toujours sur le même thème), "t'es pas un coup de cul mais un coup de coeur" etc...
Et dire que cette pièce se joue depuis 6 ans...
Je dois bien avouer que c'est un dépiteux hasard qui me conduisit jusqu'à cette pièce moderne, à l'heure tardive ou les pièces classiques ferment rideau, mais soit !
Les avis étaient bons, la publicité était bonne... A tort !
On s'embarque dans une comédie fluviale décevante qui parvient davantage à nous embarrasser qu'à tirer quelques rires forcés des vingt personnes présentes dans la salle. Pourtant, on essaie d'y croire. On s'accroche. Mais l'amertume nous submerge, à contrecoeur.
On finit par se contenter de menus jeux de mots et de quelques accents picards... pour enfin regretter de n'être pas allé voir le dernier Woody Allen au cinéma.
Le théâtre est une mine d'or, d'esthétisme et d'émotion, mais parmi tant de pierres précieuses, il arrive de tomber sur un galet.
Les avis étaient bons, la publicité était bonne... A tort !
On s'embarque dans une comédie fluviale décevante qui parvient davantage à nous embarrasser qu'à tirer quelques rires forcés des vingt personnes présentes dans la salle. Pourtant, on essaie d'y croire. On s'accroche. Mais l'amertume nous submerge, à contrecoeur.
On finit par se contenter de menus jeux de mots et de quelques accents picards... pour enfin regretter de n'être pas allé voir le dernier Woody Allen au cinéma.
Le théâtre est une mine d'or, d'esthétisme et d'émotion, mais parmi tant de pierres précieuses, il arrive de tomber sur un galet.
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